Aviseur International renseigne sur la problématique de la drogue, du narcotrafic et sur les politiques mises en œuvre par les différents Etats. CONTACT par email: ns55dnred@outlook.fr ou WhatsApp: 33 (0) 6 84 30 31 81 – Suivez @MarcFievet sur TWITTER
Que vous soyez ambassadeur, attaché(e) parlementaire, commissaire de police, consul, député, douanier, élu régional, énarque, enseignant, facteur, gendarme, gardien d’immeuble, inspecteur des finances, journaliste, policier, magistrat, maire, maître de conférence, médecin, militaire, notaire, officier, sous-officier, sénateur… agent secret ou simple citoyen, tous types de documents inédits, toutes informations « sensibles » que vous pourriez détenir sur le narcotrafic, le blanchiment, la corruption et la concussion intéressent « Aviseur international ».
Maison d’arrêt de Nanterre dans les Hauts de Seine 32 surveillants pénitentiaires ont été testés positifs au Covid-19. Les détenus font face à une crise sanitaire critique et gérée difficilement par le service pénitentiaire puisque la seule réaction est la mise en isolement. Des débordements paraissent possibles dans les prochains jours et la “Pénitentiaire” appellera […]
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Il n’y a plus de barrière avec l’Espagne, a annoncé la ministre des affaires extérieures espagnole, Arancha Gonzalez Laya, en expliquant que la petite enclave britannique s’unira à l’espace Schengen et ses habitants pourront bénéficier de la libre circulation au sein de l’Union européenne. En revanche, les voyageurs en provenance du Royaume-Uni devront présenter un […]
L’entreprise américaine Palantir collabore avec Europol par le biais de la société française CapGemini, notamment pour l’analyse de données liées au terrorisme. Une situation qui inquiète des eurodéputés. L’intervention des députés européens fait suite à une enquête récente menée par Euractiv. Celle-ci a révélé que la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a […]
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Alors que Gérald Darmanin, opposé à la dépénalisation de l’usage de cannabis, multiplie les messages de fermeté en matière de lutte contre les trafics de drogue, la décriminalisation a eu des effets positifs au Portugal, estime João Goulão
Alors que le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a réaffirmé la volonté du gouvernement de réprimer la consommation de drogues, notamment de cannabis, en France, le Portugal a opté il y a près de 20 ans pour une politique opposée. Gangrené par la consommation d’héroïne et par le VIH, le pays a mis en oeuvre la décriminalisation de l’usage de tous les stupéfiants en 2001.
Tandis que 100 000 portugais étaient héroïnomanes en 1999, près de 50 000 le sont aujourd’hui, selon le Service d’intervention pour les comportements d’addiction et de dépendance (SICAD). En 2019, 8% des Portugais âgés de 18 à 34 ans avaient consommé du cannabis au cours de l’année écoulée, contre 21,8% des Français.
Membre de la commission qui a rédigé le rapport à l’initiative de la politique antidrogue, João Goulão a répondu aux questions de 20 Minutes.
Pour le médecin, qui dirige le SICAD, « la prévention et l’intervention sont aujourd’hui plus simples puisque le sujet n’est plus un tabou » dans cette ancienne dictature où les consommateurs de drogues étaient systématiquement emprisonnés.
Votre pays a choisi une stratégie de lutte contre la consommation de stupéfiants unique en Europe. Comment sont désormais traitées les affaires d’usage de drogues ?
Il y a désormais une distinction entre la procédure criminelle et la simple procédure administrative. Les personnes arrêtées pour possession ou consommation de drogues sont amenées au commissariat où la police détermine, selon la quantité, si les substances sont destinées à un usage personnel ou non. S’il n’y a pas de soupçon de trafic, ces personnes sont convoquées devant une « commission de dissuasion de la toxicomanie », formée de médecins, représentants juridiques et travailleurs sociaux.
Plutôt que de lancer des poursuites judiciaires, l’objectif est de déterminer la teneur du problème lié à la drogue. Même si vous n’avez pas une consommation de drogues problématique, la commission vous proposera un accompagnement social ou psychologique si vous le souhaitez. Si vous êtes en situation d’addiction, elle vous invitera à suivre un traitement ou à vous rendre dans un centre de désintoxication. Vous êtes en droit de le refuser, mais vous vous exposez, en cas de récidive, à des sanctions pénales.
Avec de telles mesures, comment les autorités luttent-elles contre le trafic de stupéfiants ?
Il faut retenir que celles et ceux arrêtés avec une quantité dépassant les limites légales sont poursuivis jusque devant les tribunaux et risquent des condamnations. La décriminalisation de la consommation de stupéfiants n’a été que la modification d’un article de loi sur la drogue : celui concernant l’usage personnel de substances. Tout ce qui implique la lutte contre le trafic de drogues est inchangé depuis 1993.
Nous avons donc les mêmes outils légaux. Et je dirais que les autorités policières sont bien plus efficaces depuis la dépénalisation. Elles ne perdent plus leur temps, leur énergie et leurs moyens pour les usagers, et peuvent se consacrer aux grosses organisations criminelles.