ISRAËL 🇮🇱 (Bnei Brak) : démantèlement d’un réseau qui pouvait envoyer 5 à 6 millions de SMS par jour

Les machines étaient exploitées dans un entrepôt à Bnei Brak par un ancien officier de Tsahal ; mais la police pense qu’une organisation criminelle est à l’origine de l’opération

La police a arrêté un homme soupçonné d’être à l’origine de l’envoi des millions de SMS qui ont inondé les téléphones des Israéliens ces derniers mois, proposant des drogues à la vente.

Dans un reportage de la Douzième chaîne diffusé vendredi, la police a déclaré que l’opération était basée dans un entrepôt de Bnei Brak, dans la banlieue de Tel Aviv, où des machines contenant des centaines de cartes SIM étaient programmées pour envoyer cinq à six millions de SMS par jour.

Le suspect a été désigné par la police comme étant Kobi Magenzi, un homme âgé de 30 ans sans casier judiciaire et qui, jusqu’à il y a quelques mois, était officier dans une unité d’élite de l’armée israélienne.

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ISRAËL 🇮🇱 : Tsahal saisit 28 kilos de cocaïne à la frontière égyptienne

Drogues saisies lors d’une tentative de contrebande à la frontière égyptienne, le 29 juin 2022. (Crédit : Tsahal)

Selon l’armée, les troupes ont repéré trois suspects s’approchant de la frontière pendant la nuit et ont saisi 28 kg de contrebande ; aucune arrestation n’a été effectuée

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ISRAËL 🇮🇱 : Tsahal et la police ont démantelé un réseau et arrêté 3 membres d’une famille de Jadeidi-Makr arrêtés près du Moshav Shtula, à la frontière libanaise

Trois résidents de la ville arabe de Jadeidi-Makr – des membres d’une même famille âgés de 20, 34 et 42 ans – ont été arrêtés près du Moshav Shtula, qui jouxte la frontière avec le Liban, a déclaré la police dans un communiqué.

La police a ajouté que 35 kilogrammes de haschisch ont été saisis par les autorités.

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ISRAËL 🇮🇱 : saisie d’une cargaison de 120 kilos de haschich

Selon les Forces de défense israéliennes, des soldats surveillant les caméras de surveillance ont repéré la tentative de contrebande de drogue et ont envoyé des troupes sur les lieux.

Les suspects du côté égyptien ont jeté la drogue par-dessus la clôture, pour que des complices du côté israélien la récupèrent plus tard.

Les troupes ont saisi plus de 120 kilogrammes d’une drogue non spécifiée.

Aucune arrestation n’a été effectuée.

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ISRAËL 🇮🇱 : « un tunnel à cannabis » de 20 mètres de long découvert par la police près d’une ville bédouine dans le sud

La semaine dernière, la police israélienne a découvert un « tunnel à cannabis » secret de 20 mètres sous terre près de la ville bédouine de Tel Sheva dans le sud d’Israël.

Le tunnel a été découvert lors d’une opération visant à trouver « des laboratoires de drogue » dans la région, dans un puits près d’un complexe résidentiel.;

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ISRAËL 🇮🇱 (Tsahal) : 200 kilos de haschich saisis à la frontière avec l’Égypte

Les troupes israéliennes ont déjoué tôt samedi matin une tentative de contrebande de drogue en Israël depuis l’Égypte, a indiqué l’armée. 

Selon cette source, plusieurs suspects ont été repérés par les caméras de surveillance dans la zone de Paran projetant des colis de drogue par-dessus la clôture qui sépare l’État hébreu de l’Égypte.

Plus de 200 kilogrammes de marijuana et de haschich, d’une valeur estimée à 4 millions de shekels (1,09 million d’euros) ont été saisis selon Tsahal, et transférés à la police.

Aucune arrestation n’a été effectuée.

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ISRAËL 🇮🇱 (Tsahal) : les soldats israéliens ont déjoué des tentatives de trafic de stups depuis l’Egypte 🇪🇬

Cela fait des années que la frontière entre Israël et l’Égypte est le théâtre de trafics, particulièrement de marijuana mais également d’autres drogues

Ce sont 120 kilos de cocaïne et de marijuana qui ont été saisis.

Les stupéfiants ont été confiés à la police israélienne.

La semaine dernière, les militaires israéliens ont saisi plus de 300 kilos de marijuana et de haschisch.

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AVISEUR INTERNATIONAL : les toutes dernières « NARCONEWS » via Twitter

ISRAËL 🇮🇱 (Opération Golden Prevention) : l’armée lutte contre la contrebande mais les problèmes économiques qui poussent les Bédouins à la criminalité subsistent et la campagne semble avoir peu d’effet sur le trafic

L’armée lutte contre la contrebande mais les problèmes économiques qui poussent les Bédouins à la criminalité subsistent et la campagne semble avoir peu d’effet sur le trafic

À la frontière égyptienne, l’armée israélienne mène un conflit qu’elle ne peut certainement pas gagner et auquel elle ne devrait peut-être même pas participer : une guerre contre la drogue et le trafic de drogue.

Ces derniers mois, l’armée israélienne a réussi à déjouer un certain nombre de tentatives de contrebande le long de la frontière, dont deux au début du mois lors d’une opération conjointe menée avec la police et baptisée « Golden Prevention » et au cours de laquelle plus de 160 kilogrammes (350 livres) de marijuana ont été saisis, ainsi que trois voitures, et trois trafiquants présumés ont été arrêtés.

Selon Tsahal, ces opérations ont permis de réduire le nombre de tentatives de contrebande ces dernières semaines – du moins temporairement – mais même les responsables militaires qui vantent les succès de Tsahal sur ce front reconnaissent que les sommes d’argent en jeu pour les cartels de la drogue et l’absence d’initiatives significatives pour s’attaquer aux raisons sous-jacentes qui poussent les jeunes Bédouins à se lancer dans la contrebande signifient que ces efforts ont peu de chances de mettre fin au trafic de drogue à la frontière.

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AFRIQUE DU SUD 🇿🇦 (Interpol): un Israélien arrêté dans le cadre du réseau El Al de contrebande de cocaïne

Shai Alon est détenu en Afrique du Sud à la demande des autorités israéliennes en vue de son extradition.

Il a été arrêté jeudi en Afrique du Sud, en connexion avec le réseau de contrebande de cocaïne découvert en 2018, où le personnel de sécurité travaillant pour El Al aurait utilisé leur position pour faire passer 150 kilogrammes de cocaïne par l’aéroport international Ben Gourion.

Les accusés sont Avi Peretz, David Dadon, Yaniv Hazan, Lidan Shatui, Asher Mesilti, Yaakov Felician et Rami Yogev.

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ISRAËL 🇮🇱: saisie de 1,3 tonne de cocaïne en provenance du Guatemala et du Brésil

Pour l’instant la police israélienne a arrêté un marchand de légume de 30 ans du Néguev, soupçonné d’être l’un des principaux passeurs, y compris d’autres criminels.

Des résultats importants ont eu lieu ces derniers jours dans l’enquête des deux trafics de cocaïne du Brésil et du Guatemala vers Israël le mois dernier.

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NARCOTRAFIC: les routes de la drogue se multiplient en Afrique, avec le Maroc 🇲🇦 comme épicentre des expéditions de cocaïne vers l’Europe 🇪🇺 et le Maghreb

Photo tirée d’une video diffusée par LCI en novembre 2019

Par Abdelkader Abderrahmane

Analyste géopolitique et consultant international sur les questions de paix et de sécurité en Afrique

Le Maroc est depuis des décennies le plus grand cultivateur de haschich au monde.

Et si Rabat s’est engagé à partir de 1992 dans une «guerre contre la drogue», diminuant de manière considérable les surfaces de terres utilisées pour cette culture, la production de résine de cannabis n’a toutefois pas diminué dans les mêmes proportions.

En outre, au fil des années, du fait de sa position géographique et de sa longue histoire de producteur de cannabis, le Maroc est aussi devenu une voie de transit-clé pour d’autres trafics de drogues, telles que la cocaïne, l’héroïne et les drogues de synthèse. Ce faisant, le royaume chérifien est en passe de devenir aussi un pays de consommation, créant ainsi de nouveaux défis de santé publique pour la société marocaine et au-delà.

EXTRAITS des différents paragraphes

Histoire du cannabis

Les premières plantations de cannabis au Maroc sont apparues au XVe voire au VIIe siècles, sans doute introduites par les Arabes après leur invasion de l’Afrique du Nord. Au XIXe siècle, le sultan Moulay Hassan autorisa ensuite la culture du cannabis dans des zones restreintes. Cette politique fut poursuivie sous les protectorats espagnol et français, puis pour des raisons économiques, sous le règne du roi Mohammed V qui toléra lui aussi cette culture après l’indépendance du Maroc en 1956.

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Culture hybride

La raison pour laquelle la quantité de drogue n’a pas diminué en parallèle de la diminution des terres utilisées pour la culture du cannabis est essentiellement due à la nouvelle culture hybride du cannabis, de plus en plus utilisée par les trafiquants marocains. Selon Pierre-Arnaud Chouvy et Kenza Afsahi, auteurs de Le haschich marocain, du kif aux hybrides, c’est l’introduction de variétés hybrides, au rendement trois à cinq fois supérieur au cannabis traditionnel qui explique que malgré une baisse réelle des surfaces utilisées pour la culture du cannabis, la production de résine de cannabis demeure stable.

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De producteur de cannabis à consommateurs de drogues

En sus du trafic de résine de cannabis, la cocaïne ainsi que d’autres stupéfiants ont aussi fait leur entrée sur le territoire marocain depuis plusieurs années. Si la cocaïne demeure encore inaccessible pour la plupart des Marocains, au cours des quinze dernières années, le prix d’un gramme de cocaïne a toutefois considérablement diminué, coûtant aujourd’hui environ 600 dirhams (60 euros). Cette baisse est aussi une indication de la disponibilité croissante de la cocaïne au Maroc, en particulier au sein des classes moyennes. Ceci dit, le pays est surtout devenu une zone de transit vers l’Europe ou les pays du Golfe à travers les routes du Sahel, du Maghreb et maritimes.

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Drogues de synthèse

Mais comme dans le reste de la région du Maghreb et d’Afrique de l’Ouest – voire à travers le monde –, c’est la présence croissante de drogues de synthèse qui est en train de faire une percée au sein de la population marocaine. Tramadol, Captagon, Rivotril, Lyric ou encore Artane (aussi connu sous le nom de Madame Courage) sont de plus en plus populaires parmi la jeunesse marocaine. Ces drogues de synthèse, telles que le karkoubi ou al shaghala anglyzyya (une colle) utilisée en Egypte ne sont pas sans conséquence pour la santé des utilisateurs souvent très pauvres. Le karkoubi, très répandu au Maroc, est un mélange de psychotropes, tels que le Xanax, le Valium ou le Rivotril. L’utilisation croissante de ce médicament est due au fait qu’il est facilement disponible ainsi qu’à son prix extrêmement bas, qui varie de 1 à 10 dirhams (0,50 à 1,00 euro) par dose selon les régions. Ces prix bas qui les rendent attrayants pour de nombreux consommateurs aux ressources et aux revenus limités représentent un énième défi sanitaire pour les autorités marocaines.

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Violence et questions sanitaires

Cette consommation croissante de drogues est devenue source d’inquiétude et de préoccupations pour les autorités marocaines et professionnels de la santé. Contrairement aux drogues traditionnellement dominantes, telles que le cannabis – il est estimé que près d’un million de Marocains sont des consommateurs réguliers de cannabis –, ces médicaments, qui devraient normalement être obtenus sur ordonnance, sont souvent utilisés à des fins récréatives et leurs effets addictifs ont des conséquences négatives sur la santé des utilisateurs, les rendant souvent très agressifs. La criminalité et la violence des jeunes sont d’ailleurs souvent imputables à la drogue. En outre, beaucoup au Maroc s’interrogent sur le fait que la consommation croissante de substances n’érode la morale culturelle et cultuelle.

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Business as usual

Comme l’indiquent les trafics de cocaïne et de drogues de synthèse provenant respectivement d’Amérique latine et d’Asie, le Maroc est devenu en quelques années un hub majeur pour toutes sortes de trafics de drogues liés à l’Europe et à l’Afrique de l’Ouest. Le fait que les Marocains consomment de plus en plus de drogues autres que le cannabis ne fait que renforcer cela.

Le trafic de drogues au Maroc a ainsi de beaux jours devant lui. Et si les difficultés de transports et d’acheminements vers l’Europe et ailleurs se dressent devant les trafiquants de manière régulières, ceux-ci ne sont pas à court d’idées pour poursuivre leurs activités illégales. Dans le passé, de la cocaïne a bien été trouvée dans des copies du Coran dont les pages avaient été arrachées au préalable !

Par ailleurs, le trafic de drogues de manière générale bénéficiant aussi à de nombreux notables, officiers de l’armée et autre fonctionnaires, il demeure donc très peu probable que cela cesse de sitôt.

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par Marc Fievet

Le Mahkzen est-il impliqué et jusqu’à quel niveau ?

Le rôle confirmé de la structure financière Attijariwafa Bank dans la dissimulation des fonds engrangés par le trafic de cannabis ne laisse aucune place au doute quant à l’implication personnelle du roi Mohammed VI dans ces activités criminelles.

En juin 2015, à Mornas, une bourgade du Vaucluse, les douaniers français mettent la main sur la somme rondelette de 300 000 euros en espèces à l’intérieur d’un véhicule.

L’affaire est confiée à des enquêteurs de Marseille, membres d’une section spécialisée dans la délinquance financière. En coopération avec leurs confrères de plusieurs pays d’Europe, un travail de fourmi permet de remonter la filière aux ramifications importantes et dont le quartier général se situerait au sommet de l’Etat marocain.

Comme toujours, la DG des douanes, bien qu’interrogée, n’avait pas souhaité communiquer.

La conférence de presse animée par Xavier Tarabeux, le procureur de Marseille, restera dans les annales de la justice française.

Les 300 000 euros saisis à Mornas, ce n’est donc que de la petite monnaie. Selon l’AFP, Xavier Tarabeux, qui représente le ministère public, annonce le chiffre faramineux de 400 millions d’euros qui ont été blanchis sur ces quatre dernières années.

Une partie aurait transité par la France où Attijariwafa Bank possède plusieurs agences.

Parce que si la presse française avait évoqué une «Hawala (système traditionnel de paiement informel dans la culture arabe)», les milieux initiés n’ignorent pas que la banque marocaine Attijariwafa Bank couvre un important flux financier, notamment en Afrique de l’Ouest. Malgré la bienveillance des autorités de ces pays et malgré le système de blanchiment efficace, les experts antiterroristes ont repéré, dès l’année 2012, les mécanismes frauduleux du financement de groupes terroristes proches du Makhzen tel le Mujao dont les mercenaires ont tenté d’infiltrer les camps de réfugiés sahraouis de Tindouf en même temps qu’ils ont investi le nord du Mali avant de disparaître dans la nature…

Ou comment faire pour que ça fasse ‘Pschitt’ !

En novembre 2016, des dizaines de personnes ont été arrêtées en France, en Belgique et aux Pays-Bas, et la montée au créneau des relais de Mohammed VI ont réussi à liquéfier cette affaire d’État, à coups de gros millions ou de demeures somptueuses à Marrakech (Rien de plus anonyme qu’une SCI …), dans les limites de corruptibilité des responsables européens chargés de l’enquête et… comme il est toujours bon de le rappeler, la complaisance créent toujours beaucoup d’amis!

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AQMI, main dans la main avec les cartels de drogues

L’Ameripol s’est aussi penchée dans son rapport sur le conflit malien qui, pour les cartels, n’a fait qu’interrompre momentanément les principales routes de la cocaïne dans la région.

L’A-10 (autoroute 10), nom donné à cette route par les experts, est la voie la plus importante au large du 10e parallèle menant en Europe. Le rapport cite Alain Rodier du Centre français de recherche sur le renseignement, lequel assure que «les trafiquants ont démontré leur capacité à anticiper la politique internationale et continuent à faire des affaires à travers d’autres voies». Mathieu Guidere, spécialiste en géopolitique et en histoire immédiate du monde arabe et musulman, souligne, quant à lui, que «les trafiquants de drogues payent aux mouvement islamistes radicaux un droit de passage représentant 10% de la valeur totale de la cargaison. Certains groupes armés «facturent» plus pour garantir la protection du convoi».

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ISRAËL 🇮🇱: trafic de drogue intercepté à la frontière avec l’Egypte

Une opération spéciale a été mise en place le mois dernier par l’armée et la police israéliennes pour lutter contre un trafic de drogue sans précédent à la frontière entre l’État hébreu et l’Égypte.

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ISRAËL 🇮🇱 (Etat et beuh): une terre de lait, de miel et de cannabis

En dépénalisant la consommation récréative de cannabis fin avril et en donnant le feu vert à l’export, le pays accélère dans sa course à l’or vert.

Objectif : devenir producteur mondial.

Une terre de lait, de miel et de cannabis.

Le rêve de l’élite du chanvre israélien, à l’heure où une partie du monde occidental se tourne vers cette plante autrefois si taboue. Début avril, l’Etat hébreu a officiellement dépénalisé la consommation récréative de cannabis et, surtout, autorisé la vente des cannabinoïdes médicaux à l’export.
A l’échelle mondiale, la normalisation est en marche, vers une légalisation à la californienne.

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ISRAËL 🇮🇱: Drug Bust on the Lebanon Border

The 11 kg shipment of drugs was on its way for sale in Israel, the police said.

A suspect, a resident of Rajar in his 20s, was arrested and his car was confiscated.

The Israeli police stated it will “continue to work to eradicate the drug scourge with intelligence, operational and investigative efforts to prevent smuggling into Israel.”

The border between Israel and Lebanon is a drug-running route controlled by the Hezbollah terror organization and is also used for the smuggling of weapons.

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FRANCE 🇫🇷(Paris): Armand Atlan, ancienne figure du milieu à Montmartre dans les années 1960, écope de huit ans ferme

Le 7 octobre 2019

À 87 ans et quasi-aveugle, Armand Atlan n’a pas le « profil » du narcotrafiquant endurci.

Et pourtant. Décrit comme une « figure » du banditisme à l’ancienne, cet octogénaire a été condamné, ce vendredi 4 octobre, à 8 ans de prison assortis d’une amende de 500 000 € par le tribunal correctionnel de Paris. La justice a estimé que cet « Algérois », – nom donné aux juifs pieds-noirs rapatriés d’Algérie -, né à Batna, était l’un des principaux commanditaires d’un trafic international de cocaïne opéré, entre 2009 et 2010, via plusieurs pays sud-américains à destination de la France.

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