CANADA 🇨🇦 (GRC) – FRANCE 🇨🇵 (DG de la Douane) – UK 🇬🇧 (HM Customs and Excise) : ces régaliennes ne seraient elles peuplées que de BAD GUYS *, de taiseux corrompus et de soumis au devoir de réserve imposé ?

les interviews du spectre de la DNRED

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Sur les ondes canadiennes

et

sur les ondes françaises

Le dossier du spectre de la DNRED est classé secret défense…Pourquoi?

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  • BAD GUYS

Les synonymes en français :

Personne méprisable, dénuée de toute moralité, personne capable d’actes contraires à tous les principes moraux, saligaud, salopard, sale type

Les synonymes en anglais :

bastards, assholes, motherfuckers, scumbags, fuckers, bastard, jerks, sons of bitches, scum, pigs, swine, cocksuckers, bitch, rotten

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Avec le témoignage de l’ex Boss de la DNRED, Monsieur Jean Henri Hoguet

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Il semblerait que l’honneur ne soit pas une vertu connue par les DG Comolli, Viala, Duhamel, Cadiou, Auvigne, Mongin, Fournel, Crocquevieille, Gintz et Braun-Lemaire

avec

la médaille d’or pour l’énarque IGF François Auvigne

François Auvigne

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STUPÉFIANTS : aujourd’hui le narcotrafic est devenu «too big to fail»

Déjà publié sur « Aviseur International » le 28 mars 2015.

Depuis rien n’a changé ni évolué dans le bons sens. En France, c’est la guerre à outrance qui ne fait qu’empirer la situation en confortant l’action des narcotrafiquants.

DICK MARTY

Docteur en droit, ancien procureur général du Tessin, conseiller aux Etats, conseiller d’Etat et membre de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, pour laquelle il a mené différentes enquêtes qui l’ont fait connaître sur la scène internationale.

Par Dick Marti

Pour lutter contre les narcotrafiquants, il est nécessaire de mener une importante action de sensibilisation au niveau mondial, selon Dick Marty. Et il faut progressivement s’acheminer vers un marché contrôlé dans lequel la réglementation est définie en fonction de la dangerosité de la substance et de l’âge du consommateur.

Après des décennies de faillites ruineuses dans la réponse sociale au problème des dépendances, on doit le dire clairement: le prohibitionnisme en matière de drogue et la criminalisation des consommateurs sont une voie sans issue.

Plus, ils ont directement contribué à produire le plus important phénomène criminel de tous les temps, qui alimente toutes sortes d’autres trafics. L’argent de la drogue et les pratiques des organisations criminelles infiltrent l’économie avec un effet de contamination morale et de diffusion à grande échelle de la corruption. Les enquêtes n’atteignent presque jamais les hauts étages du crime organisé. La répression des petits poissons sert en revanche, presque cyniquement, à entretenir un certain niveau des prix et à assurer des profits fabuleux à ceux qui gèrent les grands trafics.

L’argent facile de la drogue est en fait devenu un facteur économique de grande importance, ce qui explique aussi pourquoi on ne s’attaque pas à la racine du problème. Si l’on pense que le chiffre d’affaires du trafic de drogue est estimé à environ 300 milliards de dollars par année, il est évident que cet argent est désormais devenu un véritable facteur de portée géopolitique. Il entretient de nombreux conflits, permet de financer des achats massifs d’armes de plus en plus sophistiquées, conditionne les choix de nombreux gouvernements, influence les structures socio-économiques. J’ai entendu récemment un chercheur affirmer que si le trafic de drogue était éliminé, la plupart des familles des cités entourant Marseille ne seraient plus à même de payer leur loyer.

Des ressources énormes sont investies dans la répression, alors que le crime qui en contrôle le trafic prospère. Les institutions et la structure sociale de plusieurs pays ont été bouleversées par les narcodollars et les narcotrafiquants.

Nous sommes tous conscients qu’il n’existe pas de solution facile ni de solution idéale.

Je pense cependant que toute nouvelle solution présuppose que l’on soit conscient de ce qui est en train de se passer et du gâchis auquel a conduit la politique actuelle.

Une importante action de sensibilisation au niveau mondial est nécessaire. Ce travail est en cours depuis longtemps. En 1984 déjà, Milton Friedman, Prix Nobel d’économie, écrivait que la prohibition de la drogue favorisait le crime, sans en diminuer l’usage, et imposait un coût aberrant à la société. Une position analogue a été prise, par la suite, par la célèbre revue The Economist, ce qui fit sensation. D’anciens chefs d’Etat se sont réunis en groupe de travail et ont pris position en faveur d’une nouvelle politique de la drogue et contre l’actuel régime de prohibition. Il est à peine besoin de rappeler ici le rôle important joué par Ruth Dreifuss dans ce contexte. C’est un travail difficile, qui demande beaucoup d’énergie et beaucoup de temps.

Il faut ainsi convaincre les politiciens un peu partout dans le monde.

La politique actuelle de la drogue est en effet ancrée, je dirai cristallisée, dans des conventions internationales qu’on ne pourra modifier qu’avec l’accord des principaux pays. Or, la peur de la drogue et les discours guerriers qui prônent la répression ont toujours la faveur de nombreux politiciens. Ce genre de discours, en effet, se prêtent bien à des tirades démagogiques et populistes, aujourd’hui plus que jamais à la mode.

Les chroniques parlementaires de ces dernières années démontrent, hélas, qu’à chaque fois que se pose un problème dans la société, il y a toujours de nombreuses voix, souvent majoritaires, pour proposer un durcissement des peines ou la création de nouvelles normes pénales. En Suisse, avant même de disposer d’une étude sérieuse quant aux conséquences sur la récidive de l’élimination des courtes peines de prison décidée lors de la dernière révision du Code pénal, il est devenu de bon ton, aussi bien à droite qu’à gauche, d’invoquer un retour à la case prison. C’est naturellement plus facile que d’essayer de comprendre les raisons profondes de certains comportements et de mettre au point les remèdes les plus efficaces. Il y a exactement deux cent cinquante ans, Cesare Beccaria publiait son ouvrage Dei delitti e delle pene. Il démontrait que ce n’est pas la sévérité de la peine qui retient une personne de commettre une infraction, mais bien le degré de probabilité de se faire prendre; un enseignement qui a maintenu une actualité étonnante. Cette vérité devrait être rappelée avec force aux décideurs d’aujourd’hui qui tendent à faire exactement le contraire: diminuer les moyens à la disposition de l’Etat pour le social, l’éducation et la prévention, et, par ailleurs, durcir la répression pénale.

La politique de la drogue exige une approche cohérente et crédible pour être efficace.

C’est loin d’être le cas aujourd’hui. La distinction entre substances légales et illégales apparaît aujourd’hui comme arbitraire, injuste et hypocrite. Je pense qu’il est nécessaire de mettre en œuvre une stratégie globale pour l’ensemble des substances psychotropes créant une dépendance. Cela ne veut nullement dire qu’on va traiter toutes les substances de la même façon. Il faut progressivement s’acheminer vers un marché contrôlé (cela existe déjà pour le tabac, l’alcool et les médicaments), dans lequel la réglementation est définie en fonction de la dangerosité de la substance et de l’âge du consommateur.

Dans de nombreux pays, les choses ont commencé à bouger. La distribution contrôlée d’héroïne a choqué au début, mais elle a démontré que, bien appliquée, elle contribuait à une réduction sensible des risques pour la santé, à une baisse de la criminalité et permettait une réintégration sociale qui ne paraissait guère possible auparavant. Quelques Etats ont libéralisé le cannabis. (…)

En matière d’addiction et sur la façon d’y faire face

J’ai beaucoup de doutes et, plus j’avance dans la connaissance de ce phénomène, plus les certitudes ont fondu comme neige au soleil. J’ai toutefois une conviction. La prohibition telle que nous l’appliquons est non seulement une faillite, mais elle entretient le phénomène criminel le plus important de tous les temps. Ce dernier a assumé une telle dimension que la lutte que nous menons actuellement contre le trafic de drogue ne peut pas et ne pourra jamais être gagnée.

Pourquoi? Parce que les intérêts du crime organisé sont aujourd’hui à ce point entremêlés avec ceux d’autres acteurs économiques, politiques et sociaux qu’une disparition des narcodollars entraînerait une réaction en chaîne désastreuse. Le directeur de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime, Antonio Maria Costa, a affirmé que les narcodollars ont contribué à sauver de la faillite des établissements bancaires de première importance lors de la tempête qui s’est abattue sur les marchés financiers mondiaux en 2008. Je laisse la responsabilité de cette affirmation à son auteur, qui n’est en tout cas pas le dernier venu. Ce qui est vrai, en tout cas, c’est qu’avec le prohibitionnisme le narcotrafic est en fait devenu aussi, comme certaines banques, too big to fail!

Seul un changement de paradigme est à même de nous offrir une meilleure perspective d’avenir.

Il faut attaquer le trafic sur le terrain qui lui a assuré son fantastique succès, le marché. Ce marché que nous avons soutenu, financé, entretenu et qui a ainsi conféré une énorme plus-value à des substances qui n’avaient que peu de valeur. Au lieu d’essayer d’éliminer ce marché par des tentatives qui jusqu’à présent n’ont eu d’autre effet que de le renforcer, il faut l’accepter comme une réalité, il faut l’occuper et le réguler. C’est finalement ce qu’on a fait avec l’alcool et le tabac.

La drogue est avant tout un problème de santé et il faut l’appréhender en tant que tel. 

Certes, ce changement d’orientation fondamental de la politique de la drogue n’est pas facile et n’est pas sans risque; des erreurs seront inévitables. Des expériences intéressantes sont en cours et les désastres que l’on nous a annoncés ne se sont pas produits. Comme l’a bien dit récemment un chercheur français, l’ampleur de la catastrophe actuelle est telle que le risque de faire pire est très faible.

En fait, il ne s’agit ni d’imaginer ni de réaliser une société sans drogue, celle-ci n’a jamais existé. Le véritable défi est d’accepter l’existence des drogues et d’apprendre à vivre avec. La régulation du marché – avec le contrôle de la production et de la distribution en tenant compte de la dangerosité des substances – permettrait de diminuer sensiblement les profits des narcotrafiquants. Mais cela contribuerait également à diminuer fortement les risques pour les consommateurs puisque, par exemple, la plupart des morts dues à la consommation de drogues ne sont en fait pas provoqués directement par la substance, mais par le fait qu’elle est frelatée.

Les ressources financières que l’on économiserait dans le domaine de la répression et du système pénitentiaire permettraient d’intervenir avec plus d’efficacité sur la demande.

Non plus avec le gendarme et la prison, mais avec une action de prévention cohérente.

Persister sur la voie actuelle serait en revanche reconnaître la victoire du crime organisé et lui assurer un avenir confortable. Le marché illégal de la drogue continuera à être florissant et à être présent partout, dans tous les milieux, même dans les structures les plus fermées et les mieux surveillées.

Les narcodollars, comme évoqué plus haut, alimentent une corruption économique et morale aux plus hauts niveaux. Cette corruption est à mon avis la menace la plus grave pour nos démocraties. Oui, plus grave que le terrorisme.

Extraits d’une conférence publique donnée à l’Université de Genève par Dick Marty.

SOURCE

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FRANCE 🇫🇷 (bénéfice de la protection fonctionnelle): Absurdistan juridico-administratif

Dans un arrêt en date du 13 janvier 2017, Mme Pauline Jolivet, rapporteur et le rapporteur public M. Edouard Crépey pour le Conseil d’État ont précisé, à propos d’un collaborateur du service public qui, en sa qualité d’aviseur des douanes avait été condamné pour trafic de stupéfiants par les juridictions anglaise et canadienne, qu’en estimant que si l’implication croissante de l’intéressé dans un réseau de trafiquants de drogue avait été encouragée à l’origine par l’administration des douanes, les faits pour lesquels il avait été condamné étaient dépourvus de tout lien avec les fonctions exercées en sa qualité d’ informateur de l’administration des douanes et étaient donc détachables du service.

En en déduisant qu’ils étaient constitutifs d’une faute personnelle de l’intéressé et que, dès lors, l’administration n’avait pas commis de faute de nature à engager la responsabilité de l’État en refusant de lui octroyer à ce titre le bénéfice de la protection fonctionnelle, la cour n’a pas commis d’erreur de droit ni d’erreur de qualification juridique des faits.

Dépourvus de tout lien avec les fonctions exercées…

Se basant uniquement sur les écrits de hauts fonctionnaires de Bercy et de la DG de la Douane française qui n’ont pris aucun renseignement auprès des acteurs de la période durant laquelle Marc Fievet, AKA NS 55 DNRED, était infiltré dans l’organisation criminelle de Pascuale Claudio Locatelli, allant jusqu’à refuser le témoignage de Christian Gatard, l’officier traitant de Fievet, qui précisait que : «  Marc Fievet avait toujours fait preuve de la plus grande loyauté à l’égard des douanes françaises, notamment dans le cadre de son infiltration dans l’organisation Locatelli qui l’a exposé à de nombreux dangers.  » . Ce témoignage faisait suite à la confirmation et certification des faits énumérés des différentes opérations réalisées durant l’action d’infiltration de Fievet.

Mais de tout cela, personne, absolument personne, des administrateurs civils ou douaniers de Bercy, madame Elizabeth Melscoet et messieurs Michel Baron, Thomas Charvet et Erwan Guilmin agissant pour le ministre du Budget comme les magistrats du TA en allant jusqu’aux rapporteurs du Conseil D’État, Mme Pauline Jolivet et le Rapporteur public Edouard Crépey, personne n’en a tenu compte.

–Oublié le fait que Fievet a plaidé coupable en Angleterre sur injonction de l’attaché douanier en poste à Londres, Philippe Galy et sur demande insistante du patron de la DNRED Bernard Pouyanné qui avait garanti que Fievet puisse plaider ‘non coupable’ au Canada.

–Oublié que Christian Gatard, Bernard Roux , l’attaché douanier à Washington DC et le consul général de France, Olivier Arribe sont venus au Canada, dans les provinces maritimes lui demander de plaider coupable pour éviter de perturber le procès en cours contre les responsables des organisations criminelles canadiennes.

–Oubliées encore les plus de cent tonnes de stupéfiants saisies durant l’action de Fievet auprès de la DNRED, du British HM Custom Excise, du SVA espagnol, du DEA et des autorités douanières allemande, hollandaise et portugaise.

Pourtant, il résulte d’un principe général du droit que, lorsqu’un agent public est mis en cause par un tiers à raison de ses fonctions, et ce principe général du droit s’étend à toute personne à laquelle la qualité de collaborateur occasionnel du service public est reconnue, il incombe à la collectivité dont il dépend de le couvrir des condamnations civiles prononcées contre lui, dans la mesure où une faute personnelle détachable du service ne lui est pas imputable, de lui accorder sa protection dans le cas où il fait l’objet de poursuites pénales, sauf s’il a commis une faute personnelle, et, à moins qu’un motif d’intérêt général ne s’y oppose, de le protéger contre les menaces, violences, voies de fait, injures, diffamations ou outrages dont il est l’objet.

Le requérant ayant été collaborateur du service public en sa qualité d’aviseur des douanes a été condamné pour trafic de stupéfiants par les juridictions anglaise et canadienne et Jean Henri Hoguet, un ancien patron de la DNRED, n’a pas hésité à parler du « chantier » monté contre Marc Fievet par les agents du HM Customs excise.

La cour a souverainement apprécié les faits dont elle était saisie, sans les dénaturer, en estimant que si l’implication croissante de l’intéressé dans un réseau de trafiquants de drogue a été encouragée à l’origine par l’administration des douanes, les faits pour lesquels il avait été condamné étaient dépourvus de tout lien avec les fonctions exercées en sa qualité d’ informateur de l’administration des douanes et étaient donc détachables du service.

« Dépourvus de tout lien avec les fonctions exercées… »

C’est donc ce que pensent les rapporteurs du Conseil d’État, certes des spécialistes des actions d’infiltration au sein des organisations internationales de narcotrafic et des opérations douanières en général, qui démontrent par là une totale méconnaissance des contraintes de ce type d’actions menées par les services spéciaux.

En déduisant qu’ils étaient constitutifs d’une faute personnelle de l’intéressé et que, dès lors, l’administration n’avait pas commis de faute de nature à engager la responsabilité de l’État en refusant de lui octroyer à ce titre le bénéfice de la protection fonctionnelle, nos éminents rapporteurs estiment que la cour n’a pas commis d’erreur de droit ni d’erreur de qualification juridique des faits.

SOURCE : Conseil d’État, 10ème – 9ème chambres réunies, 13/01/2017, 386799, Publié au recueil Lebon

https://www.youtube.com/c/MarcFievetns55dnred/videos

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MALI 🇲🇱 (Cocaïne et Héroïne) : ce pays enclavé, désormais consommateur, est depuis la décennie 1990 utilisé comme plate-forme logistique vers les marchés européens pour la cocaïne et l’héroïne

C’est le Journal du Mali qui nous rapporte que l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) dans un rapport d’évaluation de la réduction de la demande de drogues publié en 2017 précisait que :« Le phénomène a connu une expansion rapide au milieu des années 2000, comme conséquence directe des mesures répressives drastiques prises par les États-Unis. Désormais, les cartels des drogues latino-américains vont élire l’Europe comme marché de remplacement du marché américain et l’Afrique de l’Ouest comme plateforme d’acheminement vers ce marché » .

La nouveauté est que le pays de transition est devenu un consommateur considérable des stupéfiants.

Deux facteurs coexistants sont en cause, note l’ONUDC : l’immigration des Maliens en Europe et l’essor du tourisme européen au Mali. Un premier groupe de dealers d’héroïne est découvert dans les années 80 dans le quartier huppé de l’époque, l’Hippodrome. « Ces deux groupes ont importé les produits au pays et ont initié des personnes proches aux modalités de leur consommation. Quelques années auraient suffi pour faire émerger une génération d’usagers autochtones qui n’a jamais immigré en Europe ni été contact avec des touristes européens », indique-t-il.

Itinéraires divers

La drogue au Mali transite principalement, selon l’OSC, par l’axe Bobo-Dioulasso (Burkina Faso) – Yorosso (Mali). Du cercle de Yorosso, une quantité est propagée à Ségou, qui ravitaille des villes du centre et du nord. Le reste s’achemine vers Koutiala, qui approvisionne Sikasso et Bamako par la route en contournant les points de contrôle des forces de sécurité. Souvent camouflés et dispersés dans des sacs de céréales ou de légumes, les stupéfiants traversent des localités de la région avant d’être stockés dans des fermes agricoles près de Bamako puis versés discrètement dans les marchés.

Au nord, « les psychotropes quittent le Niger, passent par Labbezanga et Ansongo et se retrouvent à Gao. Quant à la cocaïne, elle transite par la frontière algérienne », assure un notable de la localité. Selon ce dernier, de la ville, les drogues sont souvent acheminées par bateaux dans les localités, sur l’axe fluvial  Gao – Tombouctou – Mopti.

« Quant au réseau de la cocaïne, il opère par voie aérienne et sur l’axe Guinée – Kourémalé – Bamako. La route transahélienne, communément appelée autoroute A-10, qui passe par le nord du Mali, est à présent peu pratiquée en raison de la forte présence militaire et de la montée en puissance des FAMa », explique M. Keïta. Mais en 2009 un avion cargo, renommé par la suite « Air Cocaïne » s’est posé en plein désert à Tarkint, à une centaine de kilomètres de Gao. L’avion, qui venait du Venezuela, a été déchargé de son contenu puis incendié. D’autres réseaux du cannabis – haschich pratiquent « l’axe Ghana – Burkina Faso – Mali, celui Maroc – Mauritanie – Mali et l’axe Côte d’Ivoire – Mali ».

Nombreux acteurs

Autant les routes sont diverses, autant le sont les acteurs et les ramifications vont souvent loin. L’affaire Air Cocaïne et les récentes saisies et arrestations de personnes transportant de la drogue à l’aéroport international Modibo Keita de Sénou le prouvent. Certaines de ces personnes « sont issues des importantes diasporas ouest-africaines d’Europe et d’Amérique du nord et latine. Elles servent à la fois à établir des liens avec les cartels, les producteurs, les revendeurs et les intermédiaires sur le terrain, qui peuvent les aider et les soutenir en cas de problème, mais aussi à rapatrier les bénéfices vers l’Afrique sous diverses formes », explique la Commission ouest-africaine sur les Drogues (WACD). Selon elle, un baron de la drogue ouest-africain peut aussi bien être avocat, cadre supérieur ou homme politique que jeune déscolarisé ou passeur de diamants.

Dans le Septentrion malien, traditionnellement, ce sont les tribus Arabes lamhar du Tilemsi (région de Gao) et Bérabiche (principalement à Tombouctou et à Taoudénit) qui détiennent le quasi-monopole le trafic de drogue, indique une enquête d’International Crisis Group de 2018. Depuis, la sociologie des acteurs s’est complexifiée, à cause « des revenus générés par la drogue ». Selon notre source à Gao, « les groupes terroristes, sous couvert du djihad, et certains groupes d’ex-rebelles » s’adonnent également à la pratique. Ce qui est attesté par plusieurs rapports, dont celui très détaillé d’International Crisis Group. Ces groupes profitent de la déstabilisation de l’État et de plusieurs « No go zone » pour leurs trafics. De fait, le petit vendeur de la Tour de l’Afrique n’est que la partie immergée de l’iceberg.

Narcotrafic : le Mali en a plein le nez

par Aly Asmane Ascofaré

Source et plus

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ESPAÑA 🇪🇸 (puerto de Algeciras – UAR de la Aduana) : interceptan 2.011 kilos de cocaína oculta entre merluza congelada

La operación se inició cuando, en el marco de los controles sobre contenedores procedentes de Sudamérica que habitualmente llevan a cabo la Unidad de Análisis de Riesgos (UAR) de la Aduana de Algeciras, se tuvo conocimiento de la llegada a puerto de varios equipamientos procedentes de Ecuador que, tras un minucioso trabajo de análisis de riesgos, se sospechó que podía haber droga camuflada.

video

Funcionarios del Servicio de Vigilancia Aduanera de la Agencia Tributaria y guardias civiles que trabajan conjuntamente en la UAR inspeccionaron el cargamento y en uno de los contenedores descubrieron 1.741 pastillas ocultas que contenían una sustancia harinosa de color blanco. Tras hacer el preceptivo narcotest se confirmó que se trataba de cocaína y tras su pesaje arrojó un peso de 2.011 kilos.

fuente y mas

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ESPAÑA 🇪🇸 (Puerto de València) : hallan 626 kilos de cocaína ocultos en un contenedor con arroz llegado de Sudamérica

SVA (Agencia Tributaria) y la Guardia Civil, en el marco de una operación conjunta, se han incautado en el Puerto de València de 626 kilos de cocaína que se encontraba oculta en un contenedor con arroz procedente de Sudamérica, según han informado en un comunicado conjunto.

Leer

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ESPAGNE 🇪🇸 (Port de Valencia) : les douaniers du SVA saisissent 541 kilos de coke dans un conteneur chargé d »épices

Les agents de l’ « Agence fiscale – SVA » et ceux de la « Guardia civil » ont saisi 541 kilos de cocaïne dans le port de Valence dans un conteneur en provenance d’Amérique du Sud, la cinquième opération du genre à être réalisée au port en moins d’un mois, avec un résultat global de plus de plus de 2 700 kilos de cocaïne saisis.

Le 15 novembre, lors des travaux d’inspection des conteneurs effectués par la douane maritime de Valence à travers l’unité d’analyse des risques, les agents de cette unité ont trouvé 15 grands sacs à dos contenant la drogue, selon l’agence fiscale dans un communiqué.

Le conteneur, qui transportait un chargement d’épices, a été inspecté avec d’autres unités de pays d’Amérique du Sud arrivées à Valence quelques jours plus tôt.

source

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ESPAGNE 🇪🇸 (Port de València) : saisie de 450 kilos de cocaïne

Les agents de la Guardia Civil ont contrôlé un conteneur en provenance du Brésil. Après ouverture, ils ont découvert 450 kilos de coke.

SOURCE

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ESPAGNE 🇪🇸 (Andalousie – Campo de Gibraltar) : avec l’opération Carteia, les forces de l’ordre (SVA – GC – PN) saisissent plus de 25 tonnes de drogues par mois

Quelque 25 tonnes de drogue par mois, environ 200 détenus et au moins « l’éclatement » d’une opération par semaine sont les chiffres des résultats de la lutte du SVA Hacienda, de la Guardia civil et de la Policia Nacional contre le trafic de drogue en Andalousie.

Le mois dernier a marqué les trois ans depuis la mise en œuvre du plan de sécurité pour le Campo de Gibraltar projeté par le ministère de l’Intérieur pour lutter contre l’impunité avec laquelle les trafiquants de drogue opéraient dans la région, avec une augmentation de la violence et, même le harcèlement des forces de sécurité.

Parallèlement au plan du gouvernement, la « Guardia civil » a lancé l’opération Carteia pour lutter contre le trafic de drogue de manière plus globale, en intégrant le travail des différentes commanderies en intégrant progressivement les différentes provinces andalouses dans le plan d’action sauf Jaén et Córdoba.

La création du Centre régional d’analyse et de renseignement contre le trafic de drogue (CRAIN) pour centraliser et interpréter toutes les informations et l’OCON Sur, un organe de coordination pour favoriser les enquêtes sur le terrain.

Le narcotrafic avant Carteia

Comment fonctionnaient les narcos avant Carteia ? Comme l’explique le commandant analyste en chef du CRAIN, les organisations ont basé leur activité « sur l’efficacité et l’économie de moyens », avec des actions rapides et au moindre coût possible.

Pour ce faire, ils ont placé à la fois les points de lancement des narco-bateaux, ainsi que les points de cargaison et de stockage dissimulé, le plus près possible pour économiser les coûts logistiques, ainsi que pour avoir moins d’exposition aux forces de sécurité.

Cependant, le lancement de Carteia frappait les organisations, avec le démantèlement des quais de la drogue le long de la côte andalouse et le démantèlement de certaines des organisations les plus puissantes.

« Les organisations pensaient que cela ne durerait pas longtemps et que l’averse passerait en quelques mois. Elles ont baissé leur profil avec la conviction que la pression policière passerait et qu’elles fonctionneraient comme avant », souligne le commandant.

Ce n’était pas le cas, et la « Guardia civil » a continué à intensifier son travail avec un nouvel « allié »: l’arrêté royal qui interdit désormais l’usage privé sans autorisation préalable des bateaux pneumatiques et semi-rigides à grande vitesse, les fameux ‘narcolanchas’; arrêté qui autorise leur confiscation bien qu’ils ne transportent pas de drogue ou de tabac lorsqu’ils sont détectés.

source et plus en Castillan

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BRÉSIL 🇧🇷 (port d’Itapoá) : les douaniers du  » Receita Federal » ont saisi plus de 350 kilos de cocaïne en route pour l’Espagne 🇪🇸

Les douaniers de  » Receita Federal » ont saisi plus de 350 kilos de cocaïne au port d’Itapoá, sur la côte nord de Santa Catarina, ce mardi 24 août dans l’après-midi.

La cocaïne était dans un conteneur avec une cargaison de céramiques qui devait partir en Espagne via le port de Valence.

https://s2.glbimg.com/ZiaB9jUYWTB7JlY1l5F102_QKBA=/0x0:1600x1200/1000x0/smart/filters:strip_icc()/i.s3.glbimg.com/v1/AUTH_59edd422c0c84a879bd37670ae4f538a/internal_photos/bs/2021/M/j/wa5AKPSxy2vvIXrZKZ6A/cao-de-faro-enzo-indica-container-contaminado.jpegLe chien Enzo, utilisé lors de l’opération, a permis de localiser les stupéfiants.

Les douaniers pensent que les trafiquants ont inséré la coke parmi les produits à l’insu de l’exportateur selon la technique bien connue, appelée ‘rip-on/rip-off ».

source

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AVISEUR INTERNATIONAL : les toutes dernières « NARCONEWS » via Twitter

FRANCE 🇫🇷 (Douane française) : a-t-on déjà entendu Jérôme Fournel aborder le cas d’Erwan Guilmin, l’ex DOD de la DNRED ?

Et à la DG de la Douane française, contactée par Marc Fievet, on ne sait que bredouiller…

Alzheimer a frappé grave!

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FRANCE 🇫🇷 (Bercy > Douane > DNRED): de l’incompétence professionnelle à la malhonnêteté

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FRANCE 🇫🇷 (DNRED de la Douane Française): grandeur et décadence d’une hiérarchie perdue

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Où l’on reparle du « SECRET DEFENSE » et des exploits d’Erwan Guilmin et de Jérôme Fournel.

DNRED 🇫🇷(DOD Paris – Douane française): Erwan Guilmin, énarque et administrateur civil, est un menteur

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Un peu plus sur Jérôme Fournel

FRANCE (Cour des comptes): les DG de la douane française font voler les millions, pas les avions! 

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CANARIAS 🇪🇸 (Patrulleras de Vigilancia Aduanera) : interceptan 20 toneladas de hachís en el buque Natalia

Patrulleras de Vigilancia Aduanera realizaron el abordaje del buque ‘Natalia’ a 40 millas al sudeste de Fuerteventura.

En su bodega encontraron un total de 638 fardos que suman 19.876 kilos de hachís. Los 12 tripulantes del buque, todos sirios, fueron detenidos. El mercante corría un serio riesgo de hundimiento. Estas organizaciones suelen utilizar embarcaciones en mal estado que realizan su último viaje, una vez que cumplen con éxito su travesía se destruyen o desguazan.

FUENTE

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FRANCE 🇫🇷 : ce que vous n’apprendrez pas en allant au musée de la Douane française à Bordeaux

ESPAGNE 🇪🇸 (Unité d’analyse des risques de la zone douanière du port de Bilbao) : saisie de 1 397 kilos de cocaïne lors de deux opérations

L’administration fiscale et la Guardia civil dans le cadre d’une opération conjointe ont saisi 1 397 kilos de cocaïne lors de deux opérations consécutives menées en mars et mai dans le port de Bilbao.

Concrètement, l’Unité d’analyse des risques de la zone douanière du port de Bilbao, dépendant de la zone douanière régionale du Pays basque et composée d’agents du Service de surveillance douanière et d’agents  de la Guardia civil, a appréhendé fin mars une première cargaison de 185 kilos de cocaïne, et durant le mois de mai d’une seconde, cette fois de 1 212 kilos, toutes deux dans des containers en provenance d’Amérique du Sud.

source

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MAROC 🇲🇦 (Méditerranée) : les Garde-côtes de la Marine Royale ont saisi environ cinq tonnes de haschich au large de Nador

En collaboration avec les stations radar de la Marine Royale implantées sur le littoral adjacent, les Garde-côtes de la Marine Royale en patrouille maritime en Méditerranée ont avorté une opération de trafic de stupéfiants ce mardi vers 03h00 au large de Nador, a annoncé une source militaire à la MAP.

Après une course poursuite en mer d’une embarcation pneumatique rapide, les Garde-côtes de la Marine Royale ont obligé ses occupants à l’abandonner avec à bord 152 ballots de stupéfiants, d’un poids total d’environ cinq tonnes et prendre la fuite à grande vitesse vers le large moyennant une autre embarcation nautique rapide.

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ESPAÑA 🇪🇸 (Puerto de València) : Vigilancia Aduanera y la Guardia Civil localizaron 175 kilos de cocaína en un contenedor que llegó de América Central

La aprehensión, este lunes, de 175 kilos de cocaína en el Puerto de València enviados por el método del ‘gancho perdido’ eleva a casi dos toneladas la cantidad de esta droga detectada y confiscada en los muelles valencianos desde que dio comienzo el año, lo que refrenda que esa sigue siendo una de las vías preferidas por los narcos para introducir grandes cantidades del llamado polvo blanco desde Suramérica a Europa utilizando València como puerta de entrada hacia Europa desde hace más de una década.

La última intervención se produjo en la madrugada de este lunes, según ha informado la Comandancia de la Guardia Civil de València, y, como en los casos anteriores, ha sido posible gracias al trabajo de la Unidad de Análisis de Riesgo (UAR) de la Aduana Marítima de València, integrada por miembros de Vigilancia Aduanera y del Resguardo Fiscal de la Guardia Civil.

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FRANCE 🇫🇷 (Marseille): ses docks et son trafic conteneur n’entrainant aucune saisie…

COKE SUR LES DOCKS

Dans le plus grand port français, les saisies de drogue sont rares. De là à imaginer que la ville de la French n’existe pas sur la carte d’un trafic mondial, qui explose ? GQ a enquêté dans un des lieux les plus fermés de la cité phocéenne.
 
Entre passé, présent et futur, entre activités traditionnelles et digitalisation, immobilier et data, le port de Marseille cherche un avenir. Curieusement, les statistiques des prises de drogue y sont notoirement faibles depuis des années, contrairement aux autres grands ports européens, où elles explosent. Ça valait le coup d’aller voir et respirer l’air sur les docks, alors qu’il s’agit d’ouvrir de nouveaux horizons à ces 12 km qui ourlent la ville.
C’est ce qu’ont fait Olivier-Jourdan Roulot et  Xavier Monnier.
C’est une enquête à lire dans le numéro de mai de GQ (en kiosques cette semaine).
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EXTRAIT

Un rapport confidentiel de la DNRED (Direction nationale du renseignement douanier) et de  l’OFAST (l’Office anti-stupéfiants), que GQ a pu consulter, est explicite : depuis 2014, à peine 379 kg de cocaïne ont été saisis dans le premier port de France.

Surtout, et pire encore, pas un gramme depuis 2016. Seule une cargaison de 400 kg avait été découverte par un mécanicien lors de la réparation d’un navire à Fos en 2018. Un bilan étonnant alors que la production mondiale de cocaïne explose, que les conteneurs ont les faveurs des trafiquants et que les saisies dans les grands ports européens, d’Algésiras à Barcelone en passant par Anvers ou Rotterdam, se chiffrent chaque année en demi-douzaines voire en dizaines de tonnes.

« Pour les trafiquants, Marseille-Fos représente un important marché potentiel. Il concentre un trafic de plus d’un million de conteneurs et accueille un des premiers armateurs mondiaux, CMA-CGM », s’inquiète le renseignement douanier dans son rapport de 2019 sur le trafic de stupéfiants dans les ports commerciaux français. Avant de tempérer les angoisses naissantes : ce « port de destination finale présente un degré de sensibilité (…) inférieur aux hubs portuaires tels que le port du Havre ». Sur l’ampleur du trafic, il convient néanmoins de rester prudent. « Les saisies s’avèrent assez aléatoires et faibles en nombre, ce qui peut s’expliquer par un trafic de conteneurs moins important et le nombre limité de lignes directes depuis l’Amérique du Sud. » Pour autant, le rapport invite à « s’interroger sur l’exploitation par les trafiquants des lignes sans transborde-ment en provenance des pays du Maghreb et à destination de Marseille-Fos ».
Des lignes jugées « particulièrement à risque ».
Et les rédacteurs de conclure sur les difficultés à obtenir du renseignement, « amplifiées pour la zone de Marseille-Fos, particulièrement difficile à pénétrer ». « Évidemment, de la drogue passe par le port et on en a raté énormément », peste une magistrate du parquet, pointant les obstacles aux investigations : le grand port maritime Marseille-Fos s’étire sur trois sites et d’immenses superficies, notamment à Fos, et les bureaux des services douaniers chargés des enquêtes et du renseignement sont à l’extérieur – même si 220 gabelous travaillent au quotidien dans l’enceinte du port.  » Il faut dire les choses, reprend la parquetière, on n’a aucun informateur sur les quais. »

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C’est pas étonnant qu’il n’y ait aucun informateur qui vienne toquer à la porte de l’Échelon de la DNRED de Marseille quand on sait comment la Douane Française a traité l’un de ses meilleurs infiltrés !

Marc Fievet AKA NS 55 DNRED est un exemple accablant de la lâcheté et du manque d’honneur des DG de la Douane Française puisque malgré des informations de première ordre donnée à la DNRED, la Douane française l’a laissé partir pour une odyssée carcérale de 3888 jours en Espagne, Angleterre, Canada et en France.

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DOUANE FRANÇAISE (DNRED – Années 1988, 1989, 1990, 1991, 1992, 1993, 1994): qui est donc Marc Fievet ?

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FRANCE 🇫🇷 (Douane – DNRED): l’interview de Marc Fievet, aka NS 55 DNRED

AVISEUR INTERNATIONAL

International informant: Quand, en septembre 2007, un avion appartenant à la CIA s’est écrasé au Mexique et l’on a découvert qu’il transportait plus de 4 tonnes de cocaïne, qu’avez-vous pensé ?

Marc Fievet :
Lorsque j’ai lu cette news, j’ai immédiatement pensé que malgré les années qui passent, les gouvernements et les dirigeants des grands services de renseignements utilisaient toujours les mêmes méthodes pour trouver des fonds.

Comment ne pas se souvenir d’Oliver North du temps de Bush père et d’Air America au Vietnam, pour ne citer que ces deux exemples qui sont tombés dans le domaine public.
Ayant travaillé pour la DEA et ayant pu constaté le manque total d’éthique morale des fonctionnaires que j’ai rencontrés, je ne suis pas étonné de ce type de transport par ces avions occupés à plein temps pour « faciliter » le « travail » de la CIA ou…

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EUROPE 🇪🇺 : le marché tant convoité par les narcos de la coke

La carte des routes d’approvisionnement

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