BRÉSIL 🇧🇷 (Paranaguá) : 481 kilos de cocaïne étaient en partance pour l’Algérie 🇩🇿

La coke était répartie en plusieurs lots et stockée dans des sacs qui, selon les enquêteurs, allaient être expédiés vers l’Algérie.

Elle « avait été déposée clandestinement par des malfaiteurs dans une usine d’asphalte », à l’insu des propriétaires des lieux, selon la police.

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ALGÉRIE 🇩🇿 (Gardes Côtes) : saisie de 500 kilos de cocaïne au large d’Oran

L’opération a eu lieu samedi dernier à 22H00 locales lorsque les autorités ont reçu une alerte de pêcheurs algériens sur la présence de sacs « suspects » flottant en mer, pour lesquels ils ont envoyé des unités de la Garde côtière au nord-ouest de Cap Carbon (nord-ouest) qui ont saisi un total de 490 kilos répartis en 442 plaquettes.

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ALGÉRIE 🇩🇿 : l’armée algérienne saisit 2.4 tonnes de kif traité et arrête 40 narcotrafiquants

Les éléments de l’Armée algérienne (ANP) ont saisi cette semaine plus de 2.4 tonnes de kif traité que les narcotrafiquants ont tenté d’introduire depuis le Maroc voisin. Selon un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN), 40 narcotrafiquants ont été appréhendés à l’issue des opérations ayant conduit à ces saisies.

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ALGÉRIE 🇩🇿 (Douanes algériennes): le bilan 2020 des saisies de stups

ALGER – Le Directeur de la répression de la fraude auprès de la direction générale des Douanes algériennes, Arezki Hennad a annoncé, mardi à Alger, la saisie en 2020 de 16 tonnes de kif traité, plus de 1,5 millions de comprimés psychotropes et 18 kg de cocaïne en provenance du Maroc.

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AFRICA : Libia y país norteafricano emergen como centros de tránsito de cocaína

El conflicto actual de Libia ha facilitado su transformación en un promisorio centro de tránsito de cocaína

En el transcurso de una semana se conocieron dos hallazgos de cocaína en dos contenedores de carga distintos con destino a Libia, un fuerte indicio de que tanto el país norteafricano como la región entera están convirtiéndose en nuevas rutas de tránsito para la cocaína hacia Europa y el Medio Oriente

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ALGÉRIE 🇩🇿 (wilaya de Tamanrasset): 550 000 comprimés de psychotropes ont été saisis mercredi 30 décembre 2020 par les services de sécurité

Cette opération  vient s’ajouter aux actions menées sur le terrain par les Forces Armées, et qui se sont soldées, en moins d’une semaine, par la mise en échec de l’introduction de plus de 38 quintaux de kif traité en territoire national.

Dans un autre communiqué rendu public durant la journée du mercredi 30 décembre 2020, le MDN a fait état de la saisie de plus de 10 quintaux de kif traité à Ouargla, toujours dans le sud du pays.

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ALGÉRIE 🇩🇿 (Oran): cinq individus arrêtés pour trafic international de stupéfiants

Les éléments de la BRI (brigade de recherches et d’investigations), relevant de la sûreté de la Wilaya d’Oran, ont saisi plus de 144 kilos de résine de cannabis et démantelé un réseau international de trafic de drogue.

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ALGÉRIE 🇩🇿 (Oran): saisie de 52 kilos de haschich et 400 grammes de coke

ORAN – Les services de la sûreté de wilaya d’Oran viennent de démanteler un réseau criminel spécialisé dans le trafic international de drogue et ont saisi une quantité de 400 grammes de cocaïne et plus de 52 kilos de résine de cannabis, a-t-on appris, jeudi, auprès de la cellule de communication de ce corps de sécurité.

L’enquête a été enclenchée suite à l’exploitation d’informations parvenues aux services en question, faisant état de l’existence d’un dangereux réseau criminel utilisant un logement à la cité Akid Lotfi comme repaire pour le stockage des stupéfiants.

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NARCOTRAFIC: les routes de la drogue se multiplient en Afrique, avec le Maroc 🇲🇦 comme épicentre des expéditions de cocaïne vers l’Europe 🇪🇺 et le Maghreb

Photo tirée d’une video diffusée par LCI en novembre 2019

Par Abdelkader Abderrahmane

Analyste géopolitique et consultant international sur les questions de paix et de sécurité en Afrique

Le Maroc est depuis des décennies le plus grand cultivateur de haschich au monde.

Et si Rabat s’est engagé à partir de 1992 dans une «guerre contre la drogue», diminuant de manière considérable les surfaces de terres utilisées pour cette culture, la production de résine de cannabis n’a toutefois pas diminué dans les mêmes proportions.

En outre, au fil des années, du fait de sa position géographique et de sa longue histoire de producteur de cannabis, le Maroc est aussi devenu une voie de transit-clé pour d’autres trafics de drogues, telles que la cocaïne, l’héroïne et les drogues de synthèse. Ce faisant, le royaume chérifien est en passe de devenir aussi un pays de consommation, créant ainsi de nouveaux défis de santé publique pour la société marocaine et au-delà.

EXTRAITS des différents paragraphes

Histoire du cannabis

Les premières plantations de cannabis au Maroc sont apparues au XVe voire au VIIe siècles, sans doute introduites par les Arabes après leur invasion de l’Afrique du Nord. Au XIXe siècle, le sultan Moulay Hassan autorisa ensuite la culture du cannabis dans des zones restreintes. Cette politique fut poursuivie sous les protectorats espagnol et français, puis pour des raisons économiques, sous le règne du roi Mohammed V qui toléra lui aussi cette culture après l’indépendance du Maroc en 1956.

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Culture hybride

La raison pour laquelle la quantité de drogue n’a pas diminué en parallèle de la diminution des terres utilisées pour la culture du cannabis est essentiellement due à la nouvelle culture hybride du cannabis, de plus en plus utilisée par les trafiquants marocains. Selon Pierre-Arnaud Chouvy et Kenza Afsahi, auteurs de Le haschich marocain, du kif aux hybrides, c’est l’introduction de variétés hybrides, au rendement trois à cinq fois supérieur au cannabis traditionnel qui explique que malgré une baisse réelle des surfaces utilisées pour la culture du cannabis, la production de résine de cannabis demeure stable.

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De producteur de cannabis à consommateurs de drogues

En sus du trafic de résine de cannabis, la cocaïne ainsi que d’autres stupéfiants ont aussi fait leur entrée sur le territoire marocain depuis plusieurs années. Si la cocaïne demeure encore inaccessible pour la plupart des Marocains, au cours des quinze dernières années, le prix d’un gramme de cocaïne a toutefois considérablement diminué, coûtant aujourd’hui environ 600 dirhams (60 euros). Cette baisse est aussi une indication de la disponibilité croissante de la cocaïne au Maroc, en particulier au sein des classes moyennes. Ceci dit, le pays est surtout devenu une zone de transit vers l’Europe ou les pays du Golfe à travers les routes du Sahel, du Maghreb et maritimes.

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Drogues de synthèse

Mais comme dans le reste de la région du Maghreb et d’Afrique de l’Ouest – voire à travers le monde –, c’est la présence croissante de drogues de synthèse qui est en train de faire une percée au sein de la population marocaine. Tramadol, Captagon, Rivotril, Lyric ou encore Artane (aussi connu sous le nom de Madame Courage) sont de plus en plus populaires parmi la jeunesse marocaine. Ces drogues de synthèse, telles que le karkoubi ou al shaghala anglyzyya (une colle) utilisée en Egypte ne sont pas sans conséquence pour la santé des utilisateurs souvent très pauvres. Le karkoubi, très répandu au Maroc, est un mélange de psychotropes, tels que le Xanax, le Valium ou le Rivotril. L’utilisation croissante de ce médicament est due au fait qu’il est facilement disponible ainsi qu’à son prix extrêmement bas, qui varie de 1 à 10 dirhams (0,50 à 1,00 euro) par dose selon les régions. Ces prix bas qui les rendent attrayants pour de nombreux consommateurs aux ressources et aux revenus limités représentent un énième défi sanitaire pour les autorités marocaines.

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Violence et questions sanitaires

Cette consommation croissante de drogues est devenue source d’inquiétude et de préoccupations pour les autorités marocaines et professionnels de la santé. Contrairement aux drogues traditionnellement dominantes, telles que le cannabis – il est estimé que près d’un million de Marocains sont des consommateurs réguliers de cannabis –, ces médicaments, qui devraient normalement être obtenus sur ordonnance, sont souvent utilisés à des fins récréatives et leurs effets addictifs ont des conséquences négatives sur la santé des utilisateurs, les rendant souvent très agressifs. La criminalité et la violence des jeunes sont d’ailleurs souvent imputables à la drogue. En outre, beaucoup au Maroc s’interrogent sur le fait que la consommation croissante de substances n’érode la morale culturelle et cultuelle.

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Business as usual

Comme l’indiquent les trafics de cocaïne et de drogues de synthèse provenant respectivement d’Amérique latine et d’Asie, le Maroc est devenu en quelques années un hub majeur pour toutes sortes de trafics de drogues liés à l’Europe et à l’Afrique de l’Ouest. Le fait que les Marocains consomment de plus en plus de drogues autres que le cannabis ne fait que renforcer cela.

Le trafic de drogues au Maroc a ainsi de beaux jours devant lui. Et si les difficultés de transports et d’acheminements vers l’Europe et ailleurs se dressent devant les trafiquants de manière régulières, ceux-ci ne sont pas à court d’idées pour poursuivre leurs activités illégales. Dans le passé, de la cocaïne a bien été trouvée dans des copies du Coran dont les pages avaient été arrachées au préalable !

Par ailleurs, le trafic de drogues de manière générale bénéficiant aussi à de nombreux notables, officiers de l’armée et autre fonctionnaires, il demeure donc très peu probable que cela cesse de sitôt.

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par Marc Fievet

Le Mahkzen est-il impliqué et jusqu’à quel niveau ?

Le rôle confirmé de la structure financière Attijariwafa Bank dans la dissimulation des fonds engrangés par le trafic de cannabis ne laisse aucune place au doute quant à l’implication personnelle du roi Mohammed VI dans ces activités criminelles.

En juin 2015, à Mornas, une bourgade du Vaucluse, les douaniers français mettent la main sur la somme rondelette de 300 000 euros en espèces à l’intérieur d’un véhicule.

L’affaire est confiée à des enquêteurs de Marseille, membres d’une section spécialisée dans la délinquance financière. En coopération avec leurs confrères de plusieurs pays d’Europe, un travail de fourmi permet de remonter la filière aux ramifications importantes et dont le quartier général se situerait au sommet de l’Etat marocain.

Comme toujours, la DG des douanes, bien qu’interrogée, n’avait pas souhaité communiquer.

La conférence de presse animée par Xavier Tarabeux, le procureur de Marseille, restera dans les annales de la justice française.

Les 300 000 euros saisis à Mornas, ce n’est donc que de la petite monnaie. Selon l’AFP, Xavier Tarabeux, qui représente le ministère public, annonce le chiffre faramineux de 400 millions d’euros qui ont été blanchis sur ces quatre dernières années.

Une partie aurait transité par la France où Attijariwafa Bank possède plusieurs agences.

Parce que si la presse française avait évoqué une «Hawala (système traditionnel de paiement informel dans la culture arabe)», les milieux initiés n’ignorent pas que la banque marocaine Attijariwafa Bank couvre un important flux financier, notamment en Afrique de l’Ouest. Malgré la bienveillance des autorités de ces pays et malgré le système de blanchiment efficace, les experts antiterroristes ont repéré, dès l’année 2012, les mécanismes frauduleux du financement de groupes terroristes proches du Makhzen tel le Mujao dont les mercenaires ont tenté d’infiltrer les camps de réfugiés sahraouis de Tindouf en même temps qu’ils ont investi le nord du Mali avant de disparaître dans la nature…

Ou comment faire pour que ça fasse ‘Pschitt’ !

En novembre 2016, des dizaines de personnes ont été arrêtées en France, en Belgique et aux Pays-Bas, et la montée au créneau des relais de Mohammed VI ont réussi à liquéfier cette affaire d’État, à coups de gros millions ou de demeures somptueuses à Marrakech (Rien de plus anonyme qu’une SCI …), dans les limites de corruptibilité des responsables européens chargés de l’enquête et… comme il est toujours bon de le rappeler, la complaisance créent toujours beaucoup d’amis!

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AQMI, main dans la main avec les cartels de drogues

L’Ameripol s’est aussi penchée dans son rapport sur le conflit malien qui, pour les cartels, n’a fait qu’interrompre momentanément les principales routes de la cocaïne dans la région.

L’A-10 (autoroute 10), nom donné à cette route par les experts, est la voie la plus importante au large du 10e parallèle menant en Europe. Le rapport cite Alain Rodier du Centre français de recherche sur le renseignement, lequel assure que «les trafiquants ont démontré leur capacité à anticiper la politique internationale et continuent à faire des affaires à travers d’autres voies». Mathieu Guidere, spécialiste en géopolitique et en histoire immédiate du monde arabe et musulman, souligne, quant à lui, que «les trafiquants de drogues payent aux mouvement islamistes radicaux un droit de passage représentant 10% de la valeur totale de la cargaison. Certains groupes armés «facturent» plus pour garantir la protection du convoi».

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ALGÉRIE 🇩🇿 (police Judiciaire d’Oran): saisie de 10,8 kilos de kif

Les éléments de la brigade de recherche et d’intervention du service de wilaya de la police Judiciaire d’Oran ont arrêté, dans une opération, trois (3) personnes de cette bande, en exploitant des informations faisant ressortir que des individus transportent de la drogue à bord d’un camion, a-t-on indiqué.

Après avoir suivi les mouvements de cette bande, un de ses membres a été arrêté au niveau du rond point de haï « USTO » à bord d’un camion où ils ont découvert à l’intérieur, lors de la fouille, deux colis de kif traité conditionné dans 10 plaquettes pesant 10,8 kg, ainsi qu’une somme de 200.000 DA.

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ALGÉRIE 🇩🇿 (DGSN): en 8 mois, saisie de 5 tonnes 536 de cannabis et 1.715.009 comprimés psychotropes

ALGER – Les services de la police judiciaire de la Sûreté nationale ont saisi durant les 8 premiers mois de l’année en cours, 5, 536 tonnes de cannabis et près de deux (2) millions de comprimés psychotropes, a indiqué dimanche un communiqué de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN).

« Dans le cadre d’opérations qualitatives menées durant les huit (8) premiers mois de l’année 2020, les services de la Police judiciaire de la DGSN ont saisi des quantités importantes de cannabis, estimées à 5, 536 tonnes, 1,272 kg de cocaïne, 454 g d’héroïne et 1.715.009 comprimés psychotropes« , a ajouté la même source.

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NARCO-BUSINESS: le trafic se déplace, se transforme, s’adapte.

Avec leur bras armé, la DEA (Drug Enforcement Administration), les États-Unis frappent fort…

Mais le trafic se déplace, se transforme, s’adapte. Une nouvelle génération de trafiquants émerge à la fin des années 1970, qui recherche à la fois l’argent et le pouvoir.

Si Pablo Escobar est le plus emblématique de tous,  Totò Riina en Sicile, Khun Sa dans le Triangle d’or, et Félix Gallardo au Mexique ont aussi bouleversé le destin de leur pays et fait exploser le trafic à l’échelle mondiale.

Ils défient les États, menacent les pouvoirs en place.

Il faut près de vingt ans pour que ces derniers s’organisent et fassent tomber les quatre barons de la drogue.

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ALGÉRIE 🇩🇿 (Oran): mandat d’arrêt émis contre un trafiquant de drogue marocain

En Algérie, un Marocain et six autres personnes ont écopé des peines de prison allant de 7 à 20 années de réclusion criminelle pour trafic de 10 000 comprimés psychotropes et de 1 kg de cocaïne.

Tel est le verdict rendu par la cour d’appel près le tribunal criminel d’Oran.

Outre les peines d’emprisonnement, la cour a émis un mandat d’arrêt international contre le trafiquant de drogue marocain et un chanteur algérien du raï, Cheb Hicham, principal accusé, rapporte L’Expression. Ceux-ci sont en cavale. De con côté, l’avocat général a réclamé la prison à vie pour tous les sept prévenus poursuivis pour trafic de psychotropes et de drogue dure et appartenance à un réseau criminel de trafic de drogue.

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ALGÉRIE 🇩🇿 (Trafic de drogue): hausse du nombre de saisies

D’un pays de transit, l’Algérie est devenue ces dernières années un pays consommateur de drogue, en particulier le cannabis et les psychotropes, de l’aveu même des officiels.

Les services de la Sûreté nationale ont saisi, durant les cinq premiers mois de l’année 2020, plus de 2 tonnes de cannabis, 985 014 comprimés de psychotropes et 1 kg de cocaïne, a fait savoir, fin juin, le chef de la lutte contre le trafic illicite des stupéfiants à la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), le commissaire divisionnaire Djamel Guessoum.

Ce dernier avait fait état, à l’occasion de la Journée internationale contre l’abus et le trafic de drogues, de 19 340 affaires et plus de 23 000 individus arrêtés durant la même période. Guessoum avait souligné que la «majorité des affaires liées aux drogues ont été traitées par les services de la sûreté, grâce aux signalements des citoyens».

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ALGÉRIE 🇩🇿 (Cour d’appel d’Alger): l’ex DGSN Abdelghani Hamel fait des déclarations inédites et surprenantes!

Le procès en appel de l’ex DGSN Abdelghani Hamel se poursuit à la Cour d’Alger. Lors de l’audience du lundi dernier, pourtant consacrée aux plaidoiries de la défense,

Cette fois-ci, l’ex DGSN a évoqué la relation entre l’ex-patron de la Gendarmerie nationale, le général Belkecir, l’ex-chef de la 2e Région militaire, le général Kamel Abderrahmane, ainsi que plusieurs officiers de la gendarmerie et de l’armée, avec l’ancien baron de la drogue, Ahmed Zendjabil, décédé en 2012 à Chlef.

Au début de l’audience Hamel a insisté : «je voudrais vous expliquer pourquoi je suis ici ». Avant de continuer sa déclaration rapportée ce mercredi par le quotidien El Watan : « C’est le groupe d’Oran de Zendjabil, trafiquant de drogue, qui est à l’origine de mon incarcération ».

Selon lui, de nombreux officiers de la gendarmerie et de l’armée sont impliqués dans cette affaire. « Ils travaillaient tous avec l’ex-chef de la 2e Région militaire, Kamel Abderrahmane »

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