TURQUIA 🇹🇷 : las autoridades se incautaron de 528 kilos de cocaína en el interior de un barco pesquero

Bajo la coordinación del Departamento de Lucha contra los Delitos Estupefacientes de la Dirección General de Seguridad de Turquía, y a través de los estudios realizados por la Dirección de Inteligencia, el Departamento de Policía de Hatay, el Departamento de Policía de Mersin y el Departamento de Policía de Estambul, las autoridades se incautaron de 528 kilos de cocaína en el interior de un barco pesquero, modus operandi muy típico de las organizaciones gallegas que se investigan en España.

FUENTE Y MAS

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SYRIA 🇸🇾 : Narco-State Syria Ignores Allegations of Drug Trafficking

Mohammed Khaled Rahmoun – Syrian interior minister

« Syria plays an important role in supporting the International Community’s efforts in combating crime in general, especially fighting drugs trade. » Source: Syrian Ministry of Interior Facebook page, December 19, 2021

On December 19. the Syrian National Committee for Drugs, an office under the Syrian Ministry of Interior, held a meeting to discuss measures to combat drug trafficking. Interior Minister Mohammed Khaled Rahmoun acknowledged that Syria had become a transit point for the drug trade.

Damascus has long denied responsibility for making and exporting narcotics, and Rahmoun reiterated the explanation that Syria’s « geographical location » was to blame.

« Syria plays an important role in supporting the International Community’s efforts in combating crime in general, especially fighting drugs trade, » he claimed in a statement.

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TURQUIE 🇹🇷 : des avions en paquets-cadeaux ?

Deux avions vendus à perte par le gouvernement, en tout cas, selon l’analyse qui suit, à partir d’éléments rigoureusement exacts (cf Rzjets par exemple: « force est de constater que la vente, qui s’est faite en toute discrétion, était assez inhabituelle. Les avions étaient exploités par la compagnie aérienne nationale Turkish Airlines sous les numéros d’immatriculation TC-ATA et TC-GAP. (ici le TC-ATA (le Gulfstream IV) en mars 2013 à Helsinki portant bien les couleurs officielles du gouvernement. « Ils ont été transférés à la présidence des industries de défense, le principal sous-traitant du gouvernement en matière de défense, en 2016 avant d’être vendus à Şeyhmus sous les nouveaux numéros d’enregistrement TC-GVA et TC-GVB. Şeyhmus aurait payé 1,4 million de dollars pour chaque jet, qui avait une valeur marchande de 5 millions de dollars à l’époque  » (c’est à peu près exact aujourd’hui ce serait la moitié !). « Conçus comme des avions VIP, le gouvernement avait dépensé 2,5 millions de dollars juste pour les remettre à neuf ».) Ça a été effectivement refait en 2017 alors qu’ils appartenaient encore à l’armée : exemple de l’intérieur – plutôt sobre et spartiate – refait du TC-GVA ici à gauche. En comparaison à droite ci-dessous un intérieur de 1987 resté dans son jus, celui du N456AL (de Jordan Aviation)  : la réfection était bien pour des militaires et non pour le privé, à voir la taille des fauteuils : en dessous c’est la scène de la saisie de coke dans  l’avion, on peut remarquer les fameux fauteuils étroits, bien remarquables ! « Ils sont également arrivés avec de nouveaux moteurs de rechange. En fait, lorsque Şeyhmus a déposé une demande de mise en faillite en 2019, il a déclaré que la valeur des jets était de 12,7 millions de dollars. Autrement dit, le gouvernement avait vendu les avions à une perte de près de 10 millions de dollars ». Ici à droite, on peut s’apercevoir que des valises pleines de coke jonchaient toute la carlingue.

Voilà qui n’est pas commun en effet et qui ressemble plutôt à un énorme cadeau… gouvernemental  (avec deux réacteurs Rolls-Royce Tay 811 neufs, gratuits, comme bonus supplémentaire, en sus de la réfection intérieure !).

Erdogan a en tout cas vite senti le danger du voisinage de son propriétaire trop gâté par lui, dès la découverte de l’appareil au Brésil, en faisant tweeter rapidement que « l’avion turc, dont les valises pleines de cocaïne ont été saisies au Brésil, est l’avion TC ATA appartenant à l’ancien très célèbre Premier ministre. Le nom a ensuite été changé en TC GVA et vendu ».  Et hop-là, plus aucun lien officiel pour cet avion, qui aurait « récemment » changé de mains, puisque « vendu ».. oubliant sa prestation décrite complaisamment en 2018, lors de l’inauguration de l’aéroport ! Et son achat par un proche… dès octobre 2017 et non récemment !!! Et surtout en gommant d’un trait ses liens avec son sulfureux propriétaire !

La coke en plus haut lieu à Ankara et un cadeau dynastique

Le code de conduite du maître d’Ankara, au contraire du progressisme d’un Ataturk, ce sont bien les « valeurs islamiques » les  plus austères tant prônées par son parti de l’AKP.

Erdogan répète que son parti banni en effet l’alcool et la drogue. Sauf qu’en avril dernier, la (trop) belle image se fend et se déchire avec une seule vidéo balancée sur les réseaux sociaux où l’on distingue un jeune loup du parti, Kürsat Ayvatoglu, une étoile montante présentée comme un futur ministrable, déjà, sniffer tranquillement sa ligne de coke, dans une grosse berline. (cf ici à gauche)

Le problème, c’est que ce semble pas être le seul à faire ça, constate le public, mais le seul à s’être fait prendre sur le fait : « à travers le cas de ce personnage aux dents longues, la presse et l’opposition interrogent sur la corruption de la classe dirigeante, les avantages, pots-de-vin et magouilles diverses qui permettent de parader, à 27 ans, au volant de berlines de plus de 100 000 €. Et de souligner, aussi, l’opportunisme et l’hypocrisie d’une partie des serviteurs du pouvoir islamo-nationaliste qui, plus que par la politique, semblent mus par l’intérêt financier..«  »Comme le confesse le principal intéressé lui-même dans une lettre d’excuse publique : C’est pour gagner de la force et de l’influence que je tentais de me présenter au côté du pouvoir​ écrit ici Ouest-France. Symbole de ce goût assumé pour les  fastes du régime ?

Un étonnant cadeau reçu par le président Erdogan en personne accentue cette idée… car le mauvais exemple vient du plus haut. Celui-là, tout le monde l’a oublié, malgré le fait qu’il soit ultra-visible :

Le gigantesque palais volant d’Erdogan qui ne lui a pas coûté un seul radis ! Un rare Boeing 747-8ZV BBJ (un 747 allongé pour VIPs, attignant 76,30 mètres de long avec 18 personnes d’équipage et 7 chambres à coucher !), le  TC-TRK, ex VQ-BSK (ici à droite), offert tout simplement par l’émir du Qatar (le Cheikh Tamim ben Hamad Al Thani) au président turc !!! (La visite guidée est ici, c’est un étalage sidérant de mauvais goût comme le salon principal ici à gauche). « Après notre reportage sur le vol mystérieux de l’avion vers la Turquie, Ankara a été bombardée de questions sur l’état de l’avion. Le turc a officiellement déclaré à contrecœur qu’il s’agissait d’un cadeau du Qatar. C’est tout à fait l’affirmation étant donné que l’avion coûte près de 400 millions de dollars neufs, et c’est juste pour l’avion lui-même. Son intérieur orné et ses caractéristiques uniques, comme un lit chirurgical gyro-stabilisé, coûtant plusieurs millions de plus » écrit mi-amusé War Zone qui lui consacre un chapitre complet.. Les « doutes » sur le cadeau énoncés par Erdogan semblant un sommet d’hypocrisie, à l’évidence ! Lui qui se veut irréprochable !!! Au passage on comprend pourquoi l’A-340 a été remisé ! Erdogan, en vieux roublard, l’avait sorti la première fois pour impressionner Trump en se rendant avec à Washington en novembre 2019. L’engin est en effet plus grand et plus moderne qu’Air Force One !!

Question moralité, il y aurait à dire en effet, dans le pays, qui se voudrait exemplaire dans le genre. L’hypocrisie y est de règle. La Turquie possède aussi un vieux yacht imposant de 1931, le Savarona, hérité du temps d’Ataturk, qui a encore belle allure et fait toujours ses 132 mètres de long (ici à gauche, et son super look vieillot. Il a vu défiler un nombre important de politiques dont certains l’ont loué à la semaine. Parce qu’il l’avait entièrement retapé en 1989, on a accordé au milliardaire turc Kahraman Sadıkoğlu le droit de l’utiliser en son nom jusque… 2038. Or en 2010 il est pris d’assaut par un raid de la police qui découvre dedans un vrai lupanar, car il hébergeait à son bord un vaste réseau de prostitution dotée de très jeunes filles, venues pour la plupart de Russie  (15 ans à peine  chez certaines !), amenées par deux mafieux turcs, Musa Çelik et Gunduz Akdeniz  !!! . L’enquête avait commencé avec la surveillance du Rixos Premium Hotel à Belek, en Turquie, à 50 kilomètres d’Antalya, un hôtel cinq étoiles de la chaîne des hôtels Rixos, dirigé par la famille Arif,  Tevfik Arif. et ses fils, Efendi et Refi. Tevfik (ici à droite à côté d’Ivanka Trump et son père) était aussi à la tête un temps du groupe Bayrock, engagé comme on le sait dans l’hôtel du Trump SoHo… Au moment du raid, celui qui l’avait loué était le citoyen belgo-kazak Alexander Mashkevitch, le directeur de l’Eurasian National Resources Corporation (ENRC) et un ami personnel de Nursultan Nazarbayev, président du Kazakstan. J’ai déjà évoqué ici ce personnage douteux, notamment pour le « Kazakhgate » de Sarkozy. »

« Kahraman Sadıkoğlu, (ici à gauche) que l’on a accusé d’avoir tiré de gros profits du navire sans être trop regardant sur l’usage qui en était fait, a reproché aux médias d’avoir grossi l’affaire, en ayant recours à la publication de photos falsifiées des prostituées arrêtées. Il a également laissé entendre que l’incident aurait été provoqué puisque les personnes incriminées étaient sous la surveillance de la police depuis longtemps et qu’on les aurait laissé entrer librement sur le territoire turc, quelques jours avant l’arraisonnement du yacht. En fait, Kahraman Sadıkoğlu a surtout cherché à se dédouaner, de façon peu convaincante, en expliquant qu’il ne pouvait assurer une surveillance permanente pour éviter de tels débordements et, pour finir, en renvoyant la responsabilité de ce «naufrage» à l’Etat et aux grandes fondations qui n’ont jamais voulu dépenser une livre pour assurer l’entretien ou la reconversion du navire, alors que lui aurait investi lourdement dans sa restauration. »

Erdogan, à sa décharge,  n’a utilisé en fait le yacht qu’une seule fois, en 2015, cinq ans après, pour recevoir le président de Bosnie  Gurbanguly Berdimuhamedow .

Les alertes avaient déjà sonné pourtant… 

La Turquie noyée dans sa mafia et impliquée dans le trafic de cocaïne (elle, la « spécialiste » du circuit depuis des lustres de l’héroïne remontant d’Afghanistan, dans un flux inverse) ?  

Eh bien notre longue enquête (cf nos épisodes précédents) sur les ramifications de la mafia turque à Belize, coin stratégique des arrivages par avion de grosses quantités de cocaïne par avion, nous le laissaient entendre en effet, Elle afflue depuis un bout de temps déjà, malgré un pouvoir qui fait comme s’il ne la voyait pas. Il a bien été forcé en juin dernier, pourtant, de le reconnaître « s’ajoutant à une série de rapports sur les saisies de drogue en Turquie, les responsables du ministère du Commerce ont déclaré le 23 juin avoir saisi 463 kilogrammes de cocaïne cachés dans des conteneurs de bananes arrivés au port de Mersin après un voyage en provenance d’Équateur. Le ministre turc du Commerce, Mehmet Mus, un homme considéré comme faisant partie du camp « Pélican » de Berat Albayrak – le gendre du président Recep Tayyip Erdogan qui a démissionné en novembre dernier de son poste de ministre des Finances – a annoncé la saisie le 27 juin. lors d’un point de presse. Le trafic de narcos à destination de la Turquie est de plus en plus sous les projecteurs. Le pays a longtemps fait partie d’un itinéraire majeur de l’héroïne – le démantèlement de la tristement célèbre « French Connection » qui a fonctionné des années 30 aux années 70 n’a certainement pas mis un terme à tout le trafic – et certains prétendent que son importance augmente maintenant. non seulement en termes de consommation de drogues, mais en tant que voie de cocaïne ». le 4 mars 2019, c’est 185 kilos qui avaient été découverts dans un autre chargement de bananes, en provenance du même pays ! Le circuit s’était inversé ! La Turquie n’envoyait plus, mais recevait  (pas la même marchandise) !! En réalité, c’est pire, car elle fait aujourd’hui les deux !!

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FRANCE 🇫🇷 (Trafic d’armes de guerre dans les cités) : le commanditaire turc arrêté en Bulgarie

Cette affaire de trafic d’armes entre la Belgique et la Seine-et-Marne avait débuté par l’arrestation sur l’autoroute de jeunes gens de Melun en octobre 2020. Un turc, désigné comme leur commanditaire, a été arrêté et mis en examen ce mardi à Paris.

Des fusils d'assaut Kalashnikov ont notamment été saisis par les forces de l'ordre. DR

Des fusils d’assaut Kalashnikov ont notamment été saisis par les forces de l’ordre. DR

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L’enquête a débuté en octobre dernier par un simple contrôle de la douane, à un péage situé dans le nord de la France.

Selon une source judiciaire contactée par La République de Seine-et-Marne, un homme d’une trentaine d’années a été mis en examen par un juge d’instruction, confirmant une information du Parisien. Selon nos informations, il a été placé en détention provisoire pour des faits présumés de transport, détention, acquisition d’armes de catégorie A et B en réunion.

Il est également visé de faits présumés d’importation en bande organisée de marchandises prohibées et association de malfaiteurs. D’après Le Parisien, l’enquête a débuté en octobre dernier par un simple contrôle de la douane, à un péage situé dans le nord de la France. Deux individus tentent d’échapper au contrôle et se débarrassent d’un sac.

Ces fusils d’assaut étaient sans doute destinés à protéger les intérêts des trafiquants de drogue d’une cité de Seine-et-Marne. C’est en tout cas l’hypothèse qui tient la corde pour les enquêteurs dans ce dossier qui vient de connaître une nouvelle avancée.

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TURQUIE 🇹🇷 (Istanbul) : les douaniers saisissent à l’aéroport plus de 4 tonnes de méthamphétamine à destination des Pays-Bas

Les douaniers turcs ont saisi lundi plus de quatre tonnes de substances utilisées dans la production de drogue à l’aéroport d’Istanbul, a rapporté le journal BirGün .

Les substances, signalées comme « amphétamine » et « méthamphétamine », ont été découvertes à l’intérieur d’une cargaison en transit à destination des Pays-Bas en provenance de Hong Kong, a déclaré BirGün.

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AVISEUR INTERNATIONAL : les toutes dernières « NARCONEWS » via Twitter

IRAN 🇮🇷 : Iran intelligence seizes 80kg heroin at border with Turkey

The West Azarbaijan province Intelligence Office statement which was released on Saturday said that a shipment of 80 kg heroin was discovered by their forces and was confiscated from the drug traffickers before they could smuggle it into Turkey and then to the European countries.

The statement said that the drug traffickers were trying to hide the shipment in a truck and smuggle it to European countries.

Maku is in the south of West Azarbaijan Province which borders Turkey.

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NARCOTRAFIC (Cocaïne, héroïne, tramadol) : l’Afrique plus que jamais à l’épreuve du narcotrafic

Ces derniers mois, les saisies records de drogues se succèdent sur le continent. Malgré l’épidémie de Covid-19, le trafic s’est intensifié, de nouvelles routes se sont créées et, surtout, la consommation locale s’accroît.

Plaque tournante de la drogue depuis 20 ans, l’Afrique est confrontée en 2021 à une augmentation sans précédent du trafic de stupéfiants.

Pour atteindre l’Europe, la cocaïne colombienne emprunte désormais presque systématiquement la route du Golfe de Guinée, avant de traverser le Sahel, où groupes jihadistes et milices ont la haute main sur tous les trafics. L’héroïne afghane, elle, emprunte la « route du Sud » plutôt que celle des Balkans, désormais plus sécurisée.

Si la majeure partie des drogues sont destinées aux marchés occidentaux, le commerce de produits dérivés – d’opioïdes notamment – pour la consommation locale explose. Alors que l’usage non-médical du Tramadol continue de faire des ravages en Afrique de l’Ouest, les héroïnomanes ont plus que triplé en Afrique de l’Est et australe et la consommation de cannabis reste toujours au dessus de la moyenne mondiale, avec un taux de prévalence d’environ 7 % chez les 15-65 ans.

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TURQUIE 🇹🇷 (Mersin) : les douaniers saisissent 463 kilos de cocaïne dans un navire qui arrivait d’Équateur

Après une opération identique la semaine dernière, les douaniers turcs ont saisi 463 kilogrammes de cocaïne dans le port méditerranéen de Mersin au petit matin de ce mercredi 23 juin 2021, dans la cargaison d’un navire en provenance d’Équateur.

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TURQUIE 🇹🇷 (port de Mersin) : les douaniers saisissent une tonne de cocaïne dans le sud

Les équipes de surveillance douanière du ministère ont saisi une tonne de cocaïne au niveau du port de Mersin, a annoncé Mus, ajoutant qu’il s’agit de la plus importante saisie de cocaïne faite jusqu’à aujourd’hui en Turquie.

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ESPAÑA 🇪🇸 (Madrid) : detenido uno de los principales capos europeos de la heroína que abastecía a los clanes de la droga de Cañada Real

Los agentes se han incautado de 26 kilos de heroína camuflada en carga legal de sacos de cemento y arena, transportados por empresas desde Países Bajos.

En total, nueve personas han sido detenidas en las localidades de Alcalá de Henares y Alovera, en las provincias de Madrid y Guadalajara.

El principal detenido, líder de la organización y asentado en la ciudad neerlandesa de Róterdam, fue arrestado tras desplazarse a España para coordinar personalmente la transacción de una importante partida de heroína. Era turco holandés y abastecía a los clanes de la droga de Cañada Real y pretendía impulsar la venta de heroína tras los meses de pandemia. La droga salía de Afganistán y llegaba a Irán donde las organizaciones tienen guarderías desde las que distribuyen a Europa por diferentes rutas.

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TURQUIE 🇹🇷 (narco-logistique) : la « Turkish Connection »… Fantasme ou réalité ?

Un chef de la mafia turque, qui a fait un certain nombre de déclarations extraordinaires sur les élites de son pays et le crime organisé, a affirmé qu’un plan avait été mis en place pour organiser le trafic de cocaïne du Venezuela vers la Turquie.

Dans une vidéo mise en ligne sur YouTube fin mai, Sedat Peker, chef de gang turc condamné, a affirmé qu’Erkam Yildirim – le fils de l’ancien Premier ministre turc Binali Yildirim – avait été impliqué dans un « savant montage » visant à envoyer de la cocaïne du Venezuela vers la Turquie.

L’ex premier ministre Binali Yildirim a publiquement nié les allégations faites contre son fils, affirmant dans une déclaration que les affirmations de Peker étaient «définitivement de la calomnie, des mensonges et je les rejette fermement. Nous mentionner côte à côte avec la drogue est la plus grande insulte », selon le Washington Post.

Reconnu coupable de crimes liés à la foule en 2007 et libéré de prison en 2014, Sedat Peker a quitté la Turquie l’année dernière pour éviter des poursuites après avoir prétendu avoir été informé d’une enquête sur son organisation criminelle. Plus tôt cette année, la police a arrêté près de 50 personnes associées au groupe.

Depuis mai, il a publié une série de vidéos YouTube dans lesquelles il a fait des allégations non corroborées de morts suspectes et de trafic de drogue, alléguant l’implication de hauts responsables du gouvernement turc et de personnes proches du parti AK au pouvoir, a rapporté Reuters.

À la suite d’une saisie de 4,9 tonnes de cocaïne à destination de la Turquie dans la ville côtière de Buenaventura, en Colombie, en juin dernier, Peker a déclaré que des contacts avaient été pris pour trouver une nouvelle route d’approvisionnement de la cocaïne. Il a affirmé que deux visites de quatre jours au Venezuela en janvier et février 2021 par Erkam Yıldırım devaient établir une nouvelle route pour l’envoi de cocaïne en Turquie, selon le média turc Bianet.

Binali Yıldırım a reconnu que son fils s’était rendu au Venezuela seulement en décembre 2020, apportant des fournitures médicales pour aider le pays à combattre le COVID-19.

D’autres allégations de Peker prétendaient que le cargaisons de cocaïne arrivant en Turquie pouvaient être transférées sur des yachts se dirigeant vers la marina de Yalıkavak dans la ville portuaire de Bodrum, située dans la partie sud-ouest du pays, a rapporté Bianet.

Sedak Peker a également affimé que l’ancien ministre de l’Intérieur Mehmet Ağar avait pris le contrôle de la marina à Mübariz Mansimov Gurbanoğlu, un entrepreneur azerbaïdjanais, actuellement assigné à résidence pour des liens présumés avec un groupe tenu pour responsable d’une tentative de coup d’État en 2016 en Turquie. Ağar, qui préside le conseil d’administration de la marina, a nié les allégations, affirmant qu’il protégeait la marina de la mafia.

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Analyse de la criminalité par InSight

La Turquie a servi de point de transit pour la cocaïne sud-américaine introduite en contrebande en Europe, au Moyen-Orient et en Asie.

Les trafiquants ont réussi à envoyer de la drogue dans le pays dans des conteneurs maritimes qui arrivent via la ville belge d’Anvers et d’autres ports européens.

De la cocaïne a également été introduite clandestinement à bord de vols entre la Colombie et la Turquie.

Sedat Peker a suggéré qu’une nouvelle route reliant le Venezuela et la Turquie avait été choisie par le réseau présumé pour deux raisons: le manque de contrôle de la Drug Enforcement Administration (DEA) des États-Unis au Venezuela et la proximité du pays avec la Colombie, qui connaît un boom de la production de cocaïne. .

Mais il est resté vague sur le « modus operandi » spécifique en suggérant seulement que les cargos quittant le port nord du Venezuela de La Guaira s’arrêtent à Panama avant d’atteindre la Turquie, selon Bianet.

Bien que cela ne semble pas être une filière de trafic de cocaïne établie, elle pourrait être plausible avec les bonnes connexions en place. Le fret transportant de la ferraille expédiée du Venezuela continue d’atteindre la Turquie.

Bien qu’aucune des affirmations de Sedat Peker n’ait été étayée, ses commentaires indiquent comment les réseaux de drogue turcs pourraient prendre le contrôle de nouvelles routes pour répondre à la demande européenne de cocaïne.

Un rapport de 2019 d’Europol et de l’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (OEDT) a signalé que des groupes criminels organisés turcs mettent de plus en plus en place leurs propres opérations pour transporter la cocaïne directement d’Amérique du Sud vers l’Europe.

Le rapport ajoute que ces groupes achètent également de la cocaïne directement dans ou à proximité des pays producteurs, en s’appuyant sur leur propre infrastructure de transport maritime pour expédier de la drogue à travers l’Atlantique.

Analyse de la criminalité par Aviseur International

Sedak Peker ne fait que reprendre ce qui est parfaitement connu de l’ensemble des services européens dédiés à la lutte contre le narcotrafic. Donc ces informations ne permettent pas de faire une réelle découverte.

Seules les visites d’Erkam Yıldırım au Venezuela pour raisons humanitaires peuvent éventuellement déclencher un complément d’informations par les enquêteurs, bien qu’il soit vraisemblable que les agents de la DEA connaissent déjà les raisons réelles des visites de Erkam Yıldırım.

Sedak Peker a également affirmé que l’ancien ministre de l’Intérieur Mehmet Ağar avait pris le contrôle de la marina à Mübariz Mansimov Gurbanoğlu, un entrepreneur azerbaïdjanais, actuellement assigné à résidence pour des liens présumés avec un groupe tenu pour responsable d’une tentative de coup d’État en 2016 en Turquie. Ağar, qui préside le conseil d’administration de la marina, a nié les allégations, affirmant qu’il protégeait la marina de la mafia.

Pour cette dernière allégation de Sedak Peker, il ne serait pas autrement surprenant qu’un ex ministre de l’intérieur ait saisi l’opportunité de prendre le contrôle d’une marina, sachant que le côté sécurisation apportée par son contrôle autorise ‘de facto’ toutes autres dérives savamment calculées.

Souvenons-nous de Charles Pasqua en France et de José Barrionuevo et Rafael Vera en Espagne, qui étaient des experts dans le double jeu sans être pour autant bi-polaire !

SOURCE

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PANAMA 🇵🇦 : Panama’da 616 paket kokain yakalandı. Sevkiyat, Ekvador’un Bolivar Limanı’ndan yola çıktı. Limanı işleten ise Yılport adlı Türk şirketi. Peki Yılport’un ilgisi ne?

Panama’da 616 paket kokain yakalandı. Sevkiyat, Ekvador’un Bolivar Limanı’ndan yola çıktı. Limanı işleten ise Yılport adlı Türk şirketi. Peki Yılport’un ilgisi ne?

Orta Amerika ülkesi Panama’da, Türkiye’de Mersin Limanı’na gelmek üzere taşınan bir konteynerde 616 paket kokain maddesi ele geçirildi.

Panama basınında yer alan haberlere göre uyuşturucu madde Güney Amerika ülkesi Ekvador’un Bolivar Limanı’ndan yola çıktı. Panama’nın PSA Limanı’na gelen konteyner, burada ülkenin güvenlik güçlerince arandı ve muz kutuları içinde saklanmış halde 616 paket kokain ele geçirildi. Panamalı yetkililer, kargoyu çarşamba gecesi bir takip ve istihbarat çalışması sonucu elde ettiklerini duyurdu.

OKUYUN

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TURQUIE 🇹🇷 (province d’Agri): saisie de 808 kilos d’héroïne par les douaniers

Les agents de la douane turque ont saisi 808 kilogrammes d’héroïne à la frontière avec l’Iran à Bazargan (Gurbulak en turc)  dans la province d’Agri Est.

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TURQUIE 🇹🇷 (cartel de Zindashti): le renseignement iranien serait-il impliqué dans le trafic international de la Turquie vers la Roumanie ?

La police turque a déclaré le 14 décembre qu’elle avait arrêté 13 membres d’un groupe criminel connu sous le nom de cartel de Zindashti travaillant en Turquie, accusés de collaboration avec les organes de renseignement de la République islamique d’Iran

L’agence de presse officielle du gouvernement turc, Anatoli, a déclaré que le ministère iranien des renseignements employait ce groupe criminel pour assassiner ou enlever des dissidents iraniens en Turquie au moins depuis 2015.

Selon les rapports des médias turcs ainsi que les vidéos diffusées par Sky News le 16 décembre, en Grande-Bretagne, l’enlèvement d’Habib Asyud ou Chaab, un séparatiste irano-arabe de premier plan de la province pétrolière du Khouzistan avec une importante population arabophone, était la dernière mission effectuée par le groupe criminel pour le compte du ministère iranien des renseignements.

Naji Sharifi Zindashti

A côté de ses associés dans le trafic de drogue, Naji Sharifi Zindashti, l’homme qui porte le nom du cartel, est également soupçonné d’avoir été à l’origine de l’assassinat du dissident iranien Masoud Mowlavi à Istanbul en novembre 2019.

En 2018, certains membres du groupe et Zindashti lui-même ont été arrêtés en Turquie parce qu’ils étaient soupçonnés d’avoir assassiné Saeed Karimian, fondateur et directeur de Gem TV, et d’autres meurtres liés au trafic de drogue. Ils ont été libérés après un certain temps, apparemment à la suite de pressions, de pots-de-vin et d’un manque de preuves adéquates.

Après sa libération, Zindashti est retourné en Iran et malgré ses condamnations pour trafic de drogue et le meurtre d’un gardien de prison dans le passé, Zindashti mène une vie libre en Iran. Des sources en Iran affirment qu’il collabore ouvertement avec le ministère du renseignement et y dirige même son commerce de la drogue. Il a construit des maisons dans son village natal et un bloc d’appartements à Urmia.

Certaines preuves ont maintenant fait surface qui montrent que le cartel de Zindashti pourrait également avoir été impliqué dans le meurtre du juge iranien Gholamreza Mansouri dans la capitale roumaine Bucarest en juin

Le juge fugitif accusé d’avoir reçu environ un demi-million de dollars de pots-de-vin, en fuite en Europe, a été retrouvé mort dans des circonstances suspectes à son hôtel.

L’assassinat du juge Mansouri à Bucarest peut avoir été commis par des hommes liés à Hossein Karimi-Rigabadi, le cousin maternel et beau-frère de Zindashti. L’implication de Karimi-Rigabadi peut expliquer les obscurités restantes dans le cas de Mansouri: les autorités iraniennes qui disent que Mansouri s’est suicidé peuvent l’avoir attiré d’Allemagne en Roumanie où les tueurs à contrat avaient de meilleures possibilités de l’abattre. Mansouri s’était rendu en Roumanie sur les conseils du ministère iranien des Affaires étrangères pour éviter d’être arrêté pour violation des droits de l’homme en Allemagne.

Gholamreza Mansouri, juge en fuite et initié du régime, tué à Bucarest en juin 2020

La façon dont la police et les tribunaux roumains ont traité l’affaire et le fait que l’ambassade d’Iran à Bucarest a ignoré l’avertissement de Mansouri concernant le danger pour sa vie font partie d’un puzzle créé par les organes de renseignement iraniens qui utilisent des groupes criminels à l’étranger, tels que le Zindashti, le cartel en Turquie et le cartel de Rigabadi en Roumanie pour effectuer leur sale boulot à leur place.

Karimi-Rigabadi a vécu à Bucarest pendant plus de 25 ans où il dirigeait l’un des principaux cartels de la drogue de la ville. Il a été recherché par la Drug Enforcement Administration (DEA) des États-Unis pendant de nombreuses années pour son rôle dans le trafic international d’héroïne et a finalement été arrêté en Autriche en mars 2007 et extradé vers les États-Unis .

Il a été libéré après cinq ans et est retourné en Iran où il vit actuellement.

Naji Sharifi Zindashti a été impliqué dans une opération massive de trafic de drogue en 2014 permettant à la police grecque de saisir plus de deux tonnes d’héroïne pure.

le navire Noor 1

L’arrestation à Istanbul du narcotrafiquant Serifi Zindashti, âgé de 44 ans – sur mandat d’arrêt émis par les autorités grecques – est le développement le plus significatif de ces derniers mois dans le cas du transport de 2,1 tonnes d’héroïne sur le le navire Noor 1, qui a été repéré en juin 2014 à Elefsina. lire plus

Des dizaines de personnes ont été arrêtées et une chaîne de meurtres suspects a eu lieu dans divers pays, dont la Turquie, où Zindashti et sa famille vivaient. Au moins 17 personnes liées à l’opération ont été tuées sur trois continents au cours des six dernières années.

Au cours des vingt-six dernières années, Zindashti, 46 ans, a été arrêté trois fois pour trafic de drogue et meurtre, mais à chaque fois, il a réussi à échapper à la punition. Il est le plus jeune enfant d’une famille aisée et bien connue du village de Mamkan dans la province de l’Azarbaïjan occidental en Iran.

Le père et le frère aîné de Zindashti, dissidents kurdes combattant pour le Parti démocratique du Kurdistan iranien, sont tous deux morts dans une rencontre armée entre les hommes du parti (peshmarga) et les Gardiens de la révolution de la République islamique en 1983.

La police iranienne a arrêté Zindashti en 1996 pour un trafic de drogue. Lui et son complice Esfandiar Rigi ont été condamnés à perpétuité, mais ont tué un garde lors de leur transfert au tribunal pour témoigner dans une autre affaire et se sont enfuis.

Rigi s’est rendu au Pakistan et Zindashti s’est enfui en Turquie où il s’est installé avec sa sœur dans un village près de la ville de Van et a commencé à établir son cartel de la drogue.

Zindashti’s villa in Istanbul

En 2001, Zindashti a déménagé à Istanbul où il a établi des relations avec le mouvement politique de Fethullah Gulen et a fait de généreux dons au groupe. Gulen, qui à l’époque était un religieux et une personnalité politique influente, soutenait l’étoile montante Recep Tayyip Erdogan.

Plus tard, les deux hommes forts de la politique turque se sont effondrés et Gulen vit maintenant aux États-Unis alors qu’Erdogan souhaiterait vraiment l’extrader.

En 2007, la police turque a arrêté Zindashti  avec plus de 77 kilos d’héroïne près d’Istanbul.

Selon certaines informations, Zindashti a affirmé qu’il s’appelait Kamal Sharifi-Seyedani et a coopéré avec les autorités pour identifier les itinéraires du trafic de drogue pendant l’enquête et le procès en échange d’une réduction de sa peine.

Le procureur chargé de l’affaire a demandé une peine d’emprisonnement à perpétuité, mais Zindashti, utilisant toujours son pseudonyme de Sharifi-Seyedani, a finalement été libéré, probablement en payant des centaines de milliers de dollars en pots-de-vin et en acceptant de témoigner dans l’affaire Ergenekon.

Pots de vin aux juges

Deux mois après sa sortie de prison sous un autre pseudonyme, Tarazi, il a témoigné contre les juges dans l’affaire du trafic de 350 kilos d’héroïne. Il a déclaré à la Cour que les juges avaient reçu 1,2 million d’euros de pots-de-vin pour permettre à tous les prévenus  de marcher librement.

Témoigner contre d’autres a endommagé la réputation de Zindashti parmi ses pairs et il est devenu la bête noire. La disgrâce parmi ses pairs lui a coûté cher quelques années plus tard quand ils l’ont soupçonné de les avoir vendus dans l’affaire de la découverte massive d’héroïne grecque Noor One, la plus importante jamais réalisée en Europe, qui a engendré des retombées sanglantes dans le monde entier et a déclenché des scandales de corruption politique qui font toujours rage en Turquie, en Grèce et au Moyen-Orient;

Esfandiar Rigi

L’une des personnes arrêtées par la police était Esfandiar Rigi, la personne qui s’était évadée avec Zindashti de prison en Iran des années auparavant. Rigi a fui la garde à vue de la police grecque et s’est rendu en Turquie où son vieil ami l’a aidé à se rendre à Dubaï où il vivait.

D’autres barons de la drogue qui avaient investi dans l’accord ont commencé à soupçonner Zindashti après l’échec de l’accord et les arrestations en Grèce et ont même assassiné par erreur sa fille Avin, étudiante universitaire, à Istanbul au lieu de lui quelques mois plus tard. Zindashti a affirmé qu’il avait averti les autorités turques et pensait que lui et sa famille étaient sous leur protection.

Zindashti, qui ne savait pas qui avait ciblé sa famille, a décidé l’élimination de ses anciens partenaires

La première cible, Murad Garki, a été tuée à Amsterdam, puis deux autres en Turquie. Les meurtres d’anciens associés, dont Esfandiar Rigi, connu sous le nom de Mohammad Diesel, se sont poursuivis en Turquie, aux Émirats arabes unis, aux Pays-Bas et en Iran.

Zindashti a finalement été arrêté en mars 2018 par la police turque lorsque la Grèce a émis un mandat d’arrêt international contre lui, mais a été libéré avec l’aide du politicien turc Burhan Kuzu, un haut fonctionnaire du Parti de la justice et du développement (AK) au pouvoir, et s’est rendu en Iran.

Kuzu avait déclaré au juge que la libération de Zindashti aurait un effet positif sur les relations turco-iraniennes.  Kuzu a-t il agi de sa propre initiative ou à la demande d’un responsable diplomatique ou de sécurité iranien. Le politicien turc a ensuite été jugé pour son rôle dans cette affaire.

Jusque-là, Zindashti semblait toujours fonder ses espoirs pour  un avenir en Turquie et… sur la scène politique turque, mais pas en République islamique.

Les médias turcs l’ont désigné comme l’homme derrière l’enlèvement d’Habib Asyud le 16 décembre et ont affirmé qu’il était lié au ministère iranien des renseignements.

Dans une interview vidéo avec un journaliste turc publiée sur YouTube  le 20 décembre, Zindashti a nié les allégations de collaboration avec le ministère iranien des renseignements, portées contre lui par Bakhtiar Forat, un parent arrêté en Turquie en novembre. Zindashti a déclaré que les aveux de Forat avaient été faits sous la torture et étaient sans fondement.

La Turquie a arrêté un certain nombre de citoyens turcs pour leur rôle dans l’enlèvement d’Asyud remis aux services de renseignement iraniens, vraisemblablement sur ordre de Zindashti.

A suivre

Shahed Alavi – Iran International staff journalist

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IRAK 🇮🇶 (Front turkmène irakien): le PKK empoisonne les jeunes de Kirkouk avec de la drogue, dixit Arshad al-Salihi

Le chef du Front turkmène irakien, Arshad al-Salihi, a déclaré, samedi, que l’organisation terroriste « PKK » empoisonnait les jeunes en introduisant de la drogue sur les marchés du gouvernorat de Kirkouk (nord).

Arshad al-Salhi a déclaré sur Twitter : « Le PKK empoisonne les jeunes en s’adonnant au trafic de drogue à Kirkouk« .

Selon Al-Salhi, l’organisation terroriste qui, pendant des années, a été à l’origine des assassinats de membres du Front turkmène irakien, a entrepris de faire le commerce de la drogue à Kirkouk.

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