Aviseur International renseigne sur la problématique de la drogue, du narcotrafic et sur les politiques mises en œuvre par les différents Etats. ———- CONTACT par email: ns55dnred@outlook.fr ou WhatsApp: 33 (0) 6 84 30 31 81 Suivez @MarcFievet sur TWITTER
Bercy est une cathédrale. Un bâtiment froid et immense, une véritable forteresse qui semble imprenable et incarne la toute puissance de l’Etat. Même flanqué de sa remorque, le camping-car du narcotour de France installé au pied du ministère semblait bien minuscule face à la démesure de l’ogre des finances.
This handout picture released by the Colombian Army shows a member of the Army standing on a submersible used to traffick drugs in Bahia Malaga, Valle del Cauca, Colombia on May 12, 2023. The largest drug shipment in Colombia’s history was seized with three tons of cocaine in the Pacific Ocean, according to the Colombian Navy. (Photo by Handout / Colombian Army / AFP)
Le champ d’ application “du secret de la défense nationale”, aux termes de l’ article 413-9 du code pénal, recouvre les renseignements, objets, documents, procédés, données informatisées et fichiers intéressant la défense militaire, la diplomatie, la défense civile, la sécurité intérieure, la protection des activités économiques, environnementales ou industrielles et la protection du patrimoine scientifique et culturel de la France. La classification des informations est de la seule responsabilité de chaque ministre dans son domaine de compétence.
Le Premier Ministre est l’ autorité compétente pour définir les critères et les modalités des informations classifiés “très secret défense” qui concernent exclusivement les priorités gouvernementales majeures de défense. La décision de classification est matérialisée par l’ apposition de tampons ou de marquages bien définis, destinés à traduire un niveau de classification “très secret défense”“secret défense” ou “confidentiel défense” . L’ accès à un document classifié est alors limité aux seules personnes habilitées. Cependant, le fait d’ être habilité est une condition nécessaire mais non suffisante pour avoir accès à une information classifiée car il faut de plus que la personne puisse invoquer “le besoin d’ en connaître”. Si cette exigence est remplie par les nécessités des investigations conduites par les enquêteurs, le parquet ou le magistrat instructeur, seuls les premiers cités pourront avoir accès aux informations classifiées et cela à condition qu’ ils soient titulaires d’ une habilitation en cours de validité et du niveau des informations en question. Les magistrats, pour leur part, ne possèdent pas l’ habilitation requise et ne peuvent donc pas prendre connaissance des documents. D’ autre part, il ne peut pas y avoir de déclassification d’ informations classifiées concernant de façon globale une affaire ou un dossier mais seulement une déclassification d’ un ou de plusieurs documents ou objets (logiciel informatique, prototype…).
En outre, une personne habilitée ne peut être déliée de ses obligations contractées au titre de son habilitation au secret défense. Ainsi, il est inutile de demander à une autorité administrative d’ autoriser l’ un de ses agents à venir déposer sur telle ou telle information encore classifiée. Il convient au contraire de demander la déclassification du document supportant cette information pour que l’ agent puisse ensuite s’ exprimer devant le juge si le dit document a été déclassifié. Enfin, les règles relatives au secret de la défense nationale sont applicables en vertu de législations très diverses…
Vu la loi n° 98-567 du 8 juillet 1998, et en particulier ses articles 4 (2e alinéa), 7 et 8 ; Vu la lettre de saisine du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 16 décembre 2004 et la demande présentée le 17 novembre 2004 par Mme Sophie Clement, vice-présidente chargée de l’instruction au tribunal de grande instance de Paris, dans le cadre de l’instruction ouverte à son cabinet sur plainte de M. Marc Fievet concernant ses relations avec les douanes françaises ;
La Commission consultative du secret de la défense nationale, régulièrement convoquée et constituée, ayant examiné l’ensemble des documents classifiés qu’elle a recueillis au terme des investigations conduites par son président en vertu des pouvoirs que lui confèrent les articles 5 et 6 de la loi susvisée,
Emet un avis défavorable à la déclassification des pièces contenues dans le dossier établi au nom de M. Fievet, en sa qualité d’aviseur de la direction générale des douanes et droits indirects.
Fait à Paris, le 27 janvier 2005. Pour la Commission consultative du secret de la défense nationale: Le président, P. Lelong
Sur les 413 registres de propriété et d’exploitation d’avions accordés par Álvaro Uribe en tant que directeur d’Aerocivil (1980-1982), de nouveaux noms liés au trafic de drogue sont ajoutés.
Ce deuxième volet révèle comment les affaires de ces personnages mènent Tomás et Jerónimo Uribe Moreno, fils de l’ancien président, et Lucía Gaviria Jaramillo, mère du mannequin Natalia París.
Le jour où Carlos Eduardo Restrepo Gaviria a été capturé par le FBI, il séjournait avec sa fiancée à l’hôtel Mayfair à Miami. C’était l’été 1987. Le raid faisait partie d’une opération d’infiltration appelée « Cashweb Expressway », la plus grande affaire de blanchiment d’argent de l’agence à ce jour, selon Edwin Meese, procureur général à l’époque.
Restrepo, 37 ans, a été décrit comme l’un des plus grands blanchisseurs du cartel de Medellín et a été arrêté avec sa partenaire María Mendoza, 32 ans, et six personnes. L’enquête, qui a commencé en 1984, a pénétré les plus hauts niveaux des réseaux de blanchiment d’argent de ce cartel, selon Meese.
Trois ans plus tôt, le 21 août 1981, Álvaro Uribe, alors directeur de l’Aéronautique civile, avait accordé à Carlos Restrepo Gaviria un registre de propriété pour un avion privé. C’était un Learjet 25-D, de la compagnie canadienne qui porte le même nom et qui fabrique des avions de luxe.
L’avion, d’une capacité approximative de 8 à 10 passagers, était immatriculé dans le comté de Dade en Floride, aux États-Unis, sous l’immatriculation HK2624, selon les registres Aerocivil détenus par Cuestión Pública. C’est le même comté où l’opération Cashweb du FBI a commencé.
Lors de son procès à New Heaven, dans le Connecticut, les procureurs ont accusé Restrepo d’avoir blanchi plus de 10 millions de dollars provenant de la vente de cocaïne à New York. Le Colombien aurait secrètement remis l’argent à des agents infiltrés dans des valises, des cartons et des paniers, entre novembre 1986 et peu avant son arrestation. Restrepo a plaidé non coupable, affirmant qu’il n’était qu’un homme d’affaires.
Les agents ont saisi 21,5 millions de dollars sur les 200 millions que cette organisation aurait blanchis pour Pablo Escobar, le clan Ochoa Vásquez, Carlos Ledher et Rigoberto Correa.
Ce dernier est le frère de feu le capo Ramiro Arturo « Pablo » Correa Arroyave, dont le clan est passé de record de trafic de cocaïne dans les années 80 à mégacontractant d’État à Antioquia, comme l’a révélé ce média en 2021
Los narcoregistros que dieron Álvaro Uribe y la Aerocivil
(21/09/2022)
Entre 1980 y 1982, Álvaro Uribe, entonces director de la Aerocivil, otorgó 413 registros de propiedad y explotación de aeronaves a cientos de personas y empresas. Entre ellos, a 8 vinculadas con el narcotráfico, como Martha Upegui de Uribe, conocida como la “reina de la cocaína”, y Julio Roberto Silva, un esmeraldero también relacionado con el tráfico de drogas. Para entonces, ya se conocían las actividades ilícitas de varios de ellos.
Dans le port de Carthagène et cachés dans une structure métallique, les autorités ont trouvé et saisi 1 231 kilos de coke destinés à la ville de Lisbonne.
Malgré les milliards de dollars dépensés par Washington pour couper à la racine le trafic de cocaïne depuis des décennies, les cartels colombiens semblent plus forts que jamais.
La guerre contre les drogues est un échec, la Colombie, qui en a payé le prix cher, entend y mettre fin. Depuis son arrivée au pouvoir, Gustavo Petro, premier président de gauche du premier pays producteur mondial de cocaïne, dénonce la vision sécuritaire et militariste qui s’est imposée depuis près d’un demi-siècle en matière de lutte contre les stupéfiants. « Les fusils ne régleront pas le problème de la drogue », a résumé M. Petro.
Ricova, qui a de nombreux contrats publics au Québec, est sous la loupe de la GRC pour ses activités en Colombie
Le géant des ordures Ricova est soupçonné par la Gendarmerie royale du Canada (GRC) d’être impliqué dans du trafic de drogue via la Colombie, a appris notre Bureau d’enquête.
Mon cher chef du bureau de la politique du dédouanement
Mon cher menteur
Mon cher tartuffe
Relisant tes écrits, j’ai pu constater que tu étais particulièrement performant dans l’art de la rhétorique mensongère.
Le 10 avril 2020, je t’avais écrit une lettre ouverte, que je t’ai envoyée à nouveau le 21 décembre 2021 mais tes nombreuses occupations ne t’ont pas permis de trouver le temps d’y répondre.
Ce 21 septembre 2022, je te la fais à nouveau parvenir, espérant que cette fois-ci, tu n’auras pas l’attitude d’un de tes prédécesseurs Gérard Schoen qui avait préféré s’enfuir en courant lorsque j’avais cherché à le rencontrer.
J’ai mis quelques photos pour te permettre de reconnaitre tes semblables !
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Ô, mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher responsable des affaires juridiques et contentieuses, mon cher menteur, mon cher tartuffe, constater une fois encore tes savantes manœuvres pour dégager la responsabilité de l’administration des douanes ne m’ont permis que de faire un constat, accablant pour toi, comme pour tes prédécesseurs Elizabeth Melscoet, Thomas Charvet et le gredin Erwan Guilmin : vous êtes des menteurs institutionnels !
Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher responsable des affaires juridiques et contentieuses, mon cher menteur, mon cher tartuffe, sais tu que je ne peux accepter cette infamie savamment distillée par tes écris mensongers. Il m’est insupportable de constater qu’après avoir été encensé puis encouragé à infiltrer et infiltrer encore, tu ne souhaitais que flétrir tant de lauriers amassés. Mes actions qu’avec respect toute la hiérarchie de la DNRED admirait, mes informations précises qui tant de fois ont permis des saisies importantes, tant de fois valorisaient un service… aux actions que tu ne connais même pas ! Tu m’as trahi comme tu as trahi l’honneur de la douane tout entière en déformant sciemment l’action que j’ai menée suite aux volontés ministérielles de Michel Charasse.
Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher responsable des affaires juridiques et contentieuses, mon cher menteur, mon cher tartuffe, toi qui occupe un haut rang d’administrateur, comment peux tu l’occuper sans honneur? Tu as préféré emprunter les affabulations de tes prédécesseurs pour m’écarter de toutes réparations. Seras-tu un sprinter comme ce faquin de Gérard Schoen si tu me rencontrais ou préférerais-tu jouer les timides méprisants et dédaigneux, comme le fit Corinne Cleostrate, et t’éloigner sans me regarder ?
Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher responsable des affaires juridiques et contentieuses, mon cher menteur, mon cher tartuffe, relire encore que toutes les turpitudes subies ne seraient la résultante que d’une erreur d’appréciation de ma part sur l’engagement de la douane sur lequel j’étais persuadé pouvoir compter, me trouble. En homme d’honneur que je suis, habitué à la parole donnée, il m’était difficile d’imaginer que tant de bassesses pouvait t’habiter.
Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher responsable des affaires juridiques et contentieuses, mon cher menteur, mon cher tartuffe, je te croyais honnête et factuel, n’hésitant pas à t’informer avant de m’emballer dans des écrits totalement infondés. Non, tu n’as rien demandé, te permettant alors de tordre le cou à la vérité des faits.
Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher responsable des affaires juridiques et contentieuses, mon cher menteur, mon cher tartuffe, merci de transmettre mes meilleures civilités à ton entourage…douanier. »
El presidente colombiano Gustavo Petro considera que los cárteles mexicanos se han convertido en la principal amenaza para la soberanía nacional y, en consecuencia, ha ordenado a los comandantes de las Fuerzas Militares y de la policía reorientar la estrategia de seguridad a contener el avance de estas estructuras del “crimen multinacional”.
Los cárteles de Sinaloa y de Jalisco Nueva Generación “tienen la capacidad de controlar la producción de hoja y su transformación en cocaína en Colombia, el transporte de la droga a Estados Unidos y su distribución en el mercado minorista de los grandes centros urbanos estadunidenses”
Las autoridades colombianas lograron una nueva incautación de cocaína. Se trata de un cargamento que según la Armada de Colombia pertenecería a la subestructura ‘Pacífico’ del Grupo Armado Organizado Clan del Golfo.
De acuerdo con la información entregada por la institución naval, 1.456 kilogramos de clorhidrato de cocaína fueron incautados por unidades de la Armada de Colombia en zona rural del municipio de Juradó, en el Chocó.
Policía de Colombia confisca cinco toneladas de cocaína con destino a Bélgica y España
El primer decomiso de 2.782 kilos se hizo en el puerto de la ciudad de Barranquilla, en donde se encontró la cocaína que iba a ser enviada a Valencia, en España, mezclada con sustrato de coco. En forma casi simultánea se confiscó en el puerto de Santa Marta un cargamento de 1.811 kilos en un contenedor con frutas con destino a Bélgica. El tercer cargamento, de 410 kilos de cocaína, también se decomisó en Barranquilla, precisó la policía.
Catatumbo (Colombie) (AFP) – Quand il a déposé les armes, Eiber Andrade pensait en avoir fini avec l’illégalité.
Cinq ans plus tard, l’ex-guérillero récolte les feuilles de coca dans le nord-est de la Colombie où la guerre contre la drogue a échoué et où les promesses de l’État se sont évaporées.
Las autoridades de Colombia incautaron en una vivienda del departamento de Nariño, fronterizo con Ecuador, 744 kilos de cocaína ocultos en latas de atún, informó este jueves la Fiscalía.
Según la investigación, la carga iba a ser llevada al puerto de Cartagena de Indias, en el Caribe, desde donde supuestamente la embarcaban con destino a Europa.
La marine colombienne en coordination avec les unités du Corps d’enquête technique du parquet, ont saisi 258 kilos de cocaïne qui se trouvaient dans un dépôt, situé dans une maison du quartier Villas de La Candelaria, à Carthagène.
Lors d’une opération avec la marine colombienne, la police nationale et la marine équatorienne ont intercepté un bateau de pêche au large d’ Esmeraldas .
Le bateau transportait 400 kilos de cocaïne. La coke était camouflée dans le double fond du navire.
Trois personnes ont été arrêtées et 10 bidons d’essence ont été saisis.
Según las informaciones suministradas por el coronel Julio Ernesto Triana Vergel, jefe de interdicción de la Policía de Antinarcóticos, fue gracias a la colaboración ciudadana que se logró la importante incautación en los dos vehículos de carga.
“Es otro importante resultado de la estrategia ‘Esmeralda’. A partir de una denuncia recibida en la Línea 167 de la Dirección de Antinarcóticos, se despliegan las labores investigativas sobre dos volquetas que provenían del Valle del Cauca con clorhidrato de cocaína hacia la ciudad de Bogotá. Se ubican los dos vehículos en un parqueadero de Fontibón en los cuales se detecta una sustancia cerca de 1.100 kg de clorhidrato de cocaína”, afirmó el jefe de interdicción de la Policía de Antinarcóticos.
Según la Fuerza Naval del Caribe, fueron 407 paquetes rectangulares con un peso bruto de 442.95 y peso neto de 386.4 kilogramos.
Los kilogramos de cocaína eran transportados en una embarcación tipo Go Fast de dos motores y en los que se encontraban cuatro tripulantes de nacionalidad extranjera.
En la operación, liderada por la Armada de Colombia y sus Unidades de Guardacostas, Grupo Aeronaval del Caribe y apoyo de la Fuerza Aérea, se realizó la interdicción marítima a 7 millas náuticas de la Costa, cerca de Puerto Velero, Atlántico.
C’est « Caso Abierto LEVANTE » qui nous informe que trois hommes ont été arrêtés alors qu’ils tentaient de quitter la zone portuaire de Valencia dans un camion, avec plusieurs sacs à dos remplis de coke, planqués dans la cabine d’un camion. C’est le service de sécurité du Port qui les a détectés au terminal à conteneurs CSP de Valencia.
Ils avaient retiré les sacs à dos contenant la cocaïne du conteneur arrivant de Cartagena de Indias en Colombie, chargé de légumes et lesté des 250 kilos de cocaïne.
Les trafiquants ont utilisé le système « rip off » pour acheminer cette cargaison vers l’Espagne. Ce système, très bon marché pour les trafiquants, consiste à contaminer un conteneur avec une cargaison légale pour une entreprise non liée au trafic de drogue, qu’ils choisissent pour son volume élevé d’importations, ce qui minimise la possibilité que les douaniers (SVA( la soumettent à un contrôle.
La policía de Colombia incautó mil 300 kilos de cocaína que iba disfrazada en forma de papas congeladas, lo que las autoridades consideran uno de los trucos “más innovadores” para traficar sustancias ilícitas en los últimos años.
La cocaína en forma de papas fue encontrada en la ciudad portuaria de Cartagena, Colombia y tenían como destino puertos europeos en Lisboa, Portugal y Valencia, España. Más de 50 personas y perros rastreadores trabajaron en el descubrimiento de la droga.
Cuando unidades de guardacostas de la Armada de Colombia estaban haciendo una inspección de rutina a una embarcación artesanal, en el golfo de Urabá,encontraron paquetes rectangulares dentro de cajas de frutas y se dieron cuenta de que se trataba de estupefacientes camuflados.
El procedimiento terminó con la incautación de 1,4 toneladas de droga, distribuidas en 1.400 paquetes, en 88 cajas de frutas.