
Sera en librairie le 3 février 2021
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La sangrienta guerra entre el Cártel Jalisco Nueva Generación y el Cártel del Pacífico
Dans la foulée, les policiers ont arrêté trois personnes « d’un réseau international de trafic de drogue » ; un Albanais, un Croate et un Grec.
Un quatrième membre de ce réseau, un Croate, est recherché.
Arrêtés en flagrant délit alors qu’ils effectuaient une transaction », dans un appartement où habitait l’une des personnes arrêtées, la police a mis la main sur 324 kg de cocaïne dans 260 colis destinée à être vendue en Grèce.
Chercheur invité au GSI, et secrétaire exécutif de la Global Commission on Drug Policy, Graduate Institute – Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID)
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Depuis la ratification de la Convention unique sur les stupéfiants de 1961, le régime mondial de contrôle des drogues a tenté de changer le comportement humain et de prévenir la consommation de drogues par la punition, afin d’atteindre un « monde sans drogues ».
Cette ambition clé, basée sur la simple prédiction que la prohibition assécherait éventuellement la demande des drogues illégales, a été réaffirmée par la communauté internationale depuis trente ans à travers des déclarations politiques aux Nations unies.
Pourtant, la demande, l’offre et le trafic des drogues illégales augmentent chaque année et de manière ininterrompue dans le même laps de temps. De plus, le paradigme de la prohibition, qui base la quasi-totalité des interventions publiques sur la répression, a créé des conséquences négatives majeures qui remettent en cause l’accomplissement d’autres objectifs globaux de développement.
Ce sont ces conséquences, reconnues par les Nations unies en 2008 comme conséquences « inattendues » du régime du contrôle des drogues, qui semblent montrer que le régime de contrôle (somme toute construit sur de bonnes intentions mais mis en place par la répression) met à mal la réalisation des objectifs du développement durable et l’Agenda de 2030.
Elles incluent les dommages causés par la prohibition : déplacement budgétaire et politique dans les priorités nationales (du secteur de la santé vers celui de la justice, par exemple) ; déplacement géographique de la production et de la violence sans qu’elles soient réduites pour autant (effet ballon gonflable) ; et un marché illégal de plus de 500 milliards de dollars dans les mains d’intérêts illégaux.
Autres conséquences dont la source est corrélée au contrôle répressif des drogues : l’augmentation de la violence et de l’insécurité du fait de l’affrontement entre forces de l’ordre et trafiquants dans des quartiers souvent défavorisés ; la surincarcération et la surpopulation carcérale pour des délits mineurs ; l’enrichissement de groupes criminels ; ou encore la transmission de maladies infectieuses.
Voici deux problèmes liés que le régime international – en termes de droit international – pose aux politiques et aux objectifs de développement : alors que les conventions internationales sur les drogues sont construites autour de la notion que la dépendance est un fléau (un terme exclusif aux conventions sur les drogues dans l’arsenal normatif international), le système international n’arrive pas à y intégrer la définition même du syndrome de la dépendance par l’OMS, qui inclut un désir incontrôlable de consommation ; un risque réaliste de rechute ; et des symptômes physiques et psychologiques de sevrage. Cette situation s’aggrave même lorsqu’est pris en compte le manque d’évaluation scientifique dans la classification de ces substances, entre ce qui est légal ou pas, dangereux ou moins.
Sur la base de ces conclusions, le récent numéro spécial de International Development Policy consacré aux politiques de développement et de contrôle des drogues tente de répondre à une question simple : ces politiques se renforcent-elles mutuellement ou sont-elles contradictoires ? Il examine un large spectre de problématiques liées au développement, afin d’identifier les impacts réels du contrôle des drogues, et d’analyser à quel point les barrières au développement durable sont endogènes ou exogènes au contrôle des drogues.
L’exploration des interactions entre le développement et le contrôle des drogues commence par les programmes de « développement alternatif », qui sont vus principalement du point de vue agricole ou répressif, sans prise en compte des autres problématiques socio-économiques induites par ces programmes d’éradication ou de substitution des cultures agricoles, et spécifiquement dans les communautés rurales des pays producteurs. L’Afghanistan sert de miroir de l’incapacité de ces programmes à tenir compte des besoins des populations locales, ou de leur offrir des perspectives de long terme. Toutefois les agences gouvernementales adoptent une autre position, tout en reconnaissant les lacunes du développement alternatif.
Ces interactions concernent également des dimensions du développement qui subissent elles-mêmes des changements profonds actuellement : le climat, l’égalité des genres, les droits de l’enfant ou la santé publique. En effet, comment concilier la protection des enfants et un contrôle des drogues moins répressif ? Pourquoi les femmes subissent-elles bien plus les impacts négatifs de la répression que les hommes ? Est-ce lié aux structures patriarcales des systèmes de justice ? De la même manière, le numéro spécial aborde l’impact de la production illégale et intensive du cannabis sur le climat ; le débat autour du commerce équitable en cas de légalisation globale du cannabis afin de ne pas laisser les producteurs traditionnels sur le côté ; ou la difficulté de déploiement des services sanitaires nécessaires aux consommateurs de drogues, souvent sur des bases idéologiques.
Ce numéro spécial apporte surtout une première lecture « politique » du désaccord entre développement et contrôle des drogues : à travers l’analyse des flux financiers illicites dans les zones de conflits ; l’utilisation du contrôle des drogues afin d’influencer, par l’émotion politique, la compétition et la participation aux processus électoraux ; ou la définition large des acteurs du contrôle des drogues (par ailleurs tous acteurs du développement), des dimensions nouvelles sont ajoutées à la littérature existante. Ces discussions conceptuelles sont ancrées dans la théorie et dans l’empirique à travers différents exemples nationaux, de l’Afrique du Sud au Mexique, et du Maroc au Croissant d’Or (Afghanistan-Myanmar-Pakistan).
Il semble ainsi certain que l’agenda de développement durable pourrait être mis en place pour la majorité des populations sans la réforme du régime de contrôle des drogues. Toutefois, ce développement laisserait de côté les personnes concernées par les drogues illégales (consommateurs, producteurs, chimistes, trafiquants, passeurs, etc.) ainsi que leurs communautés, qui sont statistiquement peu nombreuses pour influencer le résultat quantitatif de l’agenda de 2030.
La conclusion finale tirée de ce numéro spécial est la « vulnérabilisation » par la loi des personnes concernées par les drogues illégales, ces personnes perdant par leur implication dans le marché des drogues leur place dans le débat public et leur poids politique comme citoyens, et peuvent ainsi être négligées par les politiques de développement.
Ceci s’entend dans le cadre de politiques de contrôle des drogues qui ne réduisent ni le trafic ni la consommation problématique, tout en ne permettant pas aux communautés concernées d’être plus résilientes ou plus intégrées dans la société.
La « guerre contre la drogue » lancée en 2016 par le président philippin tourne au carnage, avec plus de 8 000 morts, selon des sources officielles, jusqu’à quatre fois plus selon les ONG. De nombreuses voix s’élèvent pour dénoncer une campagne violente encouragée par le chef de l’État.
Parmi elles, Hannah Neumann, députée allemande du groupe les Verts/Alliance européenne libre au sein du Parlement européen.
Jelena Tomic
COCAINE valued at up to £2 million was found in a ‘parasite device’ attached to a bulk carrier anchored outside Gibraltar port yesterday afternoon
A team of RGP divers found the drugs attached to the hull of the cargo-ship after the boat was boarded by Drug Squad detectives.
“Crime scene investigators found the device to contain individually wrapped packages containing cocaine weighing around 25 kilograms, with a street value of between £1.5 – £2 million,” said an RGP spokesperson.
“Upon completion of police interviews and searches conducted with the assistance of HM Customs Dog Section, the vessel was allowed to proceed on its journey late yesterday evening.”
Huit personnes ont été mises en examen après le démantèlement lundi 25 janvier d’un réseau de trafiquants de drogue qui sévissait dans un quartier de Grenoble, a annoncé vendredi 29 janvier au soir le parquet de la ville.
La sous-direction de la police judiciaire chargée de la lutte contre la cyber criminalité a refusé de répondre aux sollicitations de 20 Minutes, toujours dans l’attente par ailleurs d’un retour de l’Office anti-stupéfiant (OFAST) et de la Gendarmerie Nationale.
C’est une fâcheuse habitude de nos régaliennes, qui préfère systématiquement ne pas répondre !
LIRE l’excellent article de Mikaël LIBERT paru dans 20 Minutes du 7 janvier 2021
RÉSEAUX SOCIAUX
Avec le hashtag #Lille, on tombe sur des dizaines d’annonces proposant à la vente du cannabis, de la cocaïne, etc. mais également des armes ou de la fausse monnaie
Il y a seulement quelques années, se procurer des stupéfiants était encore relativement compliqué pour le consommateur n’ayant pas les contacts. Il fallait soit maîtriser les arcanes du dark Web, soit prendre son courage à deux mains pour se rendre dans un point de deal connu. Les réseaux sociaux ont radicalement changé la donne et il est désormais plus facile de dégoter du cannabis ou de la cocaïne qu’une pièce de rechange pour une vieille Twingo. Sur WhatsApp, Snapchat ou encore Twitter, la garantie d’un anonymat quasi total complique la tâche des policiers et gendarmes chargés de lutter contre les trafics en tous genres.
Pour les personnes dubitatives persuadées que l’on exagère, il leur suffit de se rendre sur Twitter et de taper dans la barre de recherche le très innocent #Lille. Le résultat est édifiant, a tel point qu’il est même difficile de trouver une publication en rapport avec le hashtag au milieu des dizaines d’annonces proposant à la vente diverses sortes de stupéfiants. Cannabis, cocaïne, héroïne, kétamine, LSD… Plus rare et aussi plus inquiétant, on trouve parfois des annonces pour de la vente d’armes ou de fausse monnaie.
Des hashtags accrocheurs pour appâter le client
« Il est interdit d’utiliser notre service à des fins illicites ou pour la poursuite d’activités illégales », répond Twitter, interrogé par 20 Minutes. A ce niveau, que risquent les contrevenants ? « Si votre compte est dédié à la vente de biens et/ou services illégaux ou réglementés, il peut être suspendu de manière définitive », ajoute l’opérateur. Il ne nous a cependant pas été précisé si les comptes incriminés étaient signalés aux autorités.
Dans la foulée, Twitter a fait disparaître quelques comptes que 20 Minutes avait donné en exemple pour illustrer sa requête. Comptes qui ont été presque aussitôt remplacés par d’autres. De toute façon, les malfaiteurs n’utilisent cette plateforme que pour « accrocher » le client avec des hashtags d’actualité comme #coronavirus, #confinement et, donc, #Lille. L’idée étant que les personnes vraiment intéressées passent commande sur d’autres plateformes.
Nous avons ainsi poussé l’expérience un peu plus loin en contactant trois vendeurs différents, deux sur Snapchat et un sur WhatsApp.
Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils sont très réactifs. En quelques minutes, nous avions reçu la liste des produits disponibles ainsi que la grille tarifaire. Pour les novices, l’interlocuteur explique la marche à suivre. Il suffit de dire ce que l’on veut et de payer, soit en Bitcoins, soit via une carte prépayée. La livraison se fait ensuite à l’adresse indiquée. Lorsque l’on émet des doutes, l’interlocuteur se veut rassurant, allant même jusqu’à envoyer des captures d’écran d’échanges avec des clients satisfaits.
« Offres promotionnelles » et « livraison à domicile »
« Mon dealer fait des stories Snap pour informer des nouveaux produits par exemple. Il s’adapte aussi au contexte. Pour le nouvel an, il a prévenu qu’il fallait commander en avance pour être sûr de se faire livrer », explique à 20 Minutes une habituée de ce type de service. L’épidémie de coronavirus a aussi induit quelques changements : « Les livreurs ne se déplacent plus pour de petites quantités et, avec le couvre-feu, ils refusent de se bouger après 20h », assure la cliente.
« Nombreux sont les usagers à recevoir par SMS ou via des applications et des réseaux sociaux des offres promotionnelles », confirme un rapport de 2019 de l’Observatoire français des drogues. Ce même rapport relate que ces « relances régulières et autres techniques marketing visent à fidéliser la clientèle » et que la livraison à domicile est en plein développement.
Derrière les multiples comptes sur les réseaux sociaux, il y a probablement assez peu de personnes. Après en avoir contacté plusieurs, les réponses reçues étaient presque identiques, mot pour mot. Un interlocuteur sur Snapchat, censé arroser toute la France, nous a affirmé pouvoir assurer des livraisons sur Lille en 30 minutes. « Je contacte toujours le même numéro sur WhatsApp, mais ce n’est quasiment jamais la même personne qui vient me livrer le produit », reconnaît un autre client. Un de nos interlocuteurs sur ce même réseau a d’ailleurs confirmé que les commandes devaient être « validées par le boss » avant d’être envoyées. Nous ne sommes pas allés jusque-là.
Une tâche particulièrement difficile pour les forces de l’ordre
Pour les autorités, c’est un vrai casse-tête, notamment parce que les sièges de ces réseaux sociaux sont installés à l’étranger, essentiellement aux Etats-Unis. Ni Snapchat, ni WhatsApp ne traquent spontanément ce type de détournement de leurs applications. Pour le premier, c’est à un utilisateur de signaler un contenu illicite aux forces de l’ordre, lesquelles doivent ensuite saisir l’entreprise par le biais d’une commission rogatoire délivrée par un juge. Pour WhatsApp, le procédé est quasiment le même.
La « Policia nacional » a localisé dans un local de la rue Nicolás Orta de Huelva, dans le quartier d’Isla Chica, environ 1500 kilos de cocaïne.
L’intervention a eu lieu ce vendredi 29 janvier dans l’après-midi, lorsque l’irruption de policiers armés et cagoulés qui avaient coupé la rue a attiré l’attention des voisins.
Les agents, qui suivaient la piste de la drogue depuis longtemps, ont bouclé la zone et sont entrés dans le garage, où ils ont été surpris par l’énorme quantité de cocaïne qui était stockée dans cette ‘crèche’, comme les trafiquants de drogue appellent ce type de locaux pour stocker les psychotropes.
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Un important réseau de trafic de résine de cannabis vient d’être démantelé par les gendarmes de la Section de recherches de Nancy qui, depuis plusieurs mois, enquêtaient sous le contrôle de la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Nancy.
Les investigations de la SR avaient débuté au mois de mars 2020 sur la base d’informations recueillies via le système de communication crypté EncroChat. Un réseau chiffré néerlandais qui avait cessé de fonctionner au mois de juin, après avoir été infiltré par les services spécialisés du Centre de lutte contre les criminalités numériques de la gendarmerie nationale (C3N).
Belle opération pour les agents de la sûreté départementale et la Brigade de recherche et d’intervention (BRI) en Seine-Maritime. Ils ont saisi 11 kilos d’héroïne, 540 grammes de cocaïne et 2 kilos de résine de cannabis chez cinq individus, âgés de 20 à 32 ans, à Dieppe et à Canteleu.
Depuis plusieurs semaines, les policiers de la sûreté départementale surveillait un revendeur originaire de la région dieppoise. Il s’approvisionnait à la Cité Verte à Canteleu.
C’est à l’aube du dimanche 17 janvier 2021 que l’OFAST, la DNRED, les garde-côtes des douanes
et la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) ont déclenché une opération qui a permis au ‘Germinal’ d’intercepter un bateau de pêche, lesté de 4 tonnes 200 de coke, au large de l’arc antillais en Atlantique.
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Cette opération est le fruit d’une coopération internationale entre services anti-
drogue qui, lorsqu’ils décident d’œuvrer ensemble, obtiennent des résultats probants.
Les hommes du DEA ont participé à cette opération en apportant des infos sur les équipes de narcos derrière ce transport et l’AWACS américain a dû fournir la géolocalisation du bateau de pêche à la passerelle du Germinal.
Les huit membres d’équipage appréhendés ont été remis aux autorités administratives et judiciaires.
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Cette opération réalisée par les FAA a également mobilisé l’office antistupéfiants (OFAST), la direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED), les garde-côtes des douanes et la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS).
C’est une intervention de la frégate Germinal qui a permis de faire cette découverte, une cargaison de marchandises suspectes. 177 ballots retrouvés à bord de l’embarcation se sont révélés positifs à la cocaïne. Ils ont été saisis et détruits.
Les huit membres d’équipage appréhendés ont été remis aux autorités administratives et judiciaires de leur pays.