Aviseur International renseigne sur la problématique de la drogue, du narcotrafic et sur les politiques mises en œuvre par les différents Etats. CONTACT par email: ns55dnred@outlook.fr ou WhatsApp: 33 (0) 6 84 30 31 81 – Suivez @MarcFievet sur TWITTER
Que vous soyez ambassadeur, attaché(e) parlementaire, commissaire de police, consul, député, douanier, élu régional, énarque, enseignant, facteur, gendarme, gardien d’immeuble, inspecteur des finances, journaliste, policier, magistrat, maire, maître de conférence, médecin, militaire, notaire, officier, sous-officier, sénateur… agent secret ou simple citoyen, tous types de documents inédits, toutes informations « sensibles » que vous pourriez détenir sur le narcotrafic, le blanchiment, la corruption et la concussion intéressent « Aviseur international ».
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Plan sécurité, loi sur le séparatisme : Darmanin et Schiappa dévoilent les chantiers du gouvernement
Par Olivier Beaumont et Jean-Michel Décugis
Le 6 septembre 2020 à 17h05
EXTRAIT
GUERRE DÉCLARÉE AU TRAFIC DE STUPÉFIANTS
Mercredi, un séminaire gouvernemental portera sur les questions de sécurité et de l’ordre juste. Quelle sera votre première priorité
G.D.Indéniablement la lutte contre les stupéfiants. Cela doit être l’alpha et l’oméga de toutes nos interventions. A travers ce sujet, il y a la lutte contre le crime organisé, avec la traite des êtres humains et le financement du terrorisme, mais aussi une grande mesure de santé publique. Et, bien sûr, un lien avec la lutte contre l’insécurité du quotidien. Quand on voit qu’aujourd’hui un gamin de 14 ans peut gagner plus que son père en faisant le « chouf » (le guet), il ne faut pas s’étonner qu’il y ait une crise d’autorité dans notre pays.
Le sujet n’est pas nouveau. Qu’est-ce qui va changer avec vous ?
G.D.Il faut s’occuper de tous les trafics. Des gros réseaux jusqu’au bout de la chaîne, c’est-à-dire le consommateur. Il faut sanctionner tout le monde, y compris dans les beaux quartiers de Paris. Grâce à l’action de mon prédécesseur, nous avons tout de même saisi 34 tonnes de cannabis depuis le début de l’année, 6 tonnes de cocaïne. On doit pouvoir encore augmenter ces chiffres.
Vous avez testé pendant deux mois l’amende forfaitaire de 200 euros pour les consommateurs de stupéfiants, avant de la généraliser depuis le 1er septembre. Quels sont les premiers résultats ?
G.D.558 amendes ont été dressées dans les cinq territoires où il y a eu ce test. Cela a été très probant. Et, rien que sur la première journée de généralisation de cette amende, 200 verbalisations. Désormais, il n’y a plus besoin d’une pièce d’identité pour être verbalisé. J’en remercie le garde des Sceaux. Et si jamais les gens ne payent pas, on peut imaginer une saisie sur salaire ou sur le compte bancaire de la personne. Je suis certain que les services de Bercy vont nous aider dans cette mission.
En vous attaquant aux petits trafics, ne craignez-vous pas qu’ils se déportent sur une autre forme de délinquance ?
G.D.Je n’ai pas l’esprit de capitulation. La drogue, c’est de la merde, ça finance le crime organisé, ça tue la vie de milliers de personnes et ça peut concerner toutes les familles de France. Le rôle d’un responsable politique, ce n’est pas d’accompagner tout doucement la mort d’une société.
LES CHIFFRES DE LA SÉCURITÉ DÉVOILÉS TOUS LES MOIS
«Je veux le dire à tout le monde : à la fin, c’est toujours la police, c’est-à-dire la République, qui gagne.»/LP/Arnaud Journois
Il y a eu une époque où le gouvernement communiquait sur les chiffres de la délinquance. Vous y réfléchissez ?
G.D.On n’y réfléchit pas, on va le faire ! Nous avons pris la décision de faire conjointement avec Marlène Schiappa un point presse mensuel sur tous les sujets, à la fin de chaque première semaine du mois, pour communiquer l’ensemble des résultats de nos services. Il se tiendra à Beauvau, à partir d’octobre. Il reprendra six points : la lutte contre les stupéfiants, les chiffres des violences conjugales, intrafamiliales et sexuelles, les heures de patrouilles pédestres sur la voie publique des gendarmes et des policiers, celles dans les transports publics également, le nombre de dérives sectaires signalées, et aussi le thème de l’immigration et de l’asile.
C’est le retour de la course aux chiffres ?
G.D.Nous ne sommes pas pour la politique du chiffre, mais pour la politique du résultat. Je pense profondément que la France est malade de son insécurité. Il faut vraiment être sourd et aveugle pour ne pas entendre ce que nous disent les Français. Ou alors habiter dans le monde des « Bisounours »… Si la France est malade, il faut prendre sa température. Et je ne connais pas d’autres moyens que de la prendre en se renseignant sur les chiffres, et en les rendant publics.
Mais certains vont vous reprocher de faire de la com…
M.S.La confiance, ça passe par la transparence. Ce que nous sommes en train de mener, c’est aussi un combat culturel pour l’ordre républicain. Il se mène en étant offensif, mais aussi en communiquant sur ce que l’on fait. Si on met en place des dispositifs, mais que les gens ne le savent pas, ils ne peuvent pas y avoir recours, et ça ne sert à rien.
Vous parlez de redéployer les forces de police sur le terrain. C’est qu’on ne les voit pas assez ?
G.D. L’objectif, c’est de remettre du « bleu » dans la rue, car cela rassure les honnêtes gens que nous voulons protéger. Les forces de l’ordre ne font jamais un travail inutile, quelle que soit leur mission. C’est le plus beau métier : celui de protéger. Et je veux le dire à tout le monde : à la fin, c’est toujours la police, c’est-à-dire la République, qui gagne. C’est à nous de le montrer davantage.
Vous dites qu’à la fin, « c’est la police qui gagne ». Mais les Français ont souvent l’impression que les condamnations ne suivent pas. Le problème, c’est la chaîne judiciaire ?
G.D.Je ne suis pas de ceux qui disent que la justice est laxiste. Elle fait son travail. En revanche, elle est lente, c’est ça la difficulté. Elle est lente, car elle manque de moyens et Jean Castex en a conscience. C’est pour cela qu’il va augmenter le budget de la justice. Quand on chope un mec de 19 ans à Tourcoing qui trafique du cannabis et qu’il faut parfois deux ans pour qu’il soit jugé en première instance, ce n’est pas normal. Ni pour la société ni pour lui. L’amende forfaitaire pour détention de stupéfiants, ça doit aussi permettre de désengorger les tribunaux, de faire moins de procédures. Je souhaite d’ailleurs qu’il y ait ce même système d’amendes pour d’autres faits : l’occupation illégale des halls d’immeubles, la vente à la sauvette de cigarettes…
[…] FRANCE 🇫🇷 (place Beauvau): guerre déclarée aux stupéfiants parmi les chantiers du gouv… 6 septembre 2020 […]
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