Depuis le 31 janvier, la Colombie-Britannique autorise les usagers de drogue à transporter sur eux de faibles quantités de substances illicites, comme de la cocaïne et de l’héroïne, dans le but de faire face à l’explosion de surdoses. Cette ouverture partielle suscite l’intérêt d’entreprises productrices.
Sans tambour ni trompettes, Adastra, un producteur légal de cannabis en Colombie-Britannique, a annoncé il y a deux semaines qu’il allait importer des feuilles de coca pour produire 250 grammes de cocaïne. L’entreprise disposerait des autorisations nécessaires pour distribuer ensuite cette drogue, rapporte notre correspondante à Québec, Pascale Guéricolas.
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