DOUANE FRANÇAISE 🇫🇷 (DNRED): le dossier de Marc Fievet est classé secret défense…Pourquoi?

Le champ d’ application “du secret de la défense nationale”, aux termes de l’ article 413-9 du code pénal, recouvre les renseignements, objets, documents, procédés, données informatisées et fichiers intéressant la défense militaire, la diplomatie, la défense civile, la sécurité intérieure, la protection des activités économiques, environnementales ou industrielles et la protection du patrimoine scientifique et culturel de la France.
La classification des informations est de la seule responsabilité de chaque ministre dans son domaine de compétence.

Le Premier Ministre est l’ autorité compétente pour définir les critères et les modalités des informations classifiés “très secret défense” qui concernent exclusivement les priorités gouvernementales majeures de défense.
La décision de classification est matérialisée par l’ apposition de tampons ou de marquages bien définis, destinés à traduire un niveau de classification “très secret défense”“secret défense” ou “confidentiel défense” .
L’ accès à un document classifié est alors limité aux seules personnes habilitées. Cependant, le fait d’ être habilité est une condition nécessaire mais non suffisante pour avoir accès à une information classifiée car il faut de plus que la personne puisse invoquer “le besoin d’ en connaître”. Si cette exigence est remplie par les nécessités des investigations conduites par les enquêteurs, le parquet ou le magistrat instructeur, seuls les premiers cités pourront avoir accès aux informations classifiées et cela à condition qu’ ils soient titulaires d’ une habilitation en cours de validité et du niveau des informations en question. Les magistrats, pour leur part, ne possèdent pas l’ habilitation requise et ne peuvent donc pas prendre connaissance des documents.
D’ autre part, il ne peut pas y avoir de déclassification d’ informations classifiées concernant de façon globale une affaire ou un dossier mais seulement une déclassification d’ un ou de plusieurs documents ou objets (logiciel informatique, prototype…).

En outre, une personne habilitée ne peut être déliée de ses obligations contractées au titre de son habilitation au secret défense. Ainsi, il est inutile de demander à une autorité administrative d’ autoriser l’ un de ses agents à venir déposer sur telle ou telle information encore classifiée. Il convient au contraire de demander la déclassification du document supportant cette information pour que l’ agent puisse ensuite s’ exprimer devant le juge si le dit document a été déclassifié.
Enfin, les règles relatives au secret de la défense nationale sont applicables en vertu de législations très diverses…

source

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AVIS
Avis n° 2005-03 du 27 janvier 2005

NOR: CSDX0508078V

Vu la loi n° 98-567 du 8 juillet 1998, et en particulier ses articles 4 (2e alinéa), 7 et 8 ; Vu la lettre de saisine du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 16 décembre 2004 et la demande présentée le 17 novembre 2004 par Mme Sophie Clement, vice-présidente chargée de l’instruction au tribunal de grande instance de Paris, dans le cadre de l’instruction ouverte à son cabinet sur plainte de M. Marc Fievet concernant ses relations avec les douanes françaises ;

La Commission consultative du secret de la défense nationale, régulièrement convoquée et constituée, ayant examiné l’ensemble des documents classifiés qu’elle a recueillis au terme des investigations conduites par son président en vertu des pouvoirs que lui confèrent les articles 5 et 6 de la loi susvisée,

Emet un avis défavorable à la déclassification des pièces contenues dans le dossier établi au nom de M. Fievet, en sa qualité d’aviseur de la direction générale des douanes et droits indirects.

Fait à Paris, le 27 janvier 2005.
Pour la Commission consultative du secret de la défense nationale:
Le président,
P. Lelong

source legifrance

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STUPÉFIANTS : aujourd’hui le narcotrafic est devenu «too big to fail»

Déjà publié sur « Aviseur International » le 28 mars 2015.

Depuis rien n’a changé ni évolué dans le bons sens. En France, c’est la guerre à outrance qui ne fait qu’empirer la situation en confortant l’action des narcotrafiquants.

DICK MARTY

Docteur en droit, ancien procureur général du Tessin, conseiller aux Etats, conseiller d’Etat et membre de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, pour laquelle il a mené différentes enquêtes qui l’ont fait connaître sur la scène internationale.

Par Dick Marti

Pour lutter contre les narcotrafiquants, il est nécessaire de mener une importante action de sensibilisation au niveau mondial, selon Dick Marty. Et il faut progressivement s’acheminer vers un marché contrôlé dans lequel la réglementation est définie en fonction de la dangerosité de la substance et de l’âge du consommateur.

Après des décennies de faillites ruineuses dans la réponse sociale au problème des dépendances, on doit le dire clairement: le prohibitionnisme en matière de drogue et la criminalisation des consommateurs sont une voie sans issue.

Plus, ils ont directement contribué à produire le plus important phénomène criminel de tous les temps, qui alimente toutes sortes d’autres trafics. L’argent de la drogue et les pratiques des organisations criminelles infiltrent l’économie avec un effet de contamination morale et de diffusion à grande échelle de la corruption. Les enquêtes n’atteignent presque jamais les hauts étages du crime organisé. La répression des petits poissons sert en revanche, presque cyniquement, à entretenir un certain niveau des prix et à assurer des profits fabuleux à ceux qui gèrent les grands trafics.

L’argent facile de la drogue est en fait devenu un facteur économique de grande importance, ce qui explique aussi pourquoi on ne s’attaque pas à la racine du problème. Si l’on pense que le chiffre d’affaires du trafic de drogue est estimé à environ 300 milliards de dollars par année, il est évident que cet argent est désormais devenu un véritable facteur de portée géopolitique. Il entretient de nombreux conflits, permet de financer des achats massifs d’armes de plus en plus sophistiquées, conditionne les choix de nombreux gouvernements, influence les structures socio-économiques. J’ai entendu récemment un chercheur affirmer que si le trafic de drogue était éliminé, la plupart des familles des cités entourant Marseille ne seraient plus à même de payer leur loyer.

Des ressources énormes sont investies dans la répression, alors que le crime qui en contrôle le trafic prospère. Les institutions et la structure sociale de plusieurs pays ont été bouleversées par les narcodollars et les narcotrafiquants.

Nous sommes tous conscients qu’il n’existe pas de solution facile ni de solution idéale.

Je pense cependant que toute nouvelle solution présuppose que l’on soit conscient de ce qui est en train de se passer et du gâchis auquel a conduit la politique actuelle.

Une importante action de sensibilisation au niveau mondial est nécessaire. Ce travail est en cours depuis longtemps. En 1984 déjà, Milton Friedman, Prix Nobel d’économie, écrivait que la prohibition de la drogue favorisait le crime, sans en diminuer l’usage, et imposait un coût aberrant à la société. Une position analogue a été prise, par la suite, par la célèbre revue The Economist, ce qui fit sensation. D’anciens chefs d’Etat se sont réunis en groupe de travail et ont pris position en faveur d’une nouvelle politique de la drogue et contre l’actuel régime de prohibition. Il est à peine besoin de rappeler ici le rôle important joué par Ruth Dreifuss dans ce contexte. C’est un travail difficile, qui demande beaucoup d’énergie et beaucoup de temps.

Il faut ainsi convaincre les politiciens un peu partout dans le monde.

La politique actuelle de la drogue est en effet ancrée, je dirai cristallisée, dans des conventions internationales qu’on ne pourra modifier qu’avec l’accord des principaux pays. Or, la peur de la drogue et les discours guerriers qui prônent la répression ont toujours la faveur de nombreux politiciens. Ce genre de discours, en effet, se prêtent bien à des tirades démagogiques et populistes, aujourd’hui plus que jamais à la mode.

Les chroniques parlementaires de ces dernières années démontrent, hélas, qu’à chaque fois que se pose un problème dans la société, il y a toujours de nombreuses voix, souvent majoritaires, pour proposer un durcissement des peines ou la création de nouvelles normes pénales. En Suisse, avant même de disposer d’une étude sérieuse quant aux conséquences sur la récidive de l’élimination des courtes peines de prison décidée lors de la dernière révision du Code pénal, il est devenu de bon ton, aussi bien à droite qu’à gauche, d’invoquer un retour à la case prison. C’est naturellement plus facile que d’essayer de comprendre les raisons profondes de certains comportements et de mettre au point les remèdes les plus efficaces. Il y a exactement deux cent cinquante ans, Cesare Beccaria publiait son ouvrage Dei delitti e delle pene. Il démontrait que ce n’est pas la sévérité de la peine qui retient une personne de commettre une infraction, mais bien le degré de probabilité de se faire prendre; un enseignement qui a maintenu une actualité étonnante. Cette vérité devrait être rappelée avec force aux décideurs d’aujourd’hui qui tendent à faire exactement le contraire: diminuer les moyens à la disposition de l’Etat pour le social, l’éducation et la prévention, et, par ailleurs, durcir la répression pénale.

La politique de la drogue exige une approche cohérente et crédible pour être efficace.

C’est loin d’être le cas aujourd’hui. La distinction entre substances légales et illégales apparaît aujourd’hui comme arbitraire, injuste et hypocrite. Je pense qu’il est nécessaire de mettre en œuvre une stratégie globale pour l’ensemble des substances psychotropes créant une dépendance. Cela ne veut nullement dire qu’on va traiter toutes les substances de la même façon. Il faut progressivement s’acheminer vers un marché contrôlé (cela existe déjà pour le tabac, l’alcool et les médicaments), dans lequel la réglementation est définie en fonction de la dangerosité de la substance et de l’âge du consommateur.

Dans de nombreux pays, les choses ont commencé à bouger. La distribution contrôlée d’héroïne a choqué au début, mais elle a démontré que, bien appliquée, elle contribuait à une réduction sensible des risques pour la santé, à une baisse de la criminalité et permettait une réintégration sociale qui ne paraissait guère possible auparavant. Quelques Etats ont libéralisé le cannabis. (…)

En matière d’addiction et sur la façon d’y faire face

J’ai beaucoup de doutes et, plus j’avance dans la connaissance de ce phénomène, plus les certitudes ont fondu comme neige au soleil. J’ai toutefois une conviction. La prohibition telle que nous l’appliquons est non seulement une faillite, mais elle entretient le phénomène criminel le plus important de tous les temps. Ce dernier a assumé une telle dimension que la lutte que nous menons actuellement contre le trafic de drogue ne peut pas et ne pourra jamais être gagnée.

Pourquoi? Parce que les intérêts du crime organisé sont aujourd’hui à ce point entremêlés avec ceux d’autres acteurs économiques, politiques et sociaux qu’une disparition des narcodollars entraînerait une réaction en chaîne désastreuse. Le directeur de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime, Antonio Maria Costa, a affirmé que les narcodollars ont contribué à sauver de la faillite des établissements bancaires de première importance lors de la tempête qui s’est abattue sur les marchés financiers mondiaux en 2008. Je laisse la responsabilité de cette affirmation à son auteur, qui n’est en tout cas pas le dernier venu. Ce qui est vrai, en tout cas, c’est qu’avec le prohibitionnisme le narcotrafic est en fait devenu aussi, comme certaines banques, too big to fail!

Seul un changement de paradigme est à même de nous offrir une meilleure perspective d’avenir.

Il faut attaquer le trafic sur le terrain qui lui a assuré son fantastique succès, le marché. Ce marché que nous avons soutenu, financé, entretenu et qui a ainsi conféré une énorme plus-value à des substances qui n’avaient que peu de valeur. Au lieu d’essayer d’éliminer ce marché par des tentatives qui jusqu’à présent n’ont eu d’autre effet que de le renforcer, il faut l’accepter comme une réalité, il faut l’occuper et le réguler. C’est finalement ce qu’on a fait avec l’alcool et le tabac.

La drogue est avant tout un problème de santé et il faut l’appréhender en tant que tel. 

Certes, ce changement d’orientation fondamental de la politique de la drogue n’est pas facile et n’est pas sans risque; des erreurs seront inévitables. Des expériences intéressantes sont en cours et les désastres que l’on nous a annoncés ne se sont pas produits. Comme l’a bien dit récemment un chercheur français, l’ampleur de la catastrophe actuelle est telle que le risque de faire pire est très faible.

En fait, il ne s’agit ni d’imaginer ni de réaliser une société sans drogue, celle-ci n’a jamais existé. Le véritable défi est d’accepter l’existence des drogues et d’apprendre à vivre avec. La régulation du marché – avec le contrôle de la production et de la distribution en tenant compte de la dangerosité des substances – permettrait de diminuer sensiblement les profits des narcotrafiquants. Mais cela contribuerait également à diminuer fortement les risques pour les consommateurs puisque, par exemple, la plupart des morts dues à la consommation de drogues ne sont en fait pas provoqués directement par la substance, mais par le fait qu’elle est frelatée.

Les ressources financières que l’on économiserait dans le domaine de la répression et du système pénitentiaire permettraient d’intervenir avec plus d’efficacité sur la demande.

Non plus avec le gendarme et la prison, mais avec une action de prévention cohérente.

Persister sur la voie actuelle serait en revanche reconnaître la victoire du crime organisé et lui assurer un avenir confortable. Le marché illégal de la drogue continuera à être florissant et à être présent partout, dans tous les milieux, même dans les structures les plus fermées et les mieux surveillées.

Les narcodollars, comme évoqué plus haut, alimentent une corruption économique et morale aux plus hauts niveaux. Cette corruption est à mon avis la menace la plus grave pour nos démocraties. Oui, plus grave que le terrorisme.

Extraits d’une conférence publique donnée à l’Université de Genève par Dick Marty.

SOURCE

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LIBAN 🇱🇧 : les Forces de sécurité intérieure (FSI) ont arrêté l’un des plus dangereux trafiquants de drogue, surnommé Abou Ali

 » Abou Ali « , pour le compte duquel bon nombre de narcotrafiquants travaillent dans la banlieue sud de Beyrouth, a été arrêté par les FSI.

Saisie d’armes et de drogue

Un fusil Kalachnikov, 2 grenades, un pistolet de guerre, une machette, un poignard, une grande quantité de munitions, 114 sacs (125 g) ainsi que 4 boites et 35 capsules (138 g) de cocaïne, 14 sacs (80 g) de marijuana, 2 kg de cannabis, des pilules narcotiques, un faux billet de 50$, des sommes d’argent et 18 téléphones portables.

source et plus

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EUROPOL : démantèlement d’un « super-cartel » de la drogue, près de 50 arrestations

Europol, l’Office européen de police, grâce au travail de nombreux agents qui agissent chaque jour dans l’ombre, a pu annoncé le démantèlement d’un « super-cartel » dirigé des Émirats arabes unis (EAU), qui contrôlait « environ un tiers du commerce de la cocaïne en Europe ».

Près de 50 personnes ont été arrêtées entre le 8 et le 19 novembre.

Lire

Désormais Europol et Eurojust sont passés maîtres en communications pour vanter les résultats qu’ils obtiennent sans pour autant réussir à faire diminuer la consommation de drogue.

Cette nouvelle méthode d’hyper mise en avant des succès logiques obtenus dus en majorité à l’hyper croissance du marché des stupéfiants ne servirait-elle qu’à persuader le citoyen lambda que ces services sont devenus indispensables au bon fonctionnement de la société. Que nenni!

Ces services qui coûtent des fortunes par des budgets délirants en constante progression doivent à tous prix se faire passer pour le dernier rempart contre le narcotrafic alors qu’ils ne cherchent qu’à se maintenir pour sécuriser une rente de situation.

Triste réalité d’une dérive politico-administrative qui ne résout en rien la problématique importante générée par ce développement inquiétant d’une hyperconsommation de drogues devenue incontrôlable.

La responsabilité de nos décideurs est entière! Mais cette politique menée ne serait-elle qu’une volonté déguisée pour rendre les populations encore plus soumises?

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Super-cartel de la cocaïne démantelé à Dubaï

Le Monde

Un réseau d’importation de cocaïne démantelé entre la France, la
Belgique, l’Espagne et Dubaï

Soupçonné d’avoir importé plus de 2 tonnes de cocaïne en Europe entre janvier et avril 2021, le réseau était dirigé par deux Marocains et un…

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Franceinfo

Un « super-cartel » de la cocaïne démantelé à Dubaï et en Europe

Le cartel contrôlait environ un tiers du trafic de cocaïne en Europe.

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Le Point

Cocaïne : vaste coup de filet contre le « supercartel » de Dubai

Europol a annoncé l’arrestation à Dubai de plusieurs « cibles de haute valeur » soupçonnées d’être à la tête du trafic de cocaïne en Europe.

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Midi Libre

Cocaïne : un « super-cartel » contrôlant un tiers du trafic en Europe démantelé, 30 tonnes saisies et 49 suspect

Ce lundi 28 novembre, Europol a annoncé avoir arrêté 49 personnes suspectées d’appartenir à un vaste réseau de trafiquants de cocaïne.

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Le Figaro

Europol annonce le démantèlement d’un «super-cartel» de la cocaïne à Dubaï et en Europe

Des policiers ont démantelé un «super cartel» de la cocaïne et arrêté 49 suspects dans divers pays dont six «cibles de grande valeur» à…

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20 Minutes

Un « super-cartel » de cocaïne démantelé en Europe et à Dubaï, près de 50 suspects interpellés

Six des suspects ont été arrêtés à Dubaï par les autorités locales.

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RTL

Mocro Maffia : ce que l’on sait du démantèlement d’un « super-cartel » de la cocaïne en Europe

Une vaste opération internationale a permis la saisie de 30 tonnes de cocaïne, avec des arrestations en France, en Espagne, en Belgique et…

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Le Parisien

Cocaïne : Europol démantèle un «super-cartel» à Dubaï et en Europe,
au moins deux Français arrêtés

L’un de ces raids coordonnés a mené à la neutralisation d’un cartel qui contrôlait « environ un tiers du commerce de la cocaïne en Europe »…

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Libération

Cocaïne : un «super-cartel» entre Dubaï et l’Europe démantelé par
Europol

L’agence policière européenne a annoncé ce lundi avoir réalisé un vaste coup de filet contre une organisation qui contrôlait environ un…

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SIRIA 🇸🇾 (CAPTAGON) : personas cercanas a Bashar Al-Assad, incluido su hermano menor, Maher al-Assad, están detrás de este negocio que se ha convertido en el principal producto de exportación de Siria

El captagon, una de las drogas más famosas del mundo árabe en los últimos meses, ya se encuentra en Europa. En occidente se comercializaba como antidepresivo, pero lo acabaron prohibiendo por su alto potencial adictivo.

Ahora, se cree que su producción y distribución a gran escala por el Golfo Pérsico y el Levante es un tema de Estado. Ahora esta droga ha comenzado a extenderse por Europa.

La venta de este estupefaciente crece a un ritmo vertiginoso

En Francia las incautaciones han aumentado un 30 % en el último año. Los expertos, preocupados por los efectos de esta droga, han pedido a las autoridades que redoblen los esfuerzos en conciencias a la sociedad sobre sus efectos.

Una droga ‘del Estado’

«Nuestro estudio mostró que el captagon se ha convertido en la principal fuente de ingresos para el gobierno sirio», explicó a BBC Mundo, la investigadora del Newlines Institute for Policy and Strategy, que publicó una exhaustiva investigación sobre la producción de la droga en Siria, Caroline Rose.

«Todo sugiere que personas cercanas a Bashar Al-Assad, incluido su hermano menor, Maher al-Assad, que es el comandante de la Cuarta División Blindada del ejército (una unidad de élite), están detrás de este negocio que se ha convertido en el principal producto de exportación de Siria», agregó.

A pesar de estas declaraciones, el Gobierno sirio desmintió la producción y aseguró que los numerosos reportes y estudios señalados eran falsos.

Para desmentir la situación, el Ministerio del Interior del país publicó un comunicado en Facebook en el que explicaba que «Siria juega un papel importante en el apoyo a los esfuerzos de la comunidad internacional para combatir el crimen en general, especialmente la lucha contra el narcotráfico».

Sin embargo, la investigación de Caroline Rose no es la única. Informaciones de las guardias costeras de varios países, entre ellos Italia y Jordania, e investigaciones de The New York Times, del Proyecto de Reporte de Corrupción y Crimen Organizado (OCCR) y del Centro de Análisis e Investigaciones Operacionales (COAR), también llegaron a la misma conclusión.

fuente y mas

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FRANCE 🇫🇷 (DG de la douane – DNRED) : lettre ouverte au valet de plume Michel Baron (2 éme rappel)

Michel Baron

Mon cher Michel

Mon cher administrateur des douanes

Mon cher chef du bureau de la politique du dédouanement

Mon cher menteur

Mon cher tartuffe

Relisant tes écrits, j’ai pu constater que tu étais particulièrement performant dans l’art de la rhétorique mensongère.

Le 10 avril 2020, je t’avais écrit une lettre ouverte, que je t’ai envoyée à nouveau le 21 décembre 2021 mais tes nombreuses occupations ne t’ont pas permis de trouver le temps d’y répondre.

Ce 21 septembre 2022, je te la fais à nouveau parvenir, espérant que cette fois-ci, tu n’auras pas l’attitude d’un de tes prédécesseurs Gérard Schoen qui avait préféré s’enfuir en courant lorsque j’avais cherché à le rencontrer.

J’ai mis quelques photos pour te permettre de reconnaitre tes semblables !

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Ô, mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher responsable des affaires juridiques et contentieuses, mon cher menteur, mon cher tartuffe, constater une fois encore tes savantes manœuvres pour dégager la responsabilité de l’administration des douanes ne m’ont permis que de faire un constat, accablant pour toi, comme pour tes prédécesseurs Elizabeth Melscoet, Thomas Charvet et le gredin Erwan Guilmin : vous êtes des menteurs institutionnels !

Erwan Guilmin

Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher responsable des affaires juridiques et contentieuses, mon cher menteur, mon cher tartuffe, sais tu que je ne peux accepter cette infamie savamment distillée par tes écris mensongers. Il m’est insupportable de constater qu’après avoir été encensé puis encouragé à infiltrer et infiltrer encore, tu ne souhaitais que flétrir tant de lauriers amassés. Mes actions qu’avec respect toute la hiérarchie de la DNRED admirait, mes informations précises qui tant de fois ont permis des saisies importantes, tant de fois valorisaient un service… aux actions que tu ne connais même pas ! Tu m’as trahi comme tu as trahi l’honneur de la douane tout entière en déformant sciemment l’action que j’ai menée suite aux volontés ministérielles de Michel Charasse.

Gérard Schoen

Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher responsable des affaires juridiques et contentieuses, mon cher menteur, mon cher tartuffe, toi qui occupe un haut rang d’administrateur, comment peux tu l’occuper sans honneur? Tu as préféré emprunter les affabulations de tes prédécesseurs pour m’écarter de toutes réparations. Seras-tu un sprinter comme ce faquin de Gérard Schoen si tu me rencontrais ou préférerais-tu jouer les timides méprisants et dédaigneux, comme le fit Corinne Cleostrate, et t’éloigner sans me regarder ?

Corine Cleostrate

Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher responsable des affaires juridiques et contentieuses, mon cher menteur, mon cher tartuffe, relire encore que toutes les turpitudes subies ne seraient la résultante que d’une erreur d’appréciation de ma part sur l’engagement de la douane sur lequel j’étais persuadé pouvoir compter, me trouble. En homme d’honneur que je suis, habitué à la parole donnée, il m’était difficile d’imaginer que tant de bassesses pouvait t’habiter.

Thomas Charvet

Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher responsable des affaires juridiques et contentieuses, mon cher menteur, mon cher tartuffe, je te croyais honnête et factuel, n’hésitant pas à t’informer avant de m’emballer dans des écrits totalement infondés. Non, tu n’as rien demandé, te permettant alors de tordre le cou à la vérité des faits.

Mon cher Michel, mon cher administrateur des douanes, mon cher responsable des affaires juridiques et contentieuses, mon cher menteur, mon cher tartuffe, merci de transmettre mes meilleures civilités à ton entourage…douanier. »

Marc Fievet

Plus sur Marc Fievet

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François Auvigne

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ISRAËL 🇮🇱 (Bnei Brak) : démantèlement d’un réseau qui pouvait envoyer 5 à 6 millions de SMS par jour

Les machines étaient exploitées dans un entrepôt à Bnei Brak par un ancien officier de Tsahal ; mais la police pense qu’une organisation criminelle est à l’origine de l’opération

La police a arrêté un homme soupçonné d’être à l’origine de l’envoi des millions de SMS qui ont inondé les téléphones des Israéliens ces derniers mois, proposant des drogues à la vente.

Dans un reportage de la Douzième chaîne diffusé vendredi, la police a déclaré que l’opération était basée dans un entrepôt de Bnei Brak, dans la banlieue de Tel Aviv, où des machines contenant des centaines de cartes SIM étaient programmées pour envoyer cinq à six millions de SMS par jour.

Le suspect a été désigné par la police comme étant Kobi Magenzi, un homme âgé de 30 ans sans casier judiciaire et qui, jusqu’à il y a quelques mois, était officier dans une unité d’élite de l’armée israélienne.

source et plus

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BRÉSIL 🇧🇷 (port de SANTOS) : saisie d’une tonne 500 de cocaïne dans deux conteneurs destinés, l’un à Rotterdam 🇳🇱 et l’autre devant être transbordé à ‘Tanger Med’ 🇲🇦 pour le Liban 🇱🇧

C’est le jeudi 7 juillet que les agents du « Federal Revenue Service » et de la Police Fédérale ont procédé à deux saisies totalisant 1 536,5 kg de cocaïne dans le port de Santos.

Les conteneurs ont été bloqués et sélectionnés pour une vérification physique par le fisc selon des critères objectifs d’analyse des risques, y compris une inspection non intrusive par numérisation d’images. Pendant le travail, le chien a signalé positivement la présence de drogue.

La première saisie a eu lieu dans une cargaison d’arachides destinée à Rotterdam, aux Pays-Bas. Le poids brut de la drogue trouvée est de 568,5 kg.

La deuxième appréhension concerne une cargaison d’huile de soja et de sucre à destination du Liban, mais transbordée au port de Tanger Med, au Maroc. Le poids brut de la drogue trouvée dans les sacs de sucre est de 968 kg.

Source

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LIBAN 🇱🇧 (port de Beyrouth) : le trafic de Captagon au programme

Porte maritime entre la Syrie sous sanctions et les pays du Golfe, le Liban est un des principaux acteurs du trafic d’une drogue de synthèse appelée Captagon.

Le pays du Cèdre connaît aussi une forte augmentation des consommateurs, des jeunes déshérités qui se droguent pour être plus productifs ou pour tromper l’ennui dans une société déliquescente.

SOURCE ET PLUS

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ISRAËL 🇮🇱 : Tsahal saisit 28 kilos de cocaïne à la frontière égyptienne

Drogues saisies lors d’une tentative de contrebande à la frontière égyptienne, le 29 juin 2022. (Crédit : Tsahal)

Selon l’armée, les troupes ont repéré trois suspects s’approchant de la frontière pendant la nuit et ont saisi 28 kg de contrebande ; aucune arrestation n’a été effectuée

source

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ISRAËL 🇮🇱 : Tsahal et la police ont démantelé un réseau et arrêté 3 membres d’une famille de Jadeidi-Makr arrêtés près du Moshav Shtula, à la frontière libanaise

Trois résidents de la ville arabe de Jadeidi-Makr – des membres d’une même famille âgés de 20, 34 et 42 ans – ont été arrêtés près du Moshav Shtula, qui jouxte la frontière avec le Liban, a déclaré la police dans un communiqué.

La police a ajouté que 35 kilogrammes de haschisch ont été saisis par les autorités.

SOURCE

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IRAK 🇮🇶 : Iraqi border guards shoot down parasail in drug bust

Iraqi border guards reported shooting down a flying vehicle today that they said was being used to smuggle drugs. 

The Iraqi Security Media Cell reported June 3 that a pilot was flying the makeshift vehicle near Jirishan in the southern Basra province. The border guards opened fire, forcing the pilot to land and flee to “one of the neighboring countries.” They recovered one million pills of an unspecified drug during the incident. The search for the pilot is ongoing, the outlet said in a series of tweets. 

The vehicle has three wheels and resembles a homemade parasail, with a propeller and a parachute in photos released by the Security Media Cell. 

Jirishan is close to Kuwait and Basra also borders Iran. 

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JORDANIE 🇯🇴 (Amman) : des drones et des radars face à l’explosion des trafics de drogue

Les autorités jordaniennes ont annoncé ce lundi 16 mai la mise en place de drones et de radars pour surveiller les trafics de drogue en provenance de Syrie. Les deux pays partagent en effet pas moins de 375 km de frontières.

Une zone difficile à surveiller, où les tentatives de trafics explosent. En particulier le trafic de captagon, dérivé de l’amphétamine, dont les pilules s’écoulent par millions chaque année au Moyen-Orient et dans les États du Golfe.

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ISRAËL 🇮🇱 : saisie d’une cargaison de 120 kilos de haschich

Selon les Forces de défense israéliennes, des soldats surveillant les caméras de surveillance ont repéré la tentative de contrebande de drogue et ont envoyé des troupes sur les lieux.

Les suspects du côté égyptien ont jeté la drogue par-dessus la clôture, pour que des complices du côté israélien la récupèrent plus tard.

Les troupes ont saisi plus de 120 kilogrammes d’une drogue non spécifiée.

Aucune arrestation n’a été effectuée.

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SYRIE 🇸🇾 : en pole position pour le captagon

La Syrie est le principal producteur de captagon et l’Arabie saoudite en est le principal consommateur.

Vendu sous la forme d’un petit comprimé blanc estampé d’un logo caractéristique représentant deux demi-lunes, le captagon est à l’origine un médicament qui a été commercialisé à partir du début des années 1960 en Allemagne et dont le principe actif est la fénétylline, une drogue de synthèse de la famille des amphétamines. Interdit depuis, le captagon est aujourd’hui le nom de marque d’une drogue quasi exclusivement produite et consommée au Moyen-Orient. Elle contient souvent peu ou pas de fénétylline et est proche du «speed».

La valeur marchande du captagon produit en Syrie dépasse désormais de loin les exportations légales du pays et lui a valu d’être qualifié de «narco-Etat». Le rapport de New Lines documente comment des membres de la famille du président Bachar al-Assad et de son régime sont impliqués dans la fabrication et la contrebande de captagon. La formule variable du captagon complique la lutte contre ce trafic, relève New Lines. Asphyxié par les sanctions internationales imposées au régime depuis le déclenchement en 2011 de la guerre en Syrie, le gouvernement «utilise le trafic comme un moyen de survie politique et économique», selon le rapport.

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ISRAËL 🇮🇱 : « un tunnel à cannabis » de 20 mètres de long découvert par la police près d’une ville bédouine dans le sud

La semaine dernière, la police israélienne a découvert un « tunnel à cannabis » secret de 20 mètres sous terre près de la ville bédouine de Tel Sheva dans le sud d’Israël.

Le tunnel a été découvert lors d’une opération visant à trouver « des laboratoires de drogue » dans la région, dans un puits près d’un complexe résidentiel.;

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DNRED 🇫🇷 (Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières) : un peu de précisions sur ce service de renseignement

C’est un service à compétence nationale rattaché à la Direction générale des douanes et droits indirects qui est chargée de mettre en œuvre, sur l’ensemble du territoire, la politique du renseignement, des contrôles et de la lutte contre la délinquance douanière organisée.

Service de constatation douanière de premier plan visant le haut spectre, la DNRED est également un service de renseignement du premier cercle.

Elle constitue à cet égard une direction originale, forte de sa double culture, dotée de pouvoirs et de moyens d’actions puissants et variés, intervenant dans plusieurs cadres légaux, en constante évolution. Elle doit faire preuve, à ce titre, d’une capacité d’adaptation permanente pour relever les nombreux défis juridiques soulevés à la fois par ses activités opérationnelles classiques de service douanier et son rôle de service du renseignement.

Le droit douanier a connu de fortes évolutions au cours des dernières années marquées par l’élargissement des pouvoirs d’enquête dévolus aux agents des douanes, notamment aux agents de la DNRED et le renforcement de l’encadrement de la mise en œuvre de ces pouvoirs, conditionnée par l’information préalable ou l’autorisation de l’autorité judiciaire.

Le code des douanes permet désormais aux agents de la DNRED, sous le contrôle de l’autorité judiciaire et sous couvert d’habilitations spéciales, de déployer des techniques spéciales d’enquêtes particulièrement utiles en matière de lutte contre la criminalité organisée : livraisons surveillées, infiltrations, surveillances transfrontalières, enquête sous pseudonyme sur le web et le darkweb, coup d’achat, géolocalisation des véhicules et des téléphones, « ouverture-frontière », substitution à l’opérateur de fret postal pour la livraison des colis contenant des marchandises de fraude. Tout au long de l’enquête douanière, les agents doivent anticiper la possible judiciarisation de leurs dossiers, en approchant au plus près d’une procédure purgée de tout risque de nullité et en déployant une stratégie compatible avec les poursuites décidées par l’autorité judiciaire.

Douanier avant tout, l’agent de la DNRED doit donc parfaitement maîtriser les outils juridiques à sa disposition et leur cadre d’utilisation, au code des douanes. Mais l’agent de la DNRED est également un agent appartenant à la communauté du renseignement du premier cercle, ce qui lui confère des obligations, des droits et des pouvoirs.

Issu de la loi du 24 juillet 2015, le droit du renseignement est l’aboutissement d’un long processus de légalisation de ces activités qui a eu la vertu de donner aux services, dont les actions étaient non pas illégales mais plutôt a-légales, une assise juridique et des garanties nécessaires. Ce droit leur permet de mettre en œuvre des techniques de renseignement particulièrement intrusives, sur autorisation du Premier ministre après avis de la commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR).

Depuis 2015, de nombreux textes sont venus compléter ou modifier ce nouveau cadre, dont la loi relative à la prévention d’actes de terrorisme et au renseignement du 30 juillet 2021. Prenant en compte les évolutions technologiques et les jurisprudences européennes et nationales (arrêt CJUE du 6 octobre 2020 dans l’affaire « Quadrature du Net », dans la continuité de l’arrêt CJUE du 21 décembre 2016 dit « Télé2 Sverige » ; Conseil d’État, Assemblée, 21 avril 2021), cette loi crée ou pérennise des techniques de renseignement (interception des communications satellitaires ; utilisation d’algorithme), renforce le contrôle de la CNCTR en donnant à son avis un caractère contraignant, encadre les échanges entre services de renseignement.

Au-delà de ces cadres juridiques propres au métier de la DNRED, les activités de la direction sont soumises à des réglementations de droit commun, telle que la protection des données personnelles ou la commande publique, dans le cadre desquelles les spécificités d’un service d’enquête et de renseignement doivent être prises en compte.


Jusqu’en fin d’année 2021, le conseil et l’expertise juridiques étaient assurés par une magistrate, de l’ordre judiciaire, et par l’agence de poursuites, chargée d’assurer le traitement contentieux et judiciaire des affaires réalisées par les directions d’investigations de la DNRED.

Afin de faire face aux enjeux actuels, mais également d’anticiper et de mesurer l’impact des évolutions normatives sur l’organisation et le fonctionnement de la DNRED, il a été décidé de renforcer la fonction juridique de la direction par le recrutement de deux nouvelles conseillères juridiques, l’une spécialisée sur toutes les questions relatives au renseignement et au droit public général, l’autre en charge de veiller à la sécurisation des investigations.

Conjugué à une protection maximale des agents dans l’exercice de leurs missions, le renforcement de la fonction juridique au sein de la DNRED permet ainsi d’articuler de la meilleure manière possible l’ensemble des capacités d’action des services de la direction, du recueil et de l’exploitation du renseignement jusqu’à la phase opérationnelle, de garantir l’efficacité de l’action de la DNRED dans la lutte contre la criminalité organisée et d’optimiser la réponse pénale de l’autorité judiciaire.

Depuis avril 2021, c’est Florian Colas qui est le directeur

source

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Le 23 mars 2022, France Culture, dans l’émission « LES PIEDS SUR TERRE » a laissé la parole à Marc Fievet, AKA « NS 55 DNRED » , qualifié de spectre du service de la DNRED, par Emmanuel Fansten dans un article de Libération

Marc Fievet en 1987 à Gibraltar à bord du M/Y Astéride

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LIBAN 🇱🇧 : deux Israéliens suspectés de trafic d’armes et de drogue à partir du Liban, sur ordre du Hezbollah, ont été arrêtés

Arrestation de trafiquants israéliens d’armes et de drogue agissant pour le Hezbollah, annonce l’État hébreu

Ce genre de trafic est rare mais pas inédit entre l’État hébreu et la formation chiite, qui se sont fait la guerre pour la dernière fois en juillet 2006. Ces dernières semaines, les tensions à la frontière libano-israélienne ont connu une forte recrudescence, notamment depuis que le Hezbollah a envoyé des drones dans l’espace aérien israélien en février, dont un que l’armée israélienne n’a pu intercepter.

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ISRAËL 🇮🇱 (Tsahal) : 200 kilos de haschich saisis à la frontière avec l’Égypte

Les troupes israéliennes ont déjoué tôt samedi matin une tentative de contrebande de drogue en Israël depuis l’Égypte, a indiqué l’armée. 

Selon cette source, plusieurs suspects ont été repérés par les caméras de surveillance dans la zone de Paran projetant des colis de drogue par-dessus la clôture qui sépare l’État hébreu de l’Égypte.

Plus de 200 kilogrammes de marijuana et de haschich, d’une valeur estimée à 4 millions de shekels (1,09 million d’euros) ont été saisis selon Tsahal, et transférés à la police.

Aucune arrestation n’a été effectuée.

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DUBAÏ : pour la troisième fois, malgré l’accord d’extradition signé avec la Belgique, un refus d’extrader un baron de la drogue anversois a été décidé

En décembre 2021, le ministre de la Justice, Vincent Van Quickenborne signait, avec les EAU, en effet un accord d’extradition qui vise principalement les millionnaires anversois de la drogue planqués à Dubaï.

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