Aviseur International renseigne sur la problématique de la drogue, du narcotrafic et sur les politiques mises en œuvre par les différents Etats. CONTACT par email: ns55dnred@outlook.fr ou WhatsApp: 33 (0) 6 84 30 31 81
Que vous soyez ambassadeur, attaché(e) parlementaire, commissaire de police, consul, député, douanier, élu régional, énarque, enseignant, facteur, gendarme, gardien d’immeuble, inspecteur des finances, journaliste, policier, magistrat, maire, maître de conférence, médecin, militaire, notaire, officier, sous-officier, sénateur… agent secret ou simple citoyen, tous types de documents inédits, toutes informations « sensibles » que vous pourriez détenir sur le narcotrafic, le blanchiment, la corruption et la concussion intéressent « Aviseur international ».
Il n’y a plus de barrière avec l’Espagne, a annoncé la ministre des affaires extérieures espagnole, Arancha Gonzalez Laya, en expliquant que la petite enclave britannique s’unira à l’espace Schengen et ses habitants pourront bénéficier de la libre circulation au sein de l’Union européenne. En revanche, les voyageurs en provenance du Royaume-Uni devront présenter un […]
L’entreprise américaine Palantir collabore avec Europol par le biais de la société française CapGemini, notamment pour l’analyse de données liées au terrorisme. Une situation qui inquiète des eurodéputés. L’intervention des députés européens fait suite à une enquête récente menée par Euractiv. Celle-ci a révélé que la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a […]
Originally posted on Avocats, médecins, notaires: ils se savent tout permis: Plus une juridiction est haut perchée, le plus strictement elle adhère au droit. Douter de cela, collectivement, on préfère ne pas imaginer le désordre qui en résulterait. Un crime contre l’État blanchi par la plus haute autorité administrative? Même l’ombre de l’Ordre des…
Originally posted on Olivier Demeulenaere – Regards sur l'économie: “Au cours des trente dernières années, j’ai écrit sur les dangers et l’inefficacité des vaccins, y compris le nouveau vaccin anti-Covid. J’ai écrit sur la recherche de pointe en nanotechnologie et son utilisation, dans les vaccins, en tant que capteurs implantés qui surveilleraient en temps…
Originally posted on Aviseur International: Dans un arrêt en date du 13 janvier 2017, Mme Pauline Jolivet, rapporteur et le rapporteur public M. Edouard Crépey pour le Conseil d’État ont précisé, à propos d’un collaborateur du service public qui, en sa qualité d’aviseur des douanes avait été condamné pour trafic de stupéfiants par les juridictions…
Originally posted on Aviseur International: Une question me taraude depuis plusieurs mois! Comment un type comme Erwan Guilmin a pu arriver aux manettes de la DOD, l’un des services les plus ‘pointus’ de la Douane française en matière d’opérations et pourquoi l’a t’on nommé? La DOD, c’est le service opérationnel par excellence, formé d’agents sélectionnés…
Une nouvelle arme de lutte contre les trafiquants de drogue, le partage d’informations
Le préfet Didier Lauga a dévoilé l’entité devant voir le jour à Nîmes au groupement de gendarmerie du Gard mais qui rassemblera tous les acteurs de la lutte contre le narcobanditisme : SRPJ, section de recherches, Sûreté départementale (DDSP), Douanes et police aux frontières.
Analyser, partager, exploiter le renseignement en matière de trafic de stupéfiants.
C’est sous ce triptyque que les services de l’État ont présenté ce mardi 13 octobre, un nouveau dispositif pour lutter plus efficacement contre les trafiquants de stupéfiants. Le préfet Didier Lauga a dévoilé l’entité devant voir le jour à Nîmes au groupement de gendarmerie du Gard mais qui rassemblera tous les acteurs de la lutte contre le narcobanditisme : SRPJ, section de recherches, Sûreté départementale (DDSP), Douanes et police aux frontières.
Édgar Pérez Villa, alias el «Nier” y/o “Cabo 89”, identificado como presunto jefe de sicarios del Cártel de Jalisco Nueva Generación (CJNG), en Tijuana, Baja California. Fue detenido por …
La Secretaría de Seguridad Pública (SSP) de Zacatecas informó que 14 sujetos armados murieron y tres elementos de la Policía Estatal Preventiva. Resultaron heridos durante un operativo realizado en …
La ministre déléguée chargée de la Citoyenneté, Marlène Schiappa, souhaite un développement du travail alternatif payé à la journée (Tapaj), qui vise à éviter à des jeunes de tomber dans le trafic.
C’est un dispositif encore méconnu. La ministre déléguée chargée de la Citoyenneté, Marlène Schiappa, souhaite une montée en puissance du travail alternatif payé à la journée (Tapaj) comme « un programme d’insertion global » au profit de certains jeunes risquant de tomber dans « la délinquance ».
« En complément de la lutte contre les réseaux, il s’agit de proposer un contre-modèle aux plus jeunes qui, dans les cités, font le ‘‘chouf’’ et commettent des petits délits pour gagner de l’argent et espérer avoir un rôle dans la société », a expliqué Marlène Schiappa dans l’édition du Figaro parue lundi 12 octobre.
La ministre envisage la possibilité de proposer « des travaux très concrets, non qualifiés et sans engagement, indemnisés au jour le jour, avec un accompagnement social », comme des missions « d’urbanisme, de ramassage ou de nettoyage ».
Quel est le principe d’un Tapaj ?
« L’idée, c’est de compenser ce que les ‘‘petits frères’’ pourraient gagner en faisant quelques heures de ‘‘chouf’’ pour le compte de dealers », a souligné Marlène Schiappa. Un argument qui ne convainc pas Grégory Joron, secrétaire général délégué du syndicat Unité SGP Police Force ouvrière. Le fait de guetter l’arrivée des forces de l’ordre pendant les opérations de trafic est rémunéré « 150 à 200 € par jour », a indiqué le syndicaliste sur LCI.
Le travail alternatif payé à la journée « donne » à ses bénéficiaires « le goût du travail, le goût de l’effort », argue la ministre. « De nouvelles expérimentations menées à bas bruit marchent très bien. Nous voulons les étendre à 60 nouveaux quartiers d’ici à 2022 », a précisé Marlène Schiappa. Interrogé sur ses intentions, son cabinet n’a pas répondu à Dossier Familial.
SYDNEY (Reuters) – Four Chinese nationals, three of them from Hong Kong, have been charged over their alleged role in the importation and manufacture of 720 liters of the drug, which were hidden inside gel bra inserts and art supplies.
The drugs were seized at several locations in Sydney, including a shipping container sent from Hong Kong, authorities said.
« This is the largest seizure of liquid methamphetamine in Australia’s history and one of the largest drug seizures in our country’s history, » Justice Minister Michael Keenan told reporters in Sydney.
He said the seizure was the result of a joint investigation between Australian authorities and the Chinese National Narcotics Control Commission.
International naval forces operating as part of the Combined Task Force 150 (CTF 150) have reported a significant increase in meth seizures in their area of operations in 2019 (which encompasses a wide swathe of the Indian Ocean, the Persian Gulf and the Gulf of Aden). As of late December 2019, the force had seized 257kg of meth – including one seizure in the Arabian Sea from a dhow carrying 94kg of heroin and 76kg of crystal meth in October 2019 – compared to only 9kg of meth seized in 2018.
Similarities found between different seizures appear to suggest an interlinked supply chain for meth and heroin. In December 2019, a Pakistani-crewed dhow was intercepted off the coast of Pemba, Mozambique, carrying a mixed cargo of both heroin and 299kg of methamphetamine. Pemba is known to be a major port of entry on the East African coast for dhows – predominantly from the coast of Iran and Pakistan – carrying heroin, yet this mixed shipment of meth was the first of its kind in Mozambique.
Elsewhere, Sri Lankan naval forces intercepted two trawlers in international waters carrying 400kg of heroin and 100kg of crystal methamphetamine in February 2020 – Sri Lanka’s biggest-ever drug bust at sea. Eight Pakistani nationals were detained in the operation, and investigations suggested the boats came from Pakistan’s Makran coast, with the drugs presumed to have originated in Afghanistan. The vessel was allegedly headed to a transit stop in Penang, Malaysia, for onward transfer of the cargo to Australia, where meth prices are very high.
In July 2020, a GI-TOC research team took images of a heroin shipment that had just been delivered in Durban, South Africa. Similar images were taken of a joint heroin and meth shipment that had arrived in Cape Town. Each of these shipments was in the process of being unbundled in advance of their contents’ preparation for the local retail market. Wrapped in thick whitish plastic bags of 1kg denominations, the packaging was stamped with distinctive blue markings reading “Pa Pa Jone 100%” and “5161”. These markings are consistent across each of the dual-commodity seizures mentioned above: the drugs seized from the dhow in Mozambique in 2019, those seized at the Komatipoort border crossing and those seized by the Sri Lankan Navy, suggesting a common origin for these shipments.
Interviews by GI-TOC researchers with local meth users and distributors in Cape Town in August 2020 saw informants confirm that a new source of meth had entered the South African market “in the past eight to 10 months”. Described by both groups as “Pakistani meth”, this new supply appears to be provided through local South Asian syndicates based in South Africa and Mozambique, connecting with suppliers in Pakistan. The purity of this new supply of “Pakistani meth” is seen by South African users as being quite high, “just as good” as the Mexican-produced crystal meth arriving from Nigeria and better than the Chinese-produced meth that is manufactured in locations around Johannesburg.
Altogether, this combination of factors may help us towards understanding where Afghanistan-produced meth is ultimately headed. Pre-existing infrastructure and flow channels along traditional heroin routes – the dhow crews involved in trafficking, the ports whereby shipments can be landed without detection and the connections to distributors in southern Africa – have enabled this supply chain to emerge, while recent seizures provide strong circumstantial evidence that suggests Afghan meth is transiting Mozambique and has now become an emergent commodity option in the growing South African meth market. New high-quality crystal meth flows which seem to be appearing recently in Malawi, Tanzania and Kenya may suggest this new development is also a regional phenomenon. DM
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Cependant, on ne sait toujours pas à quel marché ces volumes massifs de méthamphétamine sont destinés.
Des saisies récentes d’héroïne et de méthamphétamine, et des informations issues de la recherche GI-TOC sur les marchés de la méthamphétamine en Afrique orientale et australe, suggèrent qu’une partie de ce nouvel afflux de méthamphétamine afghane fait l’objet d’un trafic en Afrique.
Bien que réputée pour son rôle au cœur du commerce mondial de l’héroïne, ces dernières années ont vu une augmentation considérable de la production de méthamphétamine dans les montagnes d’Afghanistan. En quelques années à peine, la production de méthamphétamine en Afghanistan a augmenté au point d’approvisionner des marchés aussi éloignés que l’Afrique du Sud et l’Australie.
Jusqu’à récemment, l’Iran voisin abritait le marché régional pour la production et la consommation de méthamphétamine. L’utilisation de méthamphétamine aux côtés de l’héroïne est devenue de plus en plus courante en Iran au cours de la dernière décennie.
Cependant, comme l’ont mis en évidence les recherches de David Mansfield et Alex Soderholm de la London School of Economics, la pression accrue des forces de l’ordre et la réglementation des précurseurs chimiques en Iran ont réduit la production de méthamphétamine à grande échelle dans le pays. Les producteurs de méth d’Iran semblent avoir maintenu un niveau de production en transmettant les compétences et les connaissances nécessaires à la fabrication de méthamphétamine à leurs homologues en Afghanistan. Il s’agissait d’un développement naturel car les précurseurs chimiques nécessaires – comme l’éphédrine – sont désormais plus largement disponibles en Afghanistan.
Trafficking routes of methamphetamine from Afghanistan to southern Africa
Elle est « Sous assistance respiratoire mécanique en état de mort cérébrale« , a indiqué la procureure de la République de Marseille dans un communiqué. Par ailleurs, la deuxième victime âgée de 17 ans, a été touchée aux bras et aux jambes. « Grièvement atteinte » selon la procureure Dominique Laurens, elle « a pu être opérée« .
Le ou les tireurs se trouvaient à bord d’une autre voiture, vers 22h30, au cœur d’une cité de la Belle de Mai, un quartier pauvre de Marseille.
De source policière, le chauffeur du véhicule visé par les tirs, interpellé après s’être d’abord enfui puis être revenu sur les lieux de la fusillade, serait connu pour trafic de stupéfiants et aurait été victime d’une tentative d’homicide en 2019.
Le quatrième passager du véhicule s’est lui aussi enfui et on ne sait pas s’il a été atteint par les tirs. Selon le préfet, ces « faits de violence » ont clairement été commis « à cause de la drogue« , ce que l’enquête va s’attacher à déterminer. Si c’est le cas, ce serait le onzième règlement de comptes de l’année, avec déjà neuf morts depuis le 1er janvier 2020.
Les « réglos » avaient fait 10 morts en 2019 et 23 en 2018, loin des 29 morts de 2016.