FRANCE 🇫🇷 (Essonne) : la police démantèle un “call-center” de cocaïne

Quatre hommes ont été interpellés en début de semaine dernière par les enquêteurs de la sûreté départementale pour avoir réceptionné, conservé et livré de la cocaïne à travers le département.

Tout était organisé minutieusement dans un petit « call-center ». Les clients devaient appeler pour se faire livrer de la cocaïne. La livraison était possible dans tout le département. Les quatre hommes avaient chacun leur rôle : « Il y avait un chef, deux nourrices aussi revendeurs, et un livreur »,

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FRANCE 🇫🇷 (OFAST) : la politique mise en œuvre ne sert que les intérêts des services

Tous, oui tous, ministres en tête, sont devenus accrocs aux conférences de presse pour annoncer des saisies qu’ils disent toujours exceptionnelles, embarqués dans ces délires de communicants par des hauts-fonctionnaires qui ne pensent qu’à briller auprès d’eux.

C’est la réalité d’une situation devenue incontrôlable!

Le « triumvirat » dans une de ses dernières prestations

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En opposition, les propos tenus par le magistrat David Sénat sont accablants de vérité.

Trop souvent l’action publique se résume à la déploration du phénomène ou à l’autosatisfaction statique face aux quantités saisies, sans aucune vision dynamique qui verraient les réseaux attaqués en amont.

De fait, le discours public sur la cocaïne est depuis de nombreuses années dominé par la vacuité, et aussi une certaine forme de complaisance. La cocaïne, cette drogue jadis présentée comme étant celle des élites, des occurrences festives, des professions dites de haut niveau spécialement soumises au stress, est aujourd’hui devenue celle de la multitude, à la faveur d’une offre toujours plus abondante et de prix qui se sont de ce fait effondrés.

Au-delà des digues financières qui ont cédé, il faut surtout interroger les barrières morales qui se sont affaissées il y a déjà longtemps en se dissolvant dans un discours libéral et permissif dont les élites de ce pays ou certaines d’entre elles, ont été les promoteurs et les bénéficiaires à court terme. À moyen et long terme en effet, on doit en effet faire le constat d’un échec cuisant en termes de santé publique et de criminalité associée, constat qui nous voit nous indigner quand l’actualité nous rappelle que nous déplorons les conséquences d’un phénomène dont nous avons toléré ou plutôt chéri les causes.

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STUPÉFIANTS : aujourd’hui le narcotrafic est devenu «too big to fail»

Déjà publié sur « Aviseur International » le 28 mars 2015.

Depuis rien n’a changé ni évolué dans le bons sens. En France, c’est la guerre à outrance qui ne fait qu’empirer la situation en confortant l’action des narcotrafiquants.

DICK MARTY

Docteur en droit, ancien procureur général du Tessin, conseiller aux Etats, conseiller d’Etat et membre de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, pour laquelle il a mené différentes enquêtes qui l’ont fait connaître sur la scène internationale.

Par Dick Marti

Pour lutter contre les narcotrafiquants, il est nécessaire de mener une importante action de sensibilisation au niveau mondial, selon Dick Marty. Et il faut progressivement s’acheminer vers un marché contrôlé dans lequel la réglementation est définie en fonction de la dangerosité de la substance et de l’âge du consommateur.

Après des décennies de faillites ruineuses dans la réponse sociale au problème des dépendances, on doit le dire clairement: le prohibitionnisme en matière de drogue et la criminalisation des consommateurs sont une voie sans issue.

Plus, ils ont directement contribué à produire le plus important phénomène criminel de tous les temps, qui alimente toutes sortes d’autres trafics. L’argent de la drogue et les pratiques des organisations criminelles infiltrent l’économie avec un effet de contamination morale et de diffusion à grande échelle de la corruption. Les enquêtes n’atteignent presque jamais les hauts étages du crime organisé. La répression des petits poissons sert en revanche, presque cyniquement, à entretenir un certain niveau des prix et à assurer des profits fabuleux à ceux qui gèrent les grands trafics.

L’argent facile de la drogue est en fait devenu un facteur économique de grande importance, ce qui explique aussi pourquoi on ne s’attaque pas à la racine du problème. Si l’on pense que le chiffre d’affaires du trafic de drogue est estimé à environ 300 milliards de dollars par année, il est évident que cet argent est désormais devenu un véritable facteur de portée géopolitique. Il entretient de nombreux conflits, permet de financer des achats massifs d’armes de plus en plus sophistiquées, conditionne les choix de nombreux gouvernements, influence les structures socio-économiques. J’ai entendu récemment un chercheur affirmer que si le trafic de drogue était éliminé, la plupart des familles des cités entourant Marseille ne seraient plus à même de payer leur loyer.

Des ressources énormes sont investies dans la répression, alors que le crime qui en contrôle le trafic prospère. Les institutions et la structure sociale de plusieurs pays ont été bouleversées par les narcodollars et les narcotrafiquants.

Nous sommes tous conscients qu’il n’existe pas de solution facile ni de solution idéale.

Je pense cependant que toute nouvelle solution présuppose que l’on soit conscient de ce qui est en train de se passer et du gâchis auquel a conduit la politique actuelle.

Une importante action de sensibilisation au niveau mondial est nécessaire. Ce travail est en cours depuis longtemps. En 1984 déjà, Milton Friedman, Prix Nobel d’économie, écrivait que la prohibition de la drogue favorisait le crime, sans en diminuer l’usage, et imposait un coût aberrant à la société. Une position analogue a été prise, par la suite, par la célèbre revue The Economist, ce qui fit sensation. D’anciens chefs d’Etat se sont réunis en groupe de travail et ont pris position en faveur d’une nouvelle politique de la drogue et contre l’actuel régime de prohibition. Il est à peine besoin de rappeler ici le rôle important joué par Ruth Dreifuss dans ce contexte. C’est un travail difficile, qui demande beaucoup d’énergie et beaucoup de temps.

Il faut ainsi convaincre les politiciens un peu partout dans le monde.

La politique actuelle de la drogue est en effet ancrée, je dirai cristallisée, dans des conventions internationales qu’on ne pourra modifier qu’avec l’accord des principaux pays. Or, la peur de la drogue et les discours guerriers qui prônent la répression ont toujours la faveur de nombreux politiciens. Ce genre de discours, en effet, se prêtent bien à des tirades démagogiques et populistes, aujourd’hui plus que jamais à la mode.

Les chroniques parlementaires de ces dernières années démontrent, hélas, qu’à chaque fois que se pose un problème dans la société, il y a toujours de nombreuses voix, souvent majoritaires, pour proposer un durcissement des peines ou la création de nouvelles normes pénales. En Suisse, avant même de disposer d’une étude sérieuse quant aux conséquences sur la récidive de l’élimination des courtes peines de prison décidée lors de la dernière révision du Code pénal, il est devenu de bon ton, aussi bien à droite qu’à gauche, d’invoquer un retour à la case prison. C’est naturellement plus facile que d’essayer de comprendre les raisons profondes de certains comportements et de mettre au point les remèdes les plus efficaces. Il y a exactement deux cent cinquante ans, Cesare Beccaria publiait son ouvrage Dei delitti e delle pene. Il démontrait que ce n’est pas la sévérité de la peine qui retient une personne de commettre une infraction, mais bien le degré de probabilité de se faire prendre; un enseignement qui a maintenu une actualité étonnante. Cette vérité devrait être rappelée avec force aux décideurs d’aujourd’hui qui tendent à faire exactement le contraire: diminuer les moyens à la disposition de l’Etat pour le social, l’éducation et la prévention, et, par ailleurs, durcir la répression pénale.

La politique de la drogue exige une approche cohérente et crédible pour être efficace.

C’est loin d’être le cas aujourd’hui. La distinction entre substances légales et illégales apparaît aujourd’hui comme arbitraire, injuste et hypocrite. Je pense qu’il est nécessaire de mettre en œuvre une stratégie globale pour l’ensemble des substances psychotropes créant une dépendance. Cela ne veut nullement dire qu’on va traiter toutes les substances de la même façon. Il faut progressivement s’acheminer vers un marché contrôlé (cela existe déjà pour le tabac, l’alcool et les médicaments), dans lequel la réglementation est définie en fonction de la dangerosité de la substance et de l’âge du consommateur.

Dans de nombreux pays, les choses ont commencé à bouger. La distribution contrôlée d’héroïne a choqué au début, mais elle a démontré que, bien appliquée, elle contribuait à une réduction sensible des risques pour la santé, à une baisse de la criminalité et permettait une réintégration sociale qui ne paraissait guère possible auparavant. Quelques Etats ont libéralisé le cannabis. (…)

En matière d’addiction et sur la façon d’y faire face

J’ai beaucoup de doutes et, plus j’avance dans la connaissance de ce phénomène, plus les certitudes ont fondu comme neige au soleil. J’ai toutefois une conviction. La prohibition telle que nous l’appliquons est non seulement une faillite, mais elle entretient le phénomène criminel le plus important de tous les temps. Ce dernier a assumé une telle dimension que la lutte que nous menons actuellement contre le trafic de drogue ne peut pas et ne pourra jamais être gagnée.

Pourquoi? Parce que les intérêts du crime organisé sont aujourd’hui à ce point entremêlés avec ceux d’autres acteurs économiques, politiques et sociaux qu’une disparition des narcodollars entraînerait une réaction en chaîne désastreuse. Le directeur de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime, Antonio Maria Costa, a affirmé que les narcodollars ont contribué à sauver de la faillite des établissements bancaires de première importance lors de la tempête qui s’est abattue sur les marchés financiers mondiaux en 2008. Je laisse la responsabilité de cette affirmation à son auteur, qui n’est en tout cas pas le dernier venu. Ce qui est vrai, en tout cas, c’est qu’avec le prohibitionnisme le narcotrafic est en fait devenu aussi, comme certaines banques, too big to fail!

Seul un changement de paradigme est à même de nous offrir une meilleure perspective d’avenir.

Il faut attaquer le trafic sur le terrain qui lui a assuré son fantastique succès, le marché. Ce marché que nous avons soutenu, financé, entretenu et qui a ainsi conféré une énorme plus-value à des substances qui n’avaient que peu de valeur. Au lieu d’essayer d’éliminer ce marché par des tentatives qui jusqu’à présent n’ont eu d’autre effet que de le renforcer, il faut l’accepter comme une réalité, il faut l’occuper et le réguler. C’est finalement ce qu’on a fait avec l’alcool et le tabac.

La drogue est avant tout un problème de santé et il faut l’appréhender en tant que tel. 

Certes, ce changement d’orientation fondamental de la politique de la drogue n’est pas facile et n’est pas sans risque; des erreurs seront inévitables. Des expériences intéressantes sont en cours et les désastres que l’on nous a annoncés ne se sont pas produits. Comme l’a bien dit récemment un chercheur français, l’ampleur de la catastrophe actuelle est telle que le risque de faire pire est très faible.

En fait, il ne s’agit ni d’imaginer ni de réaliser une société sans drogue, celle-ci n’a jamais existé. Le véritable défi est d’accepter l’existence des drogues et d’apprendre à vivre avec. La régulation du marché – avec le contrôle de la production et de la distribution en tenant compte de la dangerosité des substances – permettrait de diminuer sensiblement les profits des narcotrafiquants. Mais cela contribuerait également à diminuer fortement les risques pour les consommateurs puisque, par exemple, la plupart des morts dues à la consommation de drogues ne sont en fait pas provoqués directement par la substance, mais par le fait qu’elle est frelatée.

Les ressources financières que l’on économiserait dans le domaine de la répression et du système pénitentiaire permettraient d’intervenir avec plus d’efficacité sur la demande.

Non plus avec le gendarme et la prison, mais avec une action de prévention cohérente.

Persister sur la voie actuelle serait en revanche reconnaître la victoire du crime organisé et lui assurer un avenir confortable. Le marché illégal de la drogue continuera à être florissant et à être présent partout, dans tous les milieux, même dans les structures les plus fermées et les mieux surveillées.

Les narcodollars, comme évoqué plus haut, alimentent une corruption économique et morale aux plus hauts niveaux. Cette corruption est à mon avis la menace la plus grave pour nos démocraties. Oui, plus grave que le terrorisme.

Extraits d’une conférence publique donnée à l’Université de Genève par Dick Marty.

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FRANCE 🇫🇷 (Le Havre) : les policiers ont procédé le 10 février 2023 à l’interpellation d’une personne après la saisie de 13 kilos d’héroïne, d’1,6 kilo de résine de cannabis et de 37 kilos de produit de coupe

Saisie aussi de 2 presses et divers matériels en lien avec le conditionnement.

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FRANCE 🇫🇷 (DNRED – Douane Française) : rappel sur la lâcheté des hauts fonctionnaires de Bercy et Montreuil

Le  scénario du film GIBRALTAR, tiré du livre « L’Aviseur » que j’ai écrit et qui a inspiré l’écriture d’Abdel Raouf Dafri, auquel j’ai participé, n’a en rien été respecté par le réalisateur Julien Leclercq et ne correspond en rien à ce qui devait être tourné…

Jérôme Fournel aux manettes

Je reste encore surpris que l’on ait pu écarter la réalité de mon action auprès de la DNRED de la Douane française, qui n’a rien à voir avec le rôle tenu et joué par Gilles Lelouche, qui lui aussi, s’est refusé à me rencontrer… mais on doit assurément ces modifications au DG de la Douane de l’époque, Jérôme Fournel qui a été jusqu’à s’en vanter auprès de Jean Paul Garcia, le directeur de l’A2 à cette même période.

L’incohérence des scènes filmées n’a pas échappé au public.

A Voir ou revoir ce reportage sur l’affaire Fievet

Avec les témoignages de:

Jean-Henri Hoguet – ancien patron de la DNRED de la Douane Française

et

d’Yves Bonnet – ancien patron de la DST

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Depuis de nombreuses lettres ouvertes ont été envoyées à deux énarques intellectuellement corrompus qui n’ont pas hésité à réécrire les faits pour dégager la Douane française et la DNRED de toutes responsabilités.

à Thomas Charvet

à Michel Baron

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FRANCE 🇫🇷 OFAST [Dnred Douane – Gendarmerie – Police] : janvier, le mois des bilans

Aviseur international’ ne reprendra pas, cette année, l’ensemble des articles et communiqués de l’ensemble de nos régaliennes et des services de communication de nos différents ministères.

Tous ne pouvant nous informer que d’une progression des saisies qui ne correspond qu’a l’explosion du trafic destiné à satisfaire des consommateurs chaque jour plus nombreux.

Les méthodes et politiques mises en œuvre ne sont pas à la hauteur des enjeux sociétaux du futur puisque seules la prohibition et l’aggravation des sanctions sont retenues pour lutter contre ce fléau.

En 2004, Le député Jean-Luc Warsmann présentait, dans un rapport remis au ministre de l’intérieur, 44 mesures pour améliorer la lutte contre le trafic des stupéfiants. Selon ce rapport il précisait qu’il était nécessaire de renforcer les moyens de lutte en amont sur les routes de la drogue, qu’ il’ faudrait également mutualiser davantage les moyens de lutte entre les pays européens et généraliser les enquêtes sur le patrimoine et les ressources des trafiquants.

Le rapport préconisait également de construire un dispositif de confiscation des avoirs résultants du trafic de stupéfiant en France comme à l’étranger. Enfin, le rapporteur estimait nécessaire de modifier les indicateurs d’activité de la lutte contre le trafic de stupéfiants.

Ça c’était en 2004 et depuis….les lobbyistes des régaliennes n’ont eu qu’une seule idée en tête, assurer aux services des résultats toujours en progression et rendus plus faciles du seul fait de la loi du marché.

Comment lutter efficacement contre les drogues ?

Lors de la session extraordinaire qui s’est tenue du 19 au 21 avril 2016, l’Assemblée générale des Nations unies a acté l’échec de la « guerre contre les drogues ». Conçue pour réduire drastiquement l’offre de stupéfiants, la mobilisation d’importants moyens militaires et policiers n’a en effet pas produit les effets escomptés. On espérait que la contraction de l’offre se traduirait par une hausse des prix et une diminution de la qualité susceptibles de décourager la consommation de drogue. C’est le contraire qui s’est produit : les prix des stupéfiants ont baissé alors même que leur concentration en principes actifs augmentait.

“La mise en œuvre de politiques associant prohibition et répression a produit d’importants dommages collatéraux.”

Le coût de la « guerre contre les drogues » est par ailleurs sans rapport avec la taille du marché concerné : 1 000 milliards de dollars sont dépensés chaque année pour lutter contre le narcotrafic, dont le chiffre d’affaires annuel est estimé à 300 milliards de dollars. La mise en œuvre de politiques associant prohibition et répression a enfin produit d’importants dommages collatéraux allant de la hausse spectaculaire des incarcérations aux États-Unis à l’augmentation rapide des contaminations par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) en Russie et dans les pays d’Europe de l’Est.

Afin de limiter les ravages liés aux stupéfiants, l’Assemblée générale des Nations unies a adopté une nouvelle approche faisant de la préservation de la santé et de la sécurité des individus le principal objectif des politiques de contrôle des drogues. Elle a ainsi rompu avec la « ligne dure » qui s’était progressivement imposée sous l’influence des États-Unis.

lire plus sur ce point de vue

Bonne année 2023 à tous mes lecteurs, en espérant que le bon sens finisse par l’emporter.

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GUYANE 🇬🇫 🇫🇷 : vives réactions contre l’arrêt des poursuites à l’égard des mules porteuses de moins de 1,5kg de drogue

Pour Georges Patient, Vice-président du Sénat et Sénateur de la Guyane, le choix du parquet de Cayenne est incompréhensible. Ne pas poursuivre les personnes en possession de moins de 1,5kg de cocaïne envoie un message toxique. Il faut vite annuler cette disposition.

Dans un courrier adressé au ministre de la justice, les deux députés de Guyane, Jean-Victor Castor et Davy Rimane et le sénateur Georges Patient réclament l’arrêt de la mesure :

« Délinquance organisée, orpaillage illégal, trafic de stupéfiants, et la liste est loin d’être exhaustive, gangrènent la vie en société guyanaise. C’est donc d’une même voix interloquée que nous, parlementaires de la Guyane, vous interpellons face à la politique pénale expérimentée depuis peu par le Parquet de Cayenne, qui implique (entre autres allègements) le classement sans suite des saisies inférieures à 1,5 kg de cocaïne.
À un modèle économique extrêmement rentable pour les trafiquants viendrait donc se superposer une quasi impunité pénale ? Face à un faible niveau de vie et à des perspectives d’insertion professionnelle léthargiques, ce double bénéfice ne manquera pas de déclencher le passage à l’acte d’une proportion croissante de notre jeune population. Ces mesures de non-sens, d’une part, ne pourront qu’encourager la banalisation du phénomène de trafic de stupéfiants sur notre territoire, et ont été prises, d’autre part, sans aucune consultation des élus locaux. Qu’est-il advenu de la philosophie de la loi du 5 mars 2007 relative à la prévention de la délinquance « qui fait du maire le pivot de la politique de prévention de la délinquance » ? Il est pourtant question ici de la sécurité du quotidien des Guyanaises et Guyanais. Qui de mieux placé que les maires du territoire, qui ont la connaissance du terrain, pour lutter efficacement contre ce tsunami de délinquance qui empoisonne la vie quotidienne de la population ».

Ils terminent leur propos en soulignant l’urgente nécessité d’une réflexion collective et réclament : « qu’il soit mis un terme à l’expérimentation menée par le Parquet de Cayenne, et ce, dans les plus brefs délais… » .

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FRANCE 🇫🇷 (SRPJ 94) : suite à un ‘tuyau’, les policiers saisissent prés de 300 kilos de cocaïne et 80 kilos de haschich

Le Parisien nous apprend que les policiers du SDPJ 94. ont saisi des gros sacs disposés à l’arrière d’une Renault Kangoo contenant près de 300 kilos de cocaïne et 80 kilos de résine de cannabis ce mardi matin à Charenton-le-Pont.

Toute cette drogue était disposée à l’arrière de ce Kangoo qui était garé dans un box situé dans un parking souterrain situé dans un immeuble cossu, avenue Jean-Jaurès, à quelques pas du Bois de Vincennes.

Personne n’a été interpellé pour l’heure dans le cadre de cette affaire, selon une source proche du dossier.

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FRANCE 🇫🇷 (Grenoble) : encore plus de travail pour le procureur de la République Eric VAILLANT

C’est Tonic Radio qui nous informe que le lundi 13 juin, trois individus âgés de 26, 24 et 19 ans ont été interpellés à leur domicile respectif.

Les policiers y ont trouvé deux kilos de résine de cannabis et quelques grammes de cocaïne mais surtout beaucoup d’argent : environ 160 000 euros. Les trois suspects ont été placés en garde à vue.

Le mardi 14 juin, la brigade anticriminalité grenobloise a contrôlé un véhicule stationné rue Diderot, à Grenoble. À bord de la voiture se trouvent deux personnes âgées de 37 et 49 ans. Aux pieds du passager, la brigade découvre la présence de deux plaquettes de haschich. Dans la foulée, les policiers décident alors de se rendre au domicile des deux individus et saisissent alors 16 kilos de résine de cannabis cachés au domicile du plus jeune des deux.

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FRANCE 🇫🇷 (Metz) : saisie d’environ 1.300 kilos de haschich

Saisie de presque 1300 kilos de résine à Metz le 8 juin.

5 interpellés dans cette affaire qui sont présentés aujourd’hui à la Jirs de Nancy.

L’enquête de la P.J. Metz a débuté en avril suite à un renseignement sur un grossiste installé en région messine.

Les surveillances avec l’aide de la BRI de Metz a permis de confirmer le renseignement et de localiser le lieu de chargement des produits à Hettange Grande et le lieu de stockage à Metz.

Le 8 juin dans la nuit les surveillances ont permis d’assister au déchargement d’un camion espagnol dans l’enceinte d’un entrepôt à Hettange Grande. Les véhicules qui quittaient les lieux étaient suivis par la BRI et interpellés.

L’utilitaire conduit par un homme de main contenait 757 kilos de résine et 16 kilos d’herbe.

La tête de réseau était interpellée dans une voiture ouvreuse.

Au domicile de la nourrice à Metz étaient saisis 519 kilos de résine supplémentaires. Plus 5 kilos de résine dans un box.

Au domicile de la tête de réseau de nombreux vêtements et montres de marque étaient saisis.

5 interpellations

La tête de réseau, le chauffeur de l’utilitaire, le chauffeur du camion espagnol, la nourrice et l’individu ayant mis à disposition l’entrepôt pour le déchargement.

30 000 euros en espèces au total étaient également saisis.

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FRANCE 🇫🇷 (Marseille) : les croisiéristes du MSC Seaside transportaient 12 kilos de cocaïne

MSC Seaside

C’est 20 minutes qui nous informe que lors d’un contrôle à bord du bateau MSC Seaside en escale à Marseille le 4 avril dernier, les forces de l’ordre ont découvert 12kg de cocaïne cachés dans des valises.

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FRANCE 🇫🇷 (Berre l’Etang) : un jeune homme de 21 ans abattu par les policiers lors d’une opération anti-stups

C’est 20 minutes qui nous rapporte qu’un jeune homme de 21 ans a été abattu par la police à Berre-l’Etang dans les Bouches du Rhône, une commune de l’ouest marseillais, au cours d’une opération anti-drogue.

Les policiers de la PJ de Marseille s’apprêtaient à interpeller une dizaine d’individus après avoir assisté à une importante transaction de stups lorsqu’un des véhicules des malfrats leur a foncé dessus.

Un des agents a alors ouvert le feu tandis que les policiers parvenaient à éviter la voiture.

Le corps du jeune homme, originaire du 14e arrondissement de Marseille, a été retrouvé dans le véhicule abandonné un kilomètre plus loin, visiblement mortellement touché par un tir de riposte.

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FRANCE 🇫🇷 (Seine-et-Marne) : la PJ de Versailles saisit 302 kilos de haschich, 75 kilos de coke et 5 kalachnikovs

Le Parisien nous rapporte qu’un homme de 20 ans a été mis en examen le week-end dernier à Bobigny (Seine-Saint-Denis). Il a été interpellé en Seine-et-Marne par la PJ de Versailles (Yvelines) avec 302 kilos de résine de cannabis, 75 kilos de cocaïne et cinq kalachnikovs.

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FRANCE 🇫🇷 (Toulon – cité Florane) : le RAID en renfort pour interpeller 22 personnes, dont les membres d’une famille, mardi 15 mars pour distribution de cocaïne

Vingt-deux personnes, dont les membres d’une famille, ont été interpellées mardi 15 mars dans la cité Florane à Toulon (Var), selon les informations rapportées par FRANCEINFO. Ces arrestations interviennent dans le cadre d’une enquête pour un trafic de cocaïne dans cette cité. Ces personnes ont été arrêtées par la sûreté départementale, avec le renfort du Raid.

L’enquête a démontré que depuis plusieurs mois une famille de cette cité avait organisé plusieurs points de deal, quasiment exclusivement de cocaïne. Le père, la mère et leurs trois fils géraient ce trafic.

Un immeuble de quatre étages de la cité Florane a été réquisitionné par les trafiquants pour vendre la drogue. L’immeuble a été complètement détérioré, les carrelages arrachés, l’entrée saccagée et les appartements vacants utilisés pour le trafic.

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FRANCE 🇫🇷 (Nantes) : le RAID appelé en renfort pour saisir cocaïne, cannabis et armes

Les interpellations ont eu lieu mardi matin avec l’appui du Raid et de la BRI de Nantes.

Onze kilos de cocaïne, un kilo de résine de cannabis, 50 000 € en espèces et deux armes de poing : un P-38 et un pistolet semi-automatique Glock 26.

C’est le résultat des perquisitions menées par les policiers de la sûreté départementale dans le cadre du démantèlement d’un trafic de stupéfiants implanté dans les quartiers nord de Nantes.

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