Les machines étaient exploitées dans un entrepôt à Bnei Brak par un ancien officier de Tsahal ; mais la police pense qu’une organisation criminelle est à l’origine de l’opération
La police a arrêté un homme soupçonné d’être à l’origine de l’envoi des millions de SMS qui ont inondé les téléphones des Israéliens ces derniers mois, proposant des drogues à la vente.
Dans un reportage de la Douzième chaîne diffusé vendredi, la police a déclaré que l’opération était basée dans un entrepôt de Bnei Brak, dans la banlieue de Tel Aviv, où des machines contenant des centaines de cartes SIM étaient programmées pour envoyer cinq à six millions de SMS par jour.
Le suspect a été désigné par la police comme étant Kobi Magenzi, un homme âgé de 30 ans sans casier judiciaire et qui, jusqu’à il y a quelques mois, était officier dans une unité d’élite de l’armée israélienne.
000000