Aviseur International renseigne sur la problématique de la drogue, du narcotrafic et sur les politiques mises en œuvre par les différents Etats. CONTACT par email: ns55dnred@outlook.fr ou WhatsApp: 33 (0) 6 84 30 31 81
Que vous soyez ambassadeur, attaché(e) parlementaire, commissaire de police, consul, député, douanier, élu régional, énarque, enseignant, facteur, gendarme, gardien d’immeuble, inspecteur des finances, journaliste, policier, magistrat, maire, maître de conférence, médecin, militaire, notaire, officier, sous-officier, sénateur… agent secret ou simple citoyen, tous types de documents inédits, toutes informations « sensibles » que vous pourriez détenir sur le narcotrafic, le blanchiment, la corruption et la concussion intéressent « Aviseur international ».
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Aucune ville n’y échappe. Toutes sont touchées depuis déjà très longtemps. Les trafics de stupéfiants se multiplient et l’économie souterraine gagne du terrain. Dans le Tarn-et-Garonne et à Montauban, en particulier, les autorités ont décidé d’agir. La reconquête passe par des actions ciblées aux cœurs des endroits de trafic. C’est le sens des contrôles de police, réalisés mercredi soir, à Beausoliel bas, par les policiers sous l’autorité du commissaire Régis Allegri, agissant sur réquisition du procureur de la République, Laurent Czernik.
C’est en présence de la préfète, Chantal Mauchet, que les policiers ont menée, pendant deux heures, de méticuleuses recherches, dans les caves des immeubles, les cages d’escalier: « l’objectif est clair c’est de déstabiliser les trafiquants, a indiqué Régis Allegri. Il est aussi de rassurer les honnêtes citoyens: « Nous intervenons régulièrement, sur différents quartiers, à la suite notamment de renseignements obtenus par nos référents, déployés dans les quartiers, dans le cadre de la police de sécurité du quotidien ».
Les policiers se sont donc déployés en nombre, mercredi soir, fouillant caves et cages d’escalier, aidés notamment le chien spécialisé, Idax, un malinois de 8 ans, au flair quasi infaillible.
Au front, les fonctionnaires de l’unité de lutte contre les stupéfiants, créée cet automne et composée de plusieurs fonctionnaires, spécialisée dans cette délicate mission : « Nous avons déjà obtenu des résultats probants avec des interpellations, des trafics cassés et des personnes incarcérées. Des produits et des véhicules ont été saisis », a résumé Régis Allegri le patron des policiers tarn-et-garonnais.
Selon les informations recueillies par LA DEPECHE, le commissariat de police de Montauban a saisi en 2020 un total de 45,9 kilos de cannabis, soit 7 kgs de résine et le reste en herbe.
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Dernière heure
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C’est la nouvelle lubie de Gérald Darmanin, rhabiller les flics !
Les uniformes actuelles seront mis au vestiaire et quoiqu’il en coute la nouvelle panoplie sera distribuée aux policiers pour qu’ils puissent la porter pour défiler au 14 juillet. La dernière tenue dessinée par Cécilia, pourtant griffée Balenciaga ne plaisait plus…
Le coût sera faramineux…
On parle d’environ 800 euros par fonctionnaire! Mais qu’importe. Rien ne peut être trop beau pour le ministre couturier Darmanin.
Avec le montant de cette dépense inutile, on aurait pu équiper nos ports de systèmes rapides et performants pour contrôler l’ensemble des arrivages de conteneurs sur notre territoire.
Deux hommes sont en garde à vue depuis lundi 11 janvier au commissariat de Lorient (Morbihan). Ils sont mis en cause après la saisie de 10 kg d’héroïne et de plusieurs armes à Plœmeur, Larmor-Plage et Landaul.
L’enquête était ouverte depuis mi-décembre 2020, à l’initiative du commissariat de Lorient (Morbihan) rapporte ce mercredi 13 janvier 2021, le Télégramme. Confiée à la sûreté départementale, avec une co-saisie de la police judiciaire de Rennes, elle a débouché sur une enquête en flagrance vers 18 h, ce lundi 11 janvier, à l’occasion de l’interpellation de deux hommes.
Le dealer avait une clientèle plutôt âgée et essentiellement féminine, entre 20 et 50 ans. Des femmes « accrocs » qui, en s’endettant, ont pu être forcées de se prostituer pour payer leurs doses.
Parmi elles, deux sœurs quinquagénaires, filles d’une châtelaine allemande. Leur addiction à la drogue semble les avoir entraînées dans une spirale. Le château familial a été pillé notamment de ses œuvres d’art et des bijoux appartenant à leur mère, une vieille dame de 90 ans, pour payer leur consommation de plus en plus grande de cocaïne.
Vendredi soir, vers 20h30, dans le quartier sensible du Mas-de-Mingue, un homme de 27 ans a été blessé par balle au niveau de la cuisse. La veille de Noël, en fin de matinée, des coups de feu avaient encore retenti Chemin Bas d’Avignon. Pas de blessé mais une grosse frayeur. Une de plus. Dix jours plus tôt, toujours en plein jour, un môme de 18 ans avait été grièvement touché. La scène a été immortalisée par des riverains médusés. Sur la vidéo, on voit deux individus marcher tranquillement armes à la main et faire feu tout en progressant.
Selon le procureur Eric Maurel, depuis le printemps 2019, les conflits liés au narco banditisme nîmois ont laissé six hommes sur le carreau et plus de dix blessés à l’hôpital.
Policiers, magistrats, avocats, élus, habitants, tous font le même constat.
« Quand les autorités s’en vont, d’autres prennent le pouvoir… »
Si l’on en croit le procureur de Nîmes, Eric Maurel, 6 à 700 kg de résine de cannabis changent de propriétaire chaque semaine sur Nîmes Ouest (Pissevin et Valdegour) et le meilleur point de vente assurerait un chiffre d’affaire quotidien de l’ordre de 25.000 euros. Epicentre du trafic : la triste galerie Richard Wagner, encastrée dans la cité. Les deux tiers des commerces ont baissé le rideau. Les autres vivotent sous l’œil de très jeunes guetteurs avachis aux endroits stratégiques.
« Chaque année, les saisies d’armes de guerre progressent de 50% »
A trois reprises en début d’année les « kalach » ont parlé. Une première fois pour intimider. C’est un miracle si la deuxième n’a touché personne dans la brasserie mitraillée. La troisième a blessé trois jeunes gens sur un point de deal.
Un conflit de générations
« Celui qui n’a pas fait de détention passe pour un looser « , reconnaît Me Baptiste Scherrer. L’avocat nîmois le confesse, du simple usage au trafic international, 70% de ses dossiers concernent les stupéfiants. Et la clientèle ne cesse de rajeunir. « Plus qu’à une guerre des territoires, nous sommes confrontés à Nîmes à un conflit de générations, explique le procureur Maurel. Pour simplifier : les jeunes de 18–20 ans, veulent prendre la place des vieux, de 25–30 ans« . « Quand le chef est en cavale à l’étranger ou en prison, ses lieutenants veulent s’émanciper« , complète le commissaire Fougereau, patron de la PJ de Montpellier.
La police ne se contente pas de compter les coups.
Fin septembre 2020, neuf suspects ont été écrouées par la JIRS de Marseille pour leur participation aux fusillades de la galerie Wagner de janvier et février. « Le commanditaire est en prison. Il avait recruté des ‘mercenaires’ d’un autre quartier de Nîmes pour intimider ses anciens lieutenants qui l’avaient évincé« , décrypte une source proche du dossier. « Ces enquêtes demandent du temps parce qu’il nous faut comprendre ces conflits et établir une stratégie pour neutraliser ces équipes« , explique le patron de la PJ de Montpellier qui plaide pour une approche régionale : « On s’aperçoit qu’il existe des alliances entre équipes de différentes villes pour mutualiser les achats de drogue mais aussi pour les règlements de compte« . Des interactions qui se jouent notamment en prison.
Son avocat dénonce dans les colonnes du Télégramme « une peine inédite en France ». Roberto Blanchedent, 32 ans, a été condamné jeudi par le tribunal correctionnel de Vannes à 14 ans de prison ferme pour un vaste trafic de stupéfiants qui s’est déroulé ans le quartier de Kercado entre juillet 2017 et janvier 2019.
Jugé en son absence, le trentenaire, qui a refusé d’être extrait de sa cellule déclarant être malade, a été reconnu coupable d’être la tête de réseau de ce trafic de drogue qui pouvait générer un chiffre d’affaires de 20.000 euros par jour.
Une amende douanière de plus de 500.000 euros
C’est lors d’une vaste opération menée en janvier 2019 par les équipes du Raid et de la police judiciaire que le trafic avait été démantelé. Une quinzaine de personnes avaient été interpellées et d’importantes quantités de drogue saisies.
L’Office anti-stupéfiants est compétent en matière de lutte contre la production, la fabrication, l’importation, l’exportation, le transport, la détention, l’offre, la cession, l’acquisition ou l’emploi illicites de stupéfiants, contre les opérations de blanchiment liées au trafic de stupéfiants et contre l’usage illicite de l’une des substances ou plantes classées comme stupéfiants.
En liaison avec l’ensemble des administrations concernées, l’Office anti-stupéfiants est chargé de l’évaluation de la menace liée aux trafics de stupéfiants.
Pour accomplir cette mission, l’office, dans le cadre de la législation applicable, centralise, analyse, exploite et communique aux services de la police nationale, de la gendarmerie nationale, des douanes et droits indirects, ainsi qu’aux autres administrations et services publics de l’Etat toutes documentations et données statistiques, en lien avec le service statistique ministériel de la sécurité intérieure, relatives à son domaine de compétence.
Dans le cadre de la législation applicable, les services de la police nationale, de la gendarmerie nationale, des douanes et droits indirects, ainsi que les autres administrations et services publics de l’Etat susceptibles d’apporter leur concours à l’office lui adressent, dans les meilleurs délais, les informations relatives à son domaine de compétence dont ils ont connaissance.
Pour les infractions qui relèvent de sa compétence, l’office, dans le cadre de la législation applicable, adresse, aux services de la police nationale, de la gendarmerie nationale, des douanes et droits indirects, et aux autorités judiciaires, toutes indications utiles à l’identification ou à la recherche des délinquants ainsi que, sur leur demande, tous renseignements nécessaires aux enquêtes dont ils sont saisis.
L’Office s’est substitué au 1er janvier 2020 à l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (Octris) et à la Mission de lutte anti-drogue (Milad).
Responsable(s)
Cheffe de l’Office anti-stupéfiants
Stéphanie CHERBONNIER, contrôleuse générale des services actifs de la police nationale – 33 (0)1 49 27 49 27
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Adjoint à la cheffe de l’Office anti-stupéfiants
Samuel VUELTA-SIMON – 33 (0)1 49 27 49 27
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Déléguée de la directrice générale au pôle stratégie
Laurence LARHANT, administratrice des douanes et droits indirects (sur la photo derrièreFabienne Debaux) – 33 (0)1 49 27 49 27
Au total, 3 952 lieux de vente de stupéfiants ont été recensés en France métropolitaine et en Outremer par le ministère de l’Intérieur et c’est dans une interview au Parisienpubliée dimanche 20 décembre, que le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin annonce la création d’une plateforme pour permettre aux habitants de les signaler. « Je souhaite que la police et la gendarmerie s’attaquent à chacun d’entre eux. Je communiquerais tous les moins le nombre de plans de deal démantelés sur le territoire« , a-t-il indiqué.
Gérald Darmanin devrait savoir que des numéros existent déjà pour les signalements et semble penser que gendarmes et Policiers ne connaissent pas les points de deal recensés.
Le ministre instrumentalise une fois encore la tâche incombant aux forces de l’ordre pour se mettre en valeur.
Il est pénible de constater que cette énième velléité gouvernementale pour tenter de conforter 50 ans d’échec absolu de la politique menée, ne sert que la pub que Gérald Darmanin se fait aux frais des contribuables.
Pour combattre un ennemi, mieux vaut connaître ses forces et savoir les localiser. A l’été, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a donc demandé à ses services de recenser tous les lieux de trafic présents sur le territoire.
« On considère qu’il s’agit d’un point de deal dès lors qu’un lieu de vente de produits stupéfiants est installé sur la voie publique et que la présence des dealers est quotidienne », précise une source proche du dossier.
Policiers et gendarmes ont ainsi fait remonter aux 103 cellules du renseignement opérationnel sur les stupéfiants (Cross) les informations sur les supermarchés et supérettes de la drogue situés dans leur département.
Outre-Mer, la Guadeloupe et la Martinique sont elles aussi gangrenées, avec respectivement 129 et 50 points deal pour à peine plus de 350 000 habitants.
Le retour de la politique du chiffre
Quelques policiers de haut niveau voient dans cet instrument statistique inédit un « outil technocratique ». Au point, pour certains d’entre eux, de douter de la méthodologie et des chiffres. C’est notamment le cas dans les Bouches-du-Rhône, où les autorités locales ont recensé 140 points, « alors qu’il y a en a le double rien qu’à Marseille », selon un grand flic.
Surtout, ces policiers chevronnés redoutent que la lumière jetée sur les lieux de vente ne signe le retour de la politique du chiffre.
Au point de pousser des policiers à se focaliser uniquement sur des points de deals aisés à démanteler dans le but d’embellir leurs statistiques ? « Pour lutter contre les stupéfiants, on ne doit pas avoir une approche quantitative, mais qualitative, estime le patron d’un service d’enquête. Si on s’amuse à faire tomber des petits réseaux pour faire du chiffre, ça va renforcer les plus gros. »
15 décembre, vaste coup de filet par une trentaine de policiers – les huit principaux protagonistes, âgés de 18 à 50 ans, six Albanais, inconnus des services de police, épaulés de deux Français, sont interpelés en même temps à Barby, Montmélian et Moûtiers.
Lors des perquisitions, ont été saisis 230 gr d’héroïne, 160 gr de cocaïne, 250 gr de cannabis, 13.100 euros en espèces ainsi qu’un fusil.
Un seul, hébergeur présumé, est remis en liberté.
Les autres ont été présentés ce vendredi devant le parquet de Chambéry avant une comparution immédiate lundi prochain.
Pour la Commission américaine de la politique antidrogue dans l’hémisphère occidental, le plan Colombie a échoué dans la lutte contre la drogue
Le Congrès des États-Unis a publié un rapport détaillé sur la politique en matière de drogues dans les Amériques, dans lequel il établit une longue liste de recommandations pour arrêter le trafic de drogue et résoudre les problèmes de santé publique créés par la consommation de drogues.
Le rapport donne un aperçu de ce à quoi pourrait ressembler la lutte contre le crime organisé pendant l’administration du président élu Joe Biden.
Publié par la Western Hemisphere Drug Policy Commission de la chambre basse du Congrès à Washington, le rapport plaide pour des changements profonds et systématiques dans la manière dont les États-Unis combattent le trafic de drogue. Il propose également une plus grande coordination internationale, une approche plus holistique de la formulation des politiques et une révision des sanctions obsolètes imposées aux pays qui n’atteignent pas les objectifs annuels.
«Nous ne mettrons peut-être jamais fin au commerce de drogues illicites, tout comme nous ne pouvons pas éliminer la consommation de substances», lit-on dans le document. « Mais nous pouvons mieux gérer ces graves problèmes grâce à une stratégie globale. »
Le rapport recommande que les États-Unis concluent des «accords d’assistance étrangère» pluriannuels élaborés par des ambassadeurs avec des dirigeants politiques et de sécurité dans les pays. Il souligne que de tels accords permettraient un meilleur échange d’informations, une plus grande transparence entre les pays et des solutions plus rentables pour des problèmes tels que la criminalité organisée, la réforme de la justice pénale et les droits de l’homme.
Les plans pourraient également inclure des efforts de synchronisation pour empêcher les transactions numériques illicites, qui, comme le dit le rapport, sont de plus en plus utilisées par les groupes du crime organisé pour blanchir les produits de la drogue.
« Ce dont un pays comme la Colombie a besoin est très différent de ce dont un pays comme le Mexique, El Salvador ou le Honduras pourrait avoir besoin« , a déclaré Shannon O’Neil, présidente de la Commission, faisant référence à la proposition lors d’une réunion sur le rapport tenue le 3 décembre.
« En ce sens, cela permet d’économiser de l’argent et d’éviter de mettre en œuvre des politiques inefficaces dans un contexte particulier », a-t-il ajouté.
Le rapport rejette les approches traditionnelles de la formulation des politiques en matière de drogues, qui se sont jusqu’à présent avérées limitatives, et propose de ne pas succomber à de faux compromis tels que «la sécurité publique contre la santé publique», qui, souligne le rapport, peuvent entraver des stratégies plus efficaces. holistique et multiforme.
Le rapport a largement utilisé les propres recherches et analyses d’InSight Crime.
Ce que les décideurs doivent faire, poursuit le rapport, c’est de prendre les meilleurs aspects des deux côtés du débat: continuer à investir dans les stratégies traditionnelles, telles que le financement de la formation de la police et la destruction des laboratoires de drogue, mais les compléter en améliorant la santé publique, les droits de l’homme et le développement économique alternatif.
Tout cela exigerait que la communauté internationale se réunisse et associe le secteur privé afin de discuter des moyens créatifs d’apporter des changements à long terme, souligne le rapport.
Après de longs mois d’enquête, une équipe de trafiquants de drogue d’envergure internationale a été interpellée, ce jeudi 10 décembre, dans plusieurs départements franciliens. De la drogue, des armes et de l’argent en importante quantité ont été saisis.
C’est donc un important réseau qu’ont démantelé les enquêteurs de la police la police judiciaire d’Evry (Essonne).
Entre mai 2019 et le 1er décembre dernier, les policiers ont saisi près de 170 000 euros, plus de 7 kg d’héroïne et de cocaïne et interpellé 17 suspects, autour d’un même immeuble de la rue Pierre-Loti à Lille-Sud. Trois ont été placés en détention.
Le séjour du Brestois de 18 ans tourne court : après deux jours à vendre de la drogue à Vannes (Morbihan), il se fait arrêter par la police à la Bourdonnaye le 7 décembre 2020.
Le procureur de la République a confirmé une belle affaire menée à bien par les effectifs de la police judiciaire de Dijon. L’enquête a duré plusieurs semaines et a abouti, jeudi, à l’interpellation de cinq personnes, toutes soupçonnées d’alimenter le trafic de drogues dans la cité des ducs.
Après une enquête d’un an, mardi dernier, une vaste opération judiciaire a été menée dans le quartier de La Chanaye à Mâcon. Plusieurs dizaines de gendarmes sont intervenues aux côtés de la brigade de recherche de la compagnie de Mâcon et de la brigade territoriale dans le cadre d’une commission rogatoire pour un important trafic de stupéfiants.
Dans la nuit de vendredi à samedi, les policiers du commissariat de Mont-de-Marsan ont mené une opération lors de laquelle plusieurs personnes suspectées de tremper dans un trafic de stupéfiants ont été arrêtées.
La compagnie de Rieuxpeyroux est intervenue sur place et a fait la saisie de 4,78 kg d’herbe de cannabis séchée, de 324 tiges avec têtes d’herbe de cannabis de quatre doses de cocaïne représentant 3,35 g, de 74 graines de cannabis ainsi que de neuf joints d’herbe de cannabis.
SAINT-BENOIT/SAINT-PAUL. Lundi, les gendarmes de la compagnie de Saint-Benoît ont interpellé neuf suspects dans la cadre d’une enquête sur un trafic de zamal. Hier, les gendarmes de la compagnie de Saint-Paul ont placé six personnes en garde à vue, soupçonnées d’avoir pris part à un trafic de cocaïne et d’ecstasy.
L’immeuble, livré il y a deux ans, est situé dans un secteur stratégique pour le trafic de stupéfiants en Seine-Saint-Denis. Les dealeurs mettent la pression sur les résidents, qui ont décidé de ne pas se laisser faire.
Pour le procureur de la République Pierre Sennès, c’est une affaire qui sort de l’ordinaire de par la durée de l’enquête tout d’abordet par l’organisation de l’équipe criminelle concernée ensuite.
« Les premières investigations raconte Marc Perrot, le patron de l’antenne PJ de Nantes, ont mis au jour une structure très organisée. Ils avaient mis en place une espèce d’ingénierie criminelle qui permettait d’aller récupérer le produit jusque dans les zones de production, et non pas avec des intermédiaires. Des membres de cette équipe étaient capables de se projeter loin de leur base pour ensuite mettre en place la filière jusqu’au réseau de distribution pour un approvisionnement de semi grossistes. On est au cœur du narco banditisme, constate Marc Perrot. Sur le temps qu’a duré cette enquête, les membres de cette équipe ont fait l’objet de plusieurs tentatives d’homicides, de plusieurs fusillades, certainement des rivalités de territoire, d’approvisionnement. On était au cœur d’une organisation criminelle. L’un des protagonistes a été interpellé en octobre pour des faits de tentative d’homicide sur un individu à Malakoff. »
Au cours de cette affaire, la PJ avait d’ailleurs déjà saisi de nombreuses armes, de l’argent et de la drogue.
L’affaire a été conduite par l’antenne PJ de Nantes dirigée par Marc Perrot avec le soutien du Groupe Interministériel de Recherches, le GIR de Nantes. La phase d’interpellations, opération menée la semaine dernière, a mobilisé l’intégralité des enquêteurs de la PJ de Nantes, la Brigade de Recherches et d’Intervention, l’antenne RAID, et des maitres chiens de la douane.
C’est une dizaine de trafiquants qui a été interpellée. Huit ont été présentés à la justice, cinq ont étéplacés sous écrou et trois sous contrôle judiciaire. « Une belle affaire », selon le procureur Pierre Sennès.
« Ce sont des professionnels du crime, rompus aux techniques policières, souligne le commissaire divisionnaire Perrot, c’était donc un travail très compliqué. On a dû déployer beaucoup de moyens techniques et humains. »
Les interpellés, tous des hommes trentenaires, avaient des antécédents dans le trafic de drogue.
Ils devront répondre d’association de malfaiteurs, trafic et importation de stupéfiants.
« On a coupé une source d’approvisionnement importante » se félicite Marc Perrot. « Le travaille continue, les stupéfiants c’est un perpétuel recommencement, ajoute le procureur Pierre Sennès, il ne faut jamais baisser la garde. »
Jeudi en fin de matinée, à Sète, deux bandes de dealers ont réglé des comptes à coups de feu. Une fusillade en plein cœur du quartier de l’Île de Thau.
Les lieux étaient déserts, quand les premières patrouilles de la Sécurité publique sont arrivées sur place, mais, la découverte de 24 étuis de calibre 9 mm au sol, des impacts sur un mur et le trou laissé par un projectile dans la fenêtre d’un logement où se trouvait une retraitée confirmaient bien qu’une fusillade avait éclaté.
Selon le commissaire Antoine Baudant, chef d’antenne de la police judiciaire de Metz, « plus de 150 kg de cannabis, 11 véhicules et plusieurs dizaines de milliers d’euros ont été saisis ».
Il ajoute que « cinq personnes sont en garde à vue » après l’opération qui s’est déroulée dans la périphérie messine mardi en début de soirée, a-t-il annoncé à Lorraine Actu.
Ce démantèlement fait suite à une autre opération d’envergure en Lorraine, lancée à la suite d’une enquête menée par l’Office anti-stupéfiants (Ofast), la Direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ), le service régional de police judiciaire (SRPJ) et le Groupe interministériel de recherche (GIR).
Arrêté avec plus de 700 000 euros en billets sa possession, un homme de 34 ans a été mis en examen fin novembre à Meaux (Seine-et-Marne), pour blanchiment avant d’être écroué.
Il est soupçonné d’avoir durant les six derniers mois en Seine-et-Marne, à Paris, en Seine-Saint-Denis et dans le Val-de-Marne, stocké de l’argent provenant d’un réseau de trafiquant de drogues.
Condamné à six ans dans une affaire de drogue, il était en cavale depuis octobre 2019.
Condamné le 17 octobre 2019 à six ans pour son rôle dans une vaste affaire de drogue, Stéphane Gasp, s’était mis en cavale avant le délibéré.
Il a été arrêté lundi par la Bac (brigade anti-criminalité) de Nîmes en exécution d’un mandat d’arrêt délivré par le tribunal correctionnel de Nîmes. Il avait comparu pour des importations de haschich et de cocaïne et pour blanchiment d’argent de la drogue.