INTERVIEW: Eric de Montgolfier… par Karl Zero

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NS55 traque son honneur trahi, à lire

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The international informant


L’ex-Proc de Montgolfier est un peu notre La Rochefoucauld, mâtiné de Schopenhauer. Retour sur la carrière de cet homme exemplaire qui, jeune, se faisait une très haute idée de la Justice avant de comprendre que s’il ne donnait pas moult gages au « système », il en s’en verrait exclu…C’était mal le connaître, Eric n’a jamais rien lâché, il a fait le job sans accepter les compromissions et peut avoir aujourd’hui le sentiment du devoir accompli. « Devoir », vous savez, ce vieux mot tombé en désuétude…

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INTERVIEW: Eric de Montgolfier, l’idéaliste!

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Que penser de notre justice ?

The international informant


À lui tout seul il incarne l’incorruptibilité, l’impartialité et la détermination. Médiatique magistrat du parquet, il s’est illustré dans de nombreuses affaires sulfureuses et n’a eu de cesse de montrer sa vision d’une justice irréprochable et indépendante. Il prône, à travers son livre, « Le devoir de déplaire », et nous dévoile le visage inattendu de sa personnalité.

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FRANCE 🇫🇷 (Douane – DNRED) : Erwan Guilmin jure qu’il n’a pas fait de caviardage

C’est dans ARABNEWS que nous trouvons les déclarations d’Erwan Guilmin devant les juges du Tribunal correctionnel de Paris

Comment Erwan Guilmin a-t-il pu modifier un document classé secret-défense, masquant ainsi que les douanes travaillaient avec un indic jugé dangereux, inscrit sur liste noire ?

Jugé à Paris mercredi, le haut fonctionnaire Erwan Guilmin a contesté tout caviardage

« Je n’ai à aucun moment fait ou produit un faux« , a juré devant le tribunal correctionnel, Erwan Guilmin, l’ancien patron de la puissante Direction des opérations douanières (DOD), bras armé de la Direction nationale du renseignement douanier (DNRED).

«Erreur scripturale»

En 2016, le juge d’instruction enquêtant sur cette affaire de stups adresse une réquisition concernant certains informateurs des douanes. Le secrétariat général de l’institution rédige alors une note mentionnant expressément que Petrovic figure sur « liste noire ». 

Mais avant l’envoi du document, Erwan Guilmin, à la tête de la DOD depuis 2014, rédige un deuxième exemplaire quasiment identique, avec le même numéro secret défense, faisant disparaître cette mention.

Face au tribunal, le haut fonctionnaire a soutenu, comme son prédécesseur M. Sauvalère qui a dirigé la DOD entre 2008 et 2014, que « Z » n’avait en réalité jamais été « blacklisté ». Certes une demande a été faite par un service parisien en 2009, mais elle n’aurait jamais été suivie d’effet et l’informateur aurait poursuivi sa collaboration, malgré cette « erreur scripturale » jamais corrigée.

Le document transmis à la justice est « un envoi, dans l’état de mes connaissances », a-t-il argué. 

Mais si un doute existait sur le statut de cet informateur, pourquoi ne pas avoir attendu pour être certain de transmettre des informations correctes ?

Au moment de l’envoi, « il est hors de question d’attendre le lendemain », a expliqué M. Guilmin, en racontant la pression de la direction générale pour avoir une réponse la plus rapide possible.

L’inscription sur liste noire de Petrovic devait d’ailleurs être abordée ultérieurement lors d’une réunion entre la DOD, la DNRED et la direction générale des douanes, a-t-il rappelé. Une rencontre qui n’a finalement jamais eu lieu.

« J’aurais dû ne pas répondre », a-t-il concédé, au terme d’un échange houleux avec la présidente.

« C’est incompréhensible qu’au poste qui est le vôtre, vous recopiiez une note secret-défense avec son numéro, en omettant la mention liste noire, alors qu’il y avait déjà eu une première alerte », lui a-t-elle fait remarquer. Quelques mois plus tôt, un mail avait été transmis à la DOD, signalant qu’elle s’apprêtait un payer un aviseur inscrit sur liste noire.

Pour Erwan Guilmin, ce paiement, validé par la direction générale, était au contraire la preuve que Petrovic n’était pas blacklisté.

« Je ne vois pas comment un informateur sur liste noire peut faire l’objet d’une proposition de rémunération, ou alors ça veut dire qu’il y a un groupe massif de fraudeurs », au-delà de la seule DNRED, a-t-il plaidé.

« C’est le serpent qui se mord la queue », s’est agacé la présidente.

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Pour mémoire, Erwan Guilmin, a produit de fausses informations sur Marc Fievet sans jamais avoir cherché à se renseigner auprès des douaniers qui travaillaient au quotidien avec NS 55.

Fausses informations pour empêcher l’ indemnisation des 3888 jours de détention, non-stop, subis par Marc Fievet en Espagne, Angleterre, Canada et France.

A LIRE: FRANCE (Conseil d’Etat) : absurdistan juridico-administratif et constat de la lâcheté du plus vil DG de la Douane Française , l’énarque François Auvigne

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NARCO-BUSINESS : qui est donc Sergio Roberto de Carvalho ?

Connu aussi sous le nom de Paul Wouter et Carlos Sola, il s’avère qu’officiellement, Paul Wouter est décédé du Covid-19 à 10h50 le 29 août 2020 dans un appartement de la Calle San Juan Bosco à Marbella.

Sa mort à 54 ans, due au Covid, l’a empêché d’être poursuivi en Galice dans le procès alors pour les 2.500 kilos de cocaïne interceptés dans l’Atlantique en 2018 sur le remorqueur Titán III. (ex «Zumaia II»).

Les autorités brésiliennes ont informé les autorités espagnoles que les empreintes digitales et le visage de Wouter coïncidaient parfaitement avec ceux de Sergio Roberto de Carvalho, le trafiquant de cocaïne le plus recherché au Brésil .

Pour la police espagnole, Wouter était un homme d’affaires qui avait plusieurs entreprises d’importation de fruits de mer au Maroc et à Dubaï. Cependant, dans le dossier médical envoyé par les autorités brésiliennes en Espagne, Carvalho a organisé des opérations au Portugal, en Belgique, en Allemagne, aux Pays-Bas et en Espagne.

Le major Carvalho, comme on l’appelle au Brésil depuis qu’il a été expulsé en 2008 de la police militaire pour ses relations avec le trafic de drogue, a été interpellé plusieurs fois en Europe et laissé une dernière trace en Russie, bien que l’on suppose aujourd’hui, « post mortem », qu’il aurait établi sa résidence à Dubaï.

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