« Maintenant, des QuĂ©bĂ©cois se rendent dans des pays producteurs ou exportateurs de cocaĂŻne et nos agents de liaison nous demandent : âCâest qui, ces gars-lĂ Â ?â On leur rĂ©pond quâon nâen a aucune idĂ©e », lance Patrick Daoust, superviseur et analyste en renseignement criminel Ă la Division C (QuĂ©bec) de la Gendarmerie royale du Canada (GRC).Depuis la pandĂ©mie, les corps de police, que ce soit la GRC, la SĂ»retĂ© du QuĂ©bec ou le Service de police de la Ville de MontrĂ©al (SPVM), constatent quâil y a de plus en plus dâindividus inconnus de leurs services « qui sâimprovisent » importateurs de cocaĂŻne.

Traditionnellement, quand on identifiait un sujet dâenquĂȘte et quâon ne pouvait la rĂ©aliser, on se tournait vers la SQ ou le SPVM. Et sâil nây avait pas preneur, on disait too bad. Mais ce temps est rĂ©volu.
Le point de vue de Marc Fievet
Comment ĂȘtre surpris alors qu’Ă longueur d’articles, la presse internationale, dans sa quasi totalitĂ©, annonce des chiffres d’affaires faramineux!
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