LA RÉUNION 🇷🇪 (Aéroport de Roland-Garros) : les douaniers contrôlent et arrêtent une conseillère municipale de Ris-Orangis dans l’Essonne

C’était le 3 mai dernier, qu’à son arrivée à l’aéroport Roland-Garros sur l’île de La Réunion, cette femme de 39 ans avait attiré l’attention des douaniers en raison de nombreux allers-retours sur l’île : cinq depuis octobre 2022.

Et à chaque fois, la trentenaire ne passait qu’une nuit sur place dans un hôtel, rapporte Clicanoo

En fouillant ses bagages, les douanes ont mis la main sur 10 kg de résine de cannabis, 1 kg de cocaïne et 2.000 cartons buvards de LSD. Une saisie qui a conduit au placement en garde à vue de la mère de famille.

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FRANCE 🇫🇷 (Bercy – Ministère des finances) : confidences de NS 55 à bord d’un camping-car…

Bercy est une cathédrale. Un bâtiment froid et immense, une véritable forteresse qui semble imprenable et incarne la toute puissance de l’Etat. Même flanqué de sa remorque, le camping-car du narcotour de France installé au pied du ministère semblait bien minuscule face à la démesure de l’ogre des finances.

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DOUANE FRANÇAISE 🇫🇷 (DNRED): le dossier de Marc Fievet est classé secret défense…Pourquoi?

Le champ d’ application “du secret de la défense nationale”, aux termes de l’ article 413-9 du code pénal, recouvre les renseignements, objets, documents, procédés, données informatisées et fichiers intéressant la défense militaire, la diplomatie, la défense civile, la sécurité intérieure, la protection des activités économiques, environnementales ou industrielles et la protection du patrimoine scientifique et culturel de la France.
La classification des informations est de la seule responsabilité de chaque ministre dans son domaine de compétence.

Le Premier Ministre est l’ autorité compétente pour définir les critères et les modalités des informations classifiés “très secret défense” qui concernent exclusivement les priorités gouvernementales majeures de défense.
La décision de classification est matérialisée par l’ apposition de tampons ou de marquages bien définis, destinés à traduire un niveau de classification “très secret défense”“secret défense” ou “confidentiel défense” .
L’ accès à un document classifié est alors limité aux seules personnes habilitées. Cependant, le fait d’ être habilité est une condition nécessaire mais non suffisante pour avoir accès à une information classifiée car il faut de plus que la personne puisse invoquer “le besoin d’ en connaître”. Si cette exigence est remplie par les nécessités des investigations conduites par les enquêteurs, le parquet ou le magistrat instructeur, seuls les premiers cités pourront avoir accès aux informations classifiées et cela à condition qu’ ils soient titulaires d’ une habilitation en cours de validité et du niveau des informations en question. Les magistrats, pour leur part, ne possèdent pas l’ habilitation requise et ne peuvent donc pas prendre connaissance des documents.
D’ autre part, il ne peut pas y avoir de déclassification d’ informations classifiées concernant de façon globale une affaire ou un dossier mais seulement une déclassification d’ un ou de plusieurs documents ou objets (logiciel informatique, prototype…).

En outre, une personne habilitée ne peut être déliée de ses obligations contractées au titre de son habilitation au secret défense. Ainsi, il est inutile de demander à une autorité administrative d’ autoriser l’ un de ses agents à venir déposer sur telle ou telle information encore classifiée. Il convient au contraire de demander la déclassification du document supportant cette information pour que l’ agent puisse ensuite s’ exprimer devant le juge si le dit document a été déclassifié.
Enfin, les règles relatives au secret de la défense nationale sont applicables en vertu de législations très diverses…

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AVIS
Avis n° 2005-03 du 27 janvier 2005

NOR: CSDX0508078V

Vu la loi n° 98-567 du 8 juillet 1998, et en particulier ses articles 4 (2e alinéa), 7 et 8 ; Vu la lettre de saisine du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 16 décembre 2004 et la demande présentée le 17 novembre 2004 par Mme Sophie Clement, vice-présidente chargée de l’instruction au tribunal de grande instance de Paris, dans le cadre de l’instruction ouverte à son cabinet sur plainte de M. Marc Fievet concernant ses relations avec les douanes françaises ;

La Commission consultative du secret de la défense nationale, régulièrement convoquée et constituée, ayant examiné l’ensemble des documents classifiés qu’elle a recueillis au terme des investigations conduites par son président en vertu des pouvoirs que lui confèrent les articles 5 et 6 de la loi susvisée,

Emet un avis défavorable à la déclassification des pièces contenues dans le dossier établi au nom de M. Fievet, en sa qualité d’aviseur de la direction générale des douanes et droits indirects.

Fait à Paris, le 27 janvier 2005.
Pour la Commission consultative du secret de la défense nationale:
Le président,
P. Lelong

source legifrance

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MADAGASCAR 🇲🇬: le hors-bord venait de l’île Maurice et servait à des trafiquants de drogue

Décidément, les trafiquants de drogue de l’île Maurice ne reculent devant aucun risque pour faire fructifier leur « business ». Désormais pour convoyer l’héroïne, les drogues de synthèse et du cannabis, les grossistes de l’île sœur se rendent directement à Madagascar en utilisant des vedettes.

De nombreuses zones d’ombres subsistent.

Cependant, ce fait-divers n’est pas un simple fait isolé. Il confirme l’existence d’une route maritime de la drogue entre Madagascar et l’île Maurice. Il est fort probable que ces substances arrivent du continent africain. Passent-elles par Mayotte ? Où l’explosion du nombre de consommateurs de chimique est inquiétante. Combien de temps, La Réunion échappera-t-elle à ce fléau ?

SOURCE ET PLUS

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STUPÉFIANTS : aujourd’hui le narcotrafic est devenu «too big to fail»

Déjà publié sur « Aviseur International » le 28 mars 2015.

Depuis rien n’a changé ni évolué dans le bons sens. En France, c’est la guerre à outrance qui ne fait qu’empirer la situation en confortant l’action des narcotrafiquants.

DICK MARTY

Docteur en droit, ancien procureur général du Tessin, conseiller aux Etats, conseiller d’Etat et membre de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, pour laquelle il a mené différentes enquêtes qui l’ont fait connaître sur la scène internationale.

Par Dick Marti

Pour lutter contre les narcotrafiquants, il est nécessaire de mener une importante action de sensibilisation au niveau mondial, selon Dick Marty. Et il faut progressivement s’acheminer vers un marché contrôlé dans lequel la réglementation est définie en fonction de la dangerosité de la substance et de l’âge du consommateur.

Après des décennies de faillites ruineuses dans la réponse sociale au problème des dépendances, on doit le dire clairement: le prohibitionnisme en matière de drogue et la criminalisation des consommateurs sont une voie sans issue.

Plus, ils ont directement contribué à produire le plus important phénomène criminel de tous les temps, qui alimente toutes sortes d’autres trafics. L’argent de la drogue et les pratiques des organisations criminelles infiltrent l’économie avec un effet de contamination morale et de diffusion à grande échelle de la corruption. Les enquêtes n’atteignent presque jamais les hauts étages du crime organisé. La répression des petits poissons sert en revanche, presque cyniquement, à entretenir un certain niveau des prix et à assurer des profits fabuleux à ceux qui gèrent les grands trafics.

L’argent facile de la drogue est en fait devenu un facteur économique de grande importance, ce qui explique aussi pourquoi on ne s’attaque pas à la racine du problème. Si l’on pense que le chiffre d’affaires du trafic de drogue est estimé à environ 300 milliards de dollars par année, il est évident que cet argent est désormais devenu un véritable facteur de portée géopolitique. Il entretient de nombreux conflits, permet de financer des achats massifs d’armes de plus en plus sophistiquées, conditionne les choix de nombreux gouvernements, influence les structures socio-économiques. J’ai entendu récemment un chercheur affirmer que si le trafic de drogue était éliminé, la plupart des familles des cités entourant Marseille ne seraient plus à même de payer leur loyer.

Des ressources énormes sont investies dans la répression, alors que le crime qui en contrôle le trafic prospère. Les institutions et la structure sociale de plusieurs pays ont été bouleversées par les narcodollars et les narcotrafiquants.

Nous sommes tous conscients qu’il n’existe pas de solution facile ni de solution idéale.

Je pense cependant que toute nouvelle solution présuppose que l’on soit conscient de ce qui est en train de se passer et du gâchis auquel a conduit la politique actuelle.

Une importante action de sensibilisation au niveau mondial est nécessaire. Ce travail est en cours depuis longtemps. En 1984 déjà, Milton Friedman, Prix Nobel d’économie, écrivait que la prohibition de la drogue favorisait le crime, sans en diminuer l’usage, et imposait un coût aberrant à la société. Une position analogue a été prise, par la suite, par la célèbre revue The Economist, ce qui fit sensation. D’anciens chefs d’Etat se sont réunis en groupe de travail et ont pris position en faveur d’une nouvelle politique de la drogue et contre l’actuel régime de prohibition. Il est à peine besoin de rappeler ici le rôle important joué par Ruth Dreifuss dans ce contexte. C’est un travail difficile, qui demande beaucoup d’énergie et beaucoup de temps.

Il faut ainsi convaincre les politiciens un peu partout dans le monde.

La politique actuelle de la drogue est en effet ancrée, je dirai cristallisée, dans des conventions internationales qu’on ne pourra modifier qu’avec l’accord des principaux pays. Or, la peur de la drogue et les discours guerriers qui prônent la répression ont toujours la faveur de nombreux politiciens. Ce genre de discours, en effet, se prêtent bien à des tirades démagogiques et populistes, aujourd’hui plus que jamais à la mode.

Les chroniques parlementaires de ces dernières années démontrent, hélas, qu’à chaque fois que se pose un problème dans la société, il y a toujours de nombreuses voix, souvent majoritaires, pour proposer un durcissement des peines ou la création de nouvelles normes pénales. En Suisse, avant même de disposer d’une étude sérieuse quant aux conséquences sur la récidive de l’élimination des courtes peines de prison décidée lors de la dernière révision du Code pénal, il est devenu de bon ton, aussi bien à droite qu’à gauche, d’invoquer un retour à la case prison. C’est naturellement plus facile que d’essayer de comprendre les raisons profondes de certains comportements et de mettre au point les remèdes les plus efficaces. Il y a exactement deux cent cinquante ans, Cesare Beccaria publiait son ouvrage Dei delitti e delle pene. Il démontrait que ce n’est pas la sévérité de la peine qui retient une personne de commettre une infraction, mais bien le degré de probabilité de se faire prendre; un enseignement qui a maintenu une actualité étonnante. Cette vérité devrait être rappelée avec force aux décideurs d’aujourd’hui qui tendent à faire exactement le contraire: diminuer les moyens à la disposition de l’Etat pour le social, l’éducation et la prévention, et, par ailleurs, durcir la répression pénale.

La politique de la drogue exige une approche cohérente et crédible pour être efficace.

C’est loin d’être le cas aujourd’hui. La distinction entre substances légales et illégales apparaît aujourd’hui comme arbitraire, injuste et hypocrite. Je pense qu’il est nécessaire de mettre en œuvre une stratégie globale pour l’ensemble des substances psychotropes créant une dépendance. Cela ne veut nullement dire qu’on va traiter toutes les substances de la même façon. Il faut progressivement s’acheminer vers un marché contrôlé (cela existe déjà pour le tabac, l’alcool et les médicaments), dans lequel la réglementation est définie en fonction de la dangerosité de la substance et de l’âge du consommateur.

Dans de nombreux pays, les choses ont commencé à bouger. La distribution contrôlée d’héroïne a choqué au début, mais elle a démontré que, bien appliquée, elle contribuait à une réduction sensible des risques pour la santé, à une baisse de la criminalité et permettait une réintégration sociale qui ne paraissait guère possible auparavant. Quelques Etats ont libéralisé le cannabis. (…)

En matière d’addiction et sur la façon d’y faire face

J’ai beaucoup de doutes et, plus j’avance dans la connaissance de ce phénomène, plus les certitudes ont fondu comme neige au soleil. J’ai toutefois une conviction. La prohibition telle que nous l’appliquons est non seulement une faillite, mais elle entretient le phénomène criminel le plus important de tous les temps. Ce dernier a assumé une telle dimension que la lutte que nous menons actuellement contre le trafic de drogue ne peut pas et ne pourra jamais être gagnée.

Pourquoi? Parce que les intérêts du crime organisé sont aujourd’hui à ce point entremêlés avec ceux d’autres acteurs économiques, politiques et sociaux qu’une disparition des narcodollars entraînerait une réaction en chaîne désastreuse. Le directeur de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime, Antonio Maria Costa, a affirmé que les narcodollars ont contribué à sauver de la faillite des établissements bancaires de première importance lors de la tempête qui s’est abattue sur les marchés financiers mondiaux en 2008. Je laisse la responsabilité de cette affirmation à son auteur, qui n’est en tout cas pas le dernier venu. Ce qui est vrai, en tout cas, c’est qu’avec le prohibitionnisme le narcotrafic est en fait devenu aussi, comme certaines banques, too big to fail!

Seul un changement de paradigme est à même de nous offrir une meilleure perspective d’avenir.

Il faut attaquer le trafic sur le terrain qui lui a assuré son fantastique succès, le marché. Ce marché que nous avons soutenu, financé, entretenu et qui a ainsi conféré une énorme plus-value à des substances qui n’avaient que peu de valeur. Au lieu d’essayer d’éliminer ce marché par des tentatives qui jusqu’à présent n’ont eu d’autre effet que de le renforcer, il faut l’accepter comme une réalité, il faut l’occuper et le réguler. C’est finalement ce qu’on a fait avec l’alcool et le tabac.

La drogue est avant tout un problème de santé et il faut l’appréhender en tant que tel. 

Certes, ce changement d’orientation fondamental de la politique de la drogue n’est pas facile et n’est pas sans risque; des erreurs seront inévitables. Des expériences intéressantes sont en cours et les désastres que l’on nous a annoncés ne se sont pas produits. Comme l’a bien dit récemment un chercheur français, l’ampleur de la catastrophe actuelle est telle que le risque de faire pire est très faible.

En fait, il ne s’agit ni d’imaginer ni de réaliser une société sans drogue, celle-ci n’a jamais existé. Le véritable défi est d’accepter l’existence des drogues et d’apprendre à vivre avec. La régulation du marché – avec le contrôle de la production et de la distribution en tenant compte de la dangerosité des substances – permettrait de diminuer sensiblement les profits des narcotrafiquants. Mais cela contribuerait également à diminuer fortement les risques pour les consommateurs puisque, par exemple, la plupart des morts dues à la consommation de drogues ne sont en fait pas provoqués directement par la substance, mais par le fait qu’elle est frelatée.

Les ressources financières que l’on économiserait dans le domaine de la répression et du système pénitentiaire permettraient d’intervenir avec plus d’efficacité sur la demande.

Non plus avec le gendarme et la prison, mais avec une action de prévention cohérente.

Persister sur la voie actuelle serait en revanche reconnaître la victoire du crime organisé et lui assurer un avenir confortable. Le marché illégal de la drogue continuera à être florissant et à être présent partout, dans tous les milieux, même dans les structures les plus fermées et les mieux surveillées.

Les narcodollars, comme évoqué plus haut, alimentent une corruption économique et morale aux plus hauts niveaux. Cette corruption est à mon avis la menace la plus grave pour nos démocraties. Oui, plus grave que le terrorisme.

Extraits d’une conférence publique donnée à l’Université de Genève par Dick Marty.

SOURCE

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LA RÉUNION 🇷🇪 (OFAST – SAINT DENIS) : des consommateurs bien insérés dans le tissu économique seraient inquiétés

Un trafic de cocaïne Dubaï-Réunion impliquant des cols blancs en cours de démantèlement

C’est un dossier de trafic de stupéfiants moins ordinaire que d’habitude qui serait entre les mains d’un juge d’instruction dionysien.

Ce mardi, une petite dizaine d’interpellations auraient été réalisées sous la houlette de l’OFAST, l’Office anti-stupéfiants, en collaboration avec le commandement de la gendarmerie ainsi que la section de recherches et le groupe interministériel de recherches (GIR).

Selon les informations de ZINFOS974, des auditions sous le régime de la garde à vue seraient en cours à la caserne de la Redoute et dans différentes brigades de gendarmerie de l’île.

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Un coup de filet sur des trafiquants supposés de drogue dure a eu lieu ce mardi à La Réunion à la suite d’une enquête préliminaire longue et minutieuse.

Interpellées puis placées sous le régime de la garde à vue ce mardi comme nous vous le révélions ce mercredi après-midi, cinq personnes ont été présentées au palais de justice de Saint-Denis. Leur passage devant le juge d’instruction et le juge des libertés s’est terminé à 20 heures. 

Trois d’entre elles passeront une première nuit en prison, il s’agit de trois hommes. Les deux premiers, dont Karim (…) sont considérés comme les têtes du réseau. Ils ont tous les deux demandé un délai avant de passer devant le juge des libertés. Ils sont donc placés en détention provisoire en attendant l’audience différée qui doit intervenir sous quatre jours maximum. 

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FRANCE 🇫🇷 (DG de la douane – DNRED) : lettre ouverte au valet de plume Michel Baron (2 éme rappel)

Michel Baron

Mon cher Michel

Mon cher administrateur des douanes

Mon cher chef du bureau de la politique du dédouanement

Mon cher menteur

Mon cher tartuffe

Relisant tes écrits, j’ai pu constater que tu étais particulièrement performant dans l’art de la rhétorique mensongère.

Le 10 avril 2020, je t’avais écrit une lettre ouverte, que je t’ai envoyée à nouveau le 21 décembre 2021 mais tes nombreuses occupations ne t’ont pas permis de trouver le temps d’y répondre.

Ce 21 septembre 2022, je te la fais à nouveau parvenir, espérant que cette fois-ci, tu n’auras pas l’attitude d’un de tes prédécesseurs Gérard Schoen qui avait préféré s’enfuir en courant lorsque j’avais cherché à le rencontrer.

J’ai mis quelques photos pour te permettre de reconnaitre tes semblables !

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Ô, mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher responsable des affaires juridiques et contentieuses, mon cher menteur, mon cher tartuffe, constater une fois encore tes savantes manœuvres pour dégager la responsabilité de l’administration des douanes ne m’ont permis que de faire un constat, accablant pour toi, comme pour tes prédécesseurs Elizabeth Melscoet, Thomas Charvet et le gredin Erwan Guilmin : vous êtes des menteurs institutionnels !

Erwan Guilmin

Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher responsable des affaires juridiques et contentieuses, mon cher menteur, mon cher tartuffe, sais tu que je ne peux accepter cette infamie savamment distillée par tes écris mensongers. Il m’est insupportable de constater qu’après avoir été encensé puis encouragé à infiltrer et infiltrer encore, tu ne souhaitais que flétrir tant de lauriers amassés. Mes actions qu’avec respect toute la hiérarchie de la DNRED admirait, mes informations précises qui tant de fois ont permis des saisies importantes, tant de fois valorisaient un service… aux actions que tu ne connais même pas ! Tu m’as trahi comme tu as trahi l’honneur de la douane tout entière en déformant sciemment l’action que j’ai menée suite aux volontés ministérielles de Michel Charasse.

Gérard Schoen

Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher responsable des affaires juridiques et contentieuses, mon cher menteur, mon cher tartuffe, toi qui occupe un haut rang d’administrateur, comment peux tu l’occuper sans honneur? Tu as préféré emprunter les affabulations de tes prédécesseurs pour m’écarter de toutes réparations. Seras-tu un sprinter comme ce faquin de Gérard Schoen si tu me rencontrais ou préférerais-tu jouer les timides méprisants et dédaigneux, comme le fit Corinne Cleostrate, et t’éloigner sans me regarder ?

Corine Cleostrate

Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher responsable des affaires juridiques et contentieuses, mon cher menteur, mon cher tartuffe, relire encore que toutes les turpitudes subies ne seraient la résultante que d’une erreur d’appréciation de ma part sur l’engagement de la douane sur lequel j’étais persuadé pouvoir compter, me trouble. En homme d’honneur que je suis, habitué à la parole donnée, il m’était difficile d’imaginer que tant de bassesses pouvait t’habiter.

Thomas Charvet

Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher responsable des affaires juridiques et contentieuses, mon cher menteur, mon cher tartuffe, je te croyais honnête et factuel, n’hésitant pas à t’informer avant de m’emballer dans des écrits totalement infondés. Non, tu n’as rien demandé, te permettant alors de tordre le cou à la vérité des faits.

Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher responsable des affaires juridiques et contentieuses, mon cher menteur, mon cher tartuffe, merci de transmettre mes meilleures civilités à ton entourage…douanier. »

Marc Fievet

Plus sur Marc Fievet

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François Auvigne

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EUROPE 🇪🇺 (Drogue) : l’enquête sur EncroChat, le WhatsApp des trafiquants, déclenchée par les gendarmes français, continue de déranger les narcos

C’est un gros coup de filet dans l’univers tortueux du trafic de drogue . Selon nos informations, 5.000 personnes ont été arrêtées dans 42 pays différents dont près de 300 trafiquants de haut vol et une vague d’interpellations a eu lieu la semaine passée, notamment à Dubaï, aux Pays-Bas et en Espagne.

Ce bilan toujours provisoire est le résultat de la prouesse technique des gendarmes français qui ont réussi, il y a quatre ans, à pénétrer le système de cette messagerie cryptée EncroChat.

source

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LA RÉUNION 🇷🇪 : les gendarmes bien rencardés saisissent 148 kilos de zamal destinés à Maurice 🇲🇺

C’est Z Infos 974 qui nous rapporte que les gendarmes de Saint-Benoît ont procédé à une saisie de 147,9 kg de zamal dont 1 kg de résine de cannabis vendredi dernier dans l’Est de l’île.

Au total, ce ne sont pas moins de 8 interpellations qui ont été effectuées conjointement entre la Brigade de Recherche de Saint-Benoit et la Section de Recherche de la gendarmerie de La Réunion.

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OCÉAN INDIEN (opération européenne Atalante 🇪🇺 – mission Jeanne d’Arc 🇫🇷) : saisie de 4 tonnes de cannabis et 90 kg d’héroïne dans le golf d’Oman

C’est Le QUOTIDIEN qui nous signale le Tweet de la Marine nationale , « le PHA ( Porte-hélicoptères amphibie) Mistral et la FLF (Frégate) Courbet ont identifié un boutre par hélicoptère avant de l’intercepter et de le fouiller. » Ces deux bâtiments sont engagés dans la lutte contre la piraterie et la criminalité dans l’Océan Indien.

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NARCO-LOGISTIQUE: dans des noix de coco ou sous forme de mélasse, la cocaïne liquide est désormais envoyée partout dans le monde

La production de cocaïne liquide consiste à dissoudre de la cocaïne dans de l’eau, des solvants ou d’autres produits contenant des composés chimiques tels que le mannitol, le glucose, la cellulose ou le lactose.

Il est alors placé à l’intérieur de produits tels que des bouteilles de shampoing ou caché dans de la mélasse de canne à sucre, généralement des produits à forte odeur pour passer inaperçus et qui facilitent leur trafic ou leur transport par des mules de drogue.

Le 5 février, la police colombienne a saisi environ 3,5 tonnes de cocaïne dans le port de Carthagène, au nord de la Colombie.

Il s’agissait de la cinquième saisie de cocaïne liquide depuis novembre 2021 et elle survient une semaine seulement après la découverte de près de 20 000 noix de coco qui camouflaient de la cocaïne liquide dans le port de Carthagène à destination de l’Italie. La cocaïne aurait été dissoute et mélangée en deux cargaisons, l’une d’engrais organique et l’autre de mélasse extraite de la canne à sucre. Les deux cargaisons provenaient d’Urabá Antioquia, une région du nord-ouest de la Colombie, et étaient destinées aux ports de Valence, en Espagne, et de Veracruz, au Mexique.

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NARCO-BUSINESS 🇪🇺 🇺🇸 🇦🇺 🇨🇳 🇲🇽 🇧🇷 🇦🇫: narco-traffickers defied Covid-19 and now look set to reach new heights, as the stars are aligning for a further expansion of their trade.

In mid-December, the authorities in Arizona intercepted more than 1.5 tons of methamphetamine coming from Mexico, the last in a line of record drug hauls around the world in recent months. Responding to the news, UN synthetic drugs expert Martin Raithelhuber tweeted that the size of meth seizures was “simply amazing”.  

The global drugs trade is on fire, having survived the coronavirus pandemic with minimal disruption. Production is increasing in many places, fuelled by instability and economic crises in major drug-producing countries. Traffickers appear to be sending vast shipments, reflected in record-breaking drug seizures.

“There’s a boom in demand, there’s a boom in supply,” said Andrew Cunningham, head of drug markets, crime and supply reduction at the European Monitoring Centre for Drugs and Drug Addiction (EMCDDA), “It does look quite apparent.” 

Nowhere is this boom more pronounced than in the Golden Triangle, where Laos, Thailand and Myanmar intersect. In October, police grabbed 55 million methamphetamine tablets in Laos, Asia’s largest ever drug bust. Regional drug production and trafficking have intensified following the February coup in Myanmar, which plunged the country into chaos.

The October meth haul was only the tip of the iceberg. Many other large shipments have been reported in recent months. Seizures of methamphetamine have been expanding steadily in the past decade to reach a record high in 2020, according to the United Nations Office on Drugs and Crime (UNODC). 

“There is an expansion of the synthetic drug market,” said Martin Raithelhuber, of UNODC. Meth was becoming “cheaper” while purity remained high, he said. “It really points to a larger amount of the drug being available on the market”. 

This boom has been facilitated by innovative chemistry. Drug producers have managed to create their own precursor chemicals for synthetic drugs, bypassing international controls. Last year Laotian authorities seized more than 70 tons of propionyl chloride, which can be used to make fentanyl and meth precursors. 

Record hauls

Mexican cartels have reportedly used similar experimentation, and drugs are flooding into the US. In November, almost 9 tons of meth and over 175 kg of fentanyl were seized at the border, the largest amount for either drug in two years. Indeed, the DEA seized a record amount of fentanyl in 2021. Overdose deaths reached new highs from 2020 to 2021.

Mexican cartels have also penetrated the European market. Spanish police recently announced the largest ever methamphetamine bust on record, with over 2.5 tons seized in separate, coordinated raids in various cities. A Mexican cartel was allegedly piping meth into Europe through the port of Barcelona.

These seizures point to large-scale drug production, but they are also indicative of intensified law-enforcement activity, according to Andrew Cunningham. The Spanish meth haul was the result of a lengthy international investigation. Encrypted communication platforms used by traffickers have recently been cracked, leading to big seizures.

Mexican cartels have also penetrated the European market. A Mexican cartel was allegedly piping meth into Europe through the port of Barcelona.
Mexican cartels have also penetrated the European market. A Mexican cartel was allegedly piping meth into Europe through the port of Barcelona. (AP)

The narcotics trade has also been helped along by political instability in major drug-producing countries, such as Myanmar and Afghanistan. The production and trafficking of narcotics tend to flourish in chaotic, conflict-ridden states with rule of law deficits. 

“The places where the drug production is booming are places where the state has very little control or they’re facilitating or turning a blind eye to things that are going on in the country,” Cunningham told TRT World.

In war-ravaged Syria manufacture of the amphetamine known as Captagon has skyrocketed with the help of the government. The Assad regime, throttled by sanctions and mired in economic crisis, is relying on drugs to earn hard currency. Associates of the ruling family are allegedly involved in production and trafficking of Captagon, turning Syria into a narcostate.

Captagon seizures have reached eyewatering levels. 2021 saw the largest quantity of tablets seized on record, with 95 million pills intercepted in Malaysia in a single haul in March. In Jordan, almost twice as many Captagon tablets were grabbed in 2021 compared with the previous year. And Saudi Arabia has been severely affected, too.

Captagon has also reached Iraq, where use of synthetic drugs, including methamphetamine, has increased enormously in the past decade. The amount of Captagon and meth seized in 2021 was twenty times larger than in the previous two years combined, according to the Iraqi government. 

“The Captagon trade has experienced a notable increase in both supply and number of transit and destination markets,” said Caroline Rose, Senior Analyst and Head of the Power Vacuums program in the Human Security unit at the Newlines Institute and author of an upcoming report on Captagon. “It’s very likely that this trade will continue to expand”.

Meanwhile, Afghanistan has emerged as a major meth producer. The drug can be made cheaply using a local plant, ephedra. Afghan meth now flows in copious quantities to Iran and also to Africa via Pakistan and the Indian Ocean. International maritime forces seized more drugs in the region in 2021 than in the previous four years combined – a new record.

The narcotics boom is more pronounced than anywhere else in the Golden Triangle, where Laos, Thailand and Myanmar intersect. Regional drug production and trafficking intensified following the February coup in Myanmar, which plunged the country into chaos.
The narcotics boom is more pronounced than anywhere else in the Golden Triangle, where Laos, Thailand and Myanmar intersect. Regional drug production and trafficking intensified following the February coup in Myanmar, which plunged the country into chaos. (AP)

According to recent research, the production of ephedra appears to be increasing in Afghanistan as the country collapses into economic crisis. Satellite imagery reveals “new shops, an extended storage area for dried & milled ephedra, and more inventory than ever before”, writes David Mansfield. The price of both meth and ephedra has fallen. 

Afghanistan is also a major producer of opiates, accounting for 85 percent of the global heroin supply. Opium production increased by 8 percent in 2021, the United Nations recently assessed, and may continue to rise as farmers have reported higher levels of cultivation this planting season.

Elsewhere, the cocaine trade is booming. Production increased in Colombia in 2020, and there have been a number of massive seizures at European ports, including over 16 tons at Hamburg in February, almost 11 tons at Antwerp in April and 4 tons at Rotterdam in October. Turkey also saw the largest cocaine haul in its history this year.

What supply chain crisis?

The use of container ships to smuggle cocaine concealed in perishable goods, such as fruit, predated the pandemic, but appears to have increased. Air travel was severely hit by coronavirus restrictions, limiting the ability to send drugs on commercial flights.

Maritime shipping enables smugglers to transport huge quantities of product with relatively limited risk of detection, given the size of the vessels and the time-sensitive nature of food imports, which must be checked promptly by customs officials.

The massive seizures this year also indicate that the cocaine trade has not been significantly disrupted by the covid-related supply-chain crisis. A boom in demand combined with covid problems in Asia have caused shortages of goods and shipping delays as vessels lie moored outside ports, waiting for a berth. 

While South America has been affected by the crisis, import volumes from the east coast to Europe have not declined during the pandemic, according to Simon Heaney, a senior manager at maritime consultancy, Drewry. “I haven’t seen any evidence that volumes on this trade have been supressed by the supply chain issues,” Heaney told TRT World.

Food, in which cocaine is often hidden, is less vulnerable to disruption than electrical appliances. “The supply chain is much more complex with electrical goods – more intermediate components / parts that need to be shipped from various locations, increasing the risk of delays / raising costs,” Heaney said.

The pandemic forced traffickers to adapt their methods, selling drugs online and adopting novel delivery systems that reduce human contact, such as drones.
The pandemic forced traffickers to adapt their methods, selling drugs online and adopting novel delivery systems that reduce human contact, such as drones. (AP)

While the cost of sending freight has generally become more expensive amid the supply-chain crisis, including from South America, traffickers generally conceal their product in licit shipments, meaning they “do not pay for the cost of the shipping container”, according to Andrew Cunningham. 

The trafficking of heroin along the Balkan Route through Iran and Turkey to Europe is mostly conducted in vehicles and has not been seriously affected by the shipping crisis, and the same goes for the meth trade in Southeast Asia, much of which happens overland between Lower Mekong countries.

The demand for narcotics might also have increased, Cunningham said. The use of drugs normally consumed in recreational settings, such as MDMA and cocaine, appeared to fall during the initial lockdowns in 2020, but has since bounced back, according to the EMCDDA’s 2021 drug report

The pandemic forced traffickers to adapt their methods, selling drugs online and adopting novel delivery systems that reduce human contact, such as drones. While some of these adaptations might be temporary, others could transform the drug trade and further empower traffickers going forward.

The social and economic damage caused by Covid-19 could also drive more people into drugs. “Research findings associate inequality, poverty and lack of opportunities for socioeconomic development with increased drug use disorders and increased engagement in drug production and trafficking,” says the 2021 UN World Drug Report.

Narco-traffickers defied Covid-19 and now look set to reach new heights, as the stars are aligning for a further expansion of their trade.

Rupert Stone

AUTHOR Rupert Stone@RupertStone83

Rupert Stone is an Istanbul-based freelance journalist working on South Asia and the Middle East.

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OCÉAN INDIEN (Trafic de drogue) : le Floréal saisit 378 kilos d’héroïne

Lors d’une opération de contrôle sur un boutre, la frégate de surveillance a saisi cette semaine, 378 kilos d’héroïne.

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AVISEUR INTERNATIONAL : les toutes dernières « NARCONEWS » via Twitter

NARCOTRAFIC (Cocaïne, héroïne, tramadol) : l’Afrique plus que jamais à l’épreuve du narcotrafic

Ces derniers mois, les saisies records de drogues se succèdent sur le continent. Malgré l’épidémie de Covid-19, le trafic s’est intensifié, de nouvelles routes se sont créées et, surtout, la consommation locale s’accroît.

Plaque tournante de la drogue depuis 20 ans, l’Afrique est confrontée en 2021 à une augmentation sans précédent du trafic de stupéfiants.

Pour atteindre l’Europe, la cocaïne colombienne emprunte désormais presque systématiquement la route du Golfe de Guinée, avant de traverser le Sahel, où groupes jihadistes et milices ont la haute main sur tous les trafics. L’héroïne afghane, elle, emprunte la « route du Sud » plutôt que celle des Balkans, désormais plus sécurisée.

Si la majeure partie des drogues sont destinées aux marchés occidentaux, le commerce de produits dérivés – d’opioïdes notamment – pour la consommation locale explose. Alors que l’usage non-médical du Tramadol continue de faire des ravages en Afrique de l’Ouest, les héroïnomanes ont plus que triplé en Afrique de l’Est et australe et la consommation de cannabis reste toujours au dessus de la moyenne mondiale, avec un taux de prévalence d’environ 7 % chez les 15-65 ans.

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MAURICE 🇲🇺 (Anti-Drug and Smuggling Unit) : le cannabis arrivait de la Réunion 🇫🇷

Un trafic de drogue démantelé dans l’axe Réunion-Maurice. Une embarcation avec quatre personnes à bord a été interceptée en haute mer à Rivière-Noire par les membres de l’Anti-Drug and Smuggling Unit (Adsu) dans la journée du jeudi 1er juillet.

Lors de cette opération, environ 70 kg de cannabis ont été saisis, dont la valeur marchande est estimée à Rs 42 millions, mais selon l’ADSU à Rs 108,8 millions, qui se base sur la valeur du gandia local. La brigade antidrogue soupçonne fortement que cette embarcation revenait de l’île de la Réunion.

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OCÉAN INDIEN (Île Maurice 🇲🇺) : Jeffrey et Gro Samuel arrêtés lors de l’Opération super Cargo

Deux gros bras et des directeurs de sociétés de l’île Maurice ont été interpellés. « Gro Samuel » et « Jeffrey » étaient recherchés depuis 42 jours. Les directeurs de sociétés sont également passés aux aveux. Tous ont participé au trafic de drogues démantelé le 2 mai 2021 révèle Franceinfo

La police a arrêté deux importants membres du réseau Gurroby lors d’une opération lundi soir à Chebel. Jean Prudence, alias Gro Samuel, et Geoffrey Imbe, plus connu sous le sobriquet de Jeffrey, ont en effet été pincés après plus d’un mois de recherche. Ces deux habitants de Baie-du-Tombeau n’avaient plus donné signe de vie depuis le 2 mai, lorsque Rs 3,6 Mds de drogue avaient été saisies sur un terrain occupé par Ritesh Gurroby sur la Club Med Road, à Pointe-aux-Canonniers.

L’Anti Drug and Smuggling Unit (Adsu) soupçonne les deux suspects d’avoir loué un véhicule pour suivre un cortège de véhicules dans lequel se trouvaient Ritesh et Nitiraj (Niresh) Gurroby, le sergent Garry Joumont ainsi que d’autres individus toujours recherchés, pour protéger la cargaison de drogue depuis sa sortie en mer jusqu’au lieu de la « cache ». Très peu d’informations étaient disponibles hier soir quant au sort des deux suspects. Les Casernes centrales évoquaient une détention “in communicado” hier dans la soirée.

Jeffrey et Gro Samuel sont considérés comme étant très proches de Ritesh Gurroby. Leurs noms avaient d’ailleurs été donnés par l’un des suspects il y a quelques semaines. Les deux hommes accompagnent ainsi souvent Ritesh et son autre frère, Nitesh (arrêté par l’Icac), au Champ de Mars pour assister aux courses hippiques. Ces deux suspects feraient partie d’une équipe misant de grosses sommes chez des bookmakers. L’argent serait alors placé dans un sac à dos, qu’ils emportent toujours avec eux.

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FRANCE 🇫🇷 : ce que vous n’apprendrez pas en allant au musée de la Douane française à Bordeaux

LA RÉUNION 🇷🇪 (Saint-Louis) : plusieurs réseaux démantelés par les gendarmes

Identifié, le fournisseur a été interpellé le 8 juin 2021. La perquisition effectuée a permis de découvrir un véritable laboratoire servant à alimenter plusieurs vendeurs en stupéfiants multiples.

Au cours de cette nouvelle saisie les autorités ont découvert 1,9g de cocaïne, 1,4g de kétamine, 1g de MDMA, 2 cachets d’ecstasy, 10 buvards de LSD, 1 flacon de LSD liquide (pour 100 gouttes), 5 sucres avec LSD, 30 doses d’etizolam (drogue de synthèse), 40,4 g d’herbe de cannabis, 4 chambres de culture avec équipement complet, 47 pieds d’herbe de cannabis, 1 pot de graines de cannabis, 2 balances de précision, 560 euros, 6 feuilles de comptes, du matériel de conditionnement.

Les 2 mis en cause comparaîtront fin août au tribunal judiciaire de St Pierre pour répondre des infractions de trafic de stupéfiants.

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MAURICE 🇲🇺 (saisie de 243 kilos d’héroïne et 26 kilos de haschisch) : un autre membre de la famille Gurroby a été arrêté et inculpé de trafic de drogue

La police poursuit son enquête sur la saisie de 243 kilos d’héroïne et 26 kilos de haschisch le 2 mai . Un autre membre de la famille Gurroby a été arrêté.

Il s’agit de Nogesh, neveu de Ritesh Gurroby.

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