FRANCE 🇫🇷 (DG de la Douane) : baratiner, manipuler, mentir et savoir se prosterner sont des qualités essentielles pour gravir les échelons

« Le mélange du vrai et du faux est plus faux que le faux lui-même. »

Paul Valery

La hiérarchie douanière continue de nier la réalité de l’action que j’ai menée en tant qu’agent infiltré dans des organisations internationales du narcotrafic.

François Auvigne

Incapables de reconnaître des faits pourtant démontrés, ne serait-ce que par les résultats obtenus, ces hauts fonctionnaires ont perdu tout sens de l’honneur en continuant d’adopter la logique utilisée par François Auvigne l’énarque DG de la Douane qui, refusant de répondre favorablement aux demandes formulées par Jean Puons, le directeur de la DNRED, m’a délibérément précipité dans la dérive juridico-administrative et sa suite carcérale entraînant des dommages familiaux irréparables que j’ai encaissés.

Début avril 2020, je publiais:

FRANCE 🇫🇷 (Énarques, administrateurs civils et douaniers et autres DG de la Douane française): seraient-ils tous des menteurs?

Arrêté du 20 septembre 2005 portant délégation de signature (direction générale des douanes et droits indirects) – Article 19

 » Délégation est donnée à M. Erwan Guilmin, administrateur civil et à Mme Elisabeth Melscoet , inspectrice principale des douanes, à l’effet de signer, au nom du ministre délégué au budget et à la réforme de l’Etat, porte-parole du Gouvernement, toutes pièces relatives aux affaires de la compétence du Conseil d’Etat, des cours administratives d’appel ou des tribunaux administratifs ainsi que tous documents comptables intéressant la direction générale des douanes et droits indirects. »

Le 30 juillet 2010, Erwan Guilmin a été le signataire au nom du Ministre du budget, d’un mémoire de onze pages destiné à transformer l’action menée par Marc Fievet, AKA NS 55 DNRED, pour permettre de rejeter sa demande d’indemnisation que ses avocats avaient déposée auprès du tribunal administratif.

Michel Charasse au Budget

Après vérifications faites auprès des douaniers du service opérationnel de la DNRED, Erwan Guilmin n’a jamais posé la moindre question concernant l’action de cet aviseur, pourtant considéré par le ministre Michel Charasse et par toute la hiérarchie douanière comme accomplissant une mission d’agent infiltré.

Témoignage de Christian Gatard, chef de l’échelon DNRED de Nantes qui écrira à Marc Fievet le 4 mars 2014:

« Comme je viens de te le dire par tel, j’ai lu ce mémoire dont je n’avais jamais entendu parler, ce qui veut dire que l’on ne m’a jamais consulté depuis mon départ à la retraite en 2006.
Je partage ton analyse globale: j’ai notamment noté que dès les premiers § il est écrit que tu as donné « quelques renseignements » ou quelque chose comme ça. Inutile de te préciser que ton rôle est largement sous estimé. »

Jean Henri Hoguet, (photo à gauche), patron de la DNRED, qui avait organisé le recrutement de Marc Fievet à Gibraltar, n’a jamais été contacté.

Est-ce à dire que l’administrateur civil Erwan Guilmin s’est autorisé à déformer la vérité des faits pour satisfaire les souhaits du directeur général de l’époque Jérôme Fournel (photo à droite)

Certes, la récompense est venue quelques années plus tard lorsqu’Erwan Guilmin a pris la direction de la DOD (Direction des opérations Douanières) à la suite de Vincent Sauvalere.

Comment puis-je aujourd’hui écrire ces quelques lignes ?

C’est qu’il s’avère en effet que l’énarque, administrateur civil, Erwan Guilmin est un faussaire, d’État certes, mais un faussaire quand même, puisque non content d’avoir faussé la totalité de l’action de Marc Fievet auprès de la DNRED, il a quelques années plus tard confirmé sa qualité de faussaire en étant confondu d’avoir modifier délibérément un document classé « Secret Défense » qui démontrait sa connaissance et sa participation à des faits habituellement reprochés aux escrocs internationaux et au monde du crime organisé. De caviardage tout simplement, l’énarque Erwan Guilmin s’est rendu coupable sur un document que l’on devrait considéré comme sacré puisque classé secret défense.

Pour Erwan Guilmin, tout va bien, Jérôme Fournel l’a reclassé à Bercy comme « Chargé de mission à la sous-direction des politiques sociales – Secrétariat général » au Ministère de l’économie et des finances et ce depuis janvier 2018, où il n’apparait jamais.

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Thomas Charvet – Bruxelles

Conseiller Douanes – Contrôle et gestion du risque, accises et autres fiscalités, OMD), Union douanière GUD (législation, systèmes d’information, douane électronique, tarif douanier, accords internationaux, mouvements argent liquide, biens culturels

qui, au nom du ministre chargé des douanes, rédigea les 26 janvier 2012, 17 février 2012 et 30 septembre 2013, trois réponses en défense pour le ministre du Budget sans se renseigner sur la réalité du dossier de Marc Fievet auprès des douaniers directeurs de la DNRED, Jean Henri Hoguet, Bernard Pouyanné, Jean Puons, Gérard Estavoyer, Jean Paul Garcia.

Document incomplet et arrangé, dans lequel les mensonges sont entremêlés savamment au milieu de vérités.

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Elizabeth Melscoet de la DG de la Douane (DGDDI), au nom du ministre chargé des douanes, dans la limite de ses attributions, peut signer toutes pièces relatives aux affaires de la compétence du Conseil d’État, des cours administratives d’appel ou des tribunaux administratifs, tous documents comptables intéressant la direction générale des douanes et droits indirects, les pouvoirs de représentation en justice, les décisions relatives aux demandes de bénéfice de la protection fonctionnelle des agents de l’État ainsi que les habilitations des agents des douanes visées à l’article 64 du code des douanes, à l’article L. 38 du livre des procédures fiscales et à l’article 64 du code des douanes dans ses versions respectivement applicables à Saint-Pierre-et-Miquelon, à Wallis-et-Futuna, en Polynésie française et en Nouvelle-Calédonie…. ne posa aucune question aux douaniers directeurs de la DNRED, Jean Henri Hoguet, Bernard Pouyanné, Jean Puons, Gérard Estavoyer, Jean Paul Garcia, concernés par l’affaire de Marc Fievet, AKA NS 55, avant de rédiger le 21 mai 2015 une réponse incomplète, arrangée et mensongère au TA (Tribunal administratif).

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Michel Baron – administrateur des douanes, qui, au nom du ministre chargé des douanes, dans la limite de ses attributions, peut signer toutes pièces relatives aux affaires de la compétence du Conseil d’Etat, des cours administratives d’appel ou des tribunaux administratifs, tous documents comptables intéressant la direction générale des douanes et droits indirects, les pouvoirs de représentation en justice, les décisions relatives aux demandes de bénéfice de la protection fonctionnelle des agents de l’Etat ainsi que les habilitations des agents des douanes visées à l’article 64 du code des douanes, à l’article L. 38 du livre des procédures fiscales et à l’article 64 du code des douanes dans ses versions respectivement applicables à Saint-Pierre-et-Miquelon, à Wallis-et-Futuna, en Polynésie française et en Nouvelle-Calédonie…. ne posa aucune question aux douaniers directeurs de la DNRED, Jean Henri Hoguet, Bernard Pouyanné, Jean Puons, Gérard Estavoyer, Jean Paul Garcia, concernés par l’affaire de Marc Fievet, AKA NS 55, avant de rédiger le 19 janvier 2016 une réponse incomplète, arrangée et mensongère au TA (Tribunal administratif).

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A Bercy, l’administrateur civil voyou Erwan Guilmin, l’administrateur civil Thomas Charvet, l’administrateur des douanes Michel Baron comme Elizabeth Melscoet de la DG de la Douane (DGDDI), certainement des grands spécialistes des actions d’infiltration à l’international, ont réécrit l’histoire en interprétant les actions que Marc Fievet a menées pour le compte de la DNRED, dans le seul but de dégager la Douane Française et la DNRED de toutes responsabilités.

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FRANCE 🇫🇷 (bénéfice de la protection fonctionnelle): bienvenue en Absurdistan juridico-administratif et constat de la lâcheté des DG successifs de la Douane Française

Dans un arrêt en date du 13 janvier 2017, Mme Pauline Jolivet, rapporteur et le rapporteur public M. Edouard Crépey pour le Conseil d’État ont précisé, à propos d’un collaborateur du service public qui, en sa qualité d’aviseur des douanes avait été condamné pour trafic de stupéfiants par les juridictions anglaise et canadienne, qu’en estimant que si l’implication croissante de l’intéressé dans un réseau de trafiquants de drogue avait été encouragée à l’origine par l’administration des douanes, les faits pour lesquels il avait été condamné étaient dépourvus de tout lien avec les fonctions exercées en sa qualité d’ informateur de l’administration des douanes et étaient donc détachables du service.

En en déduisant qu’ils étaient constitutifs d’une faute personnelle de l’intéressé et que, dès lors, l’administration n’avait pas commis de faute de nature à engager la responsabilité de l’État en refusant de lui octroyer à ce titre le bénéfice de la protection fonctionnelle, la cour n’a pas commis d’erreur de droit ni d’erreur de qualification juridique des faits.

Dépourvus de tout lien avec les fonctions exercées…

Se basant uniquement sur les écrits de hauts fonctionnaires de Bercy et de la DG de la Douane française qui n’ont pris aucun renseignement auprès des acteurs de la période durant laquelle Marc Fievet, AKA NS 55 DNRED, était infiltré dans l’organisation criminelle de Pascuale Claudio Locatelli, allant jusqu’à refuser le témoignage de Christian Gatard, l’officier traitant de Fievet, qui précisait que : » Marc Fievet avait toujours fait preuve de la plus grande loyauté à l’égard des douanes françaises, notamment dans le cadre de son infiltration dans l’organisation Locatelli qui l’a exposé à de nombreux dangers. « . Ce témoignage faisait suite à la confirmation et certification des faits énumérés des différentes opérations réalisées durant l’action d’infiltration de Fievet.

Mais de tout cela, personne, absolument personne, des administrateurs civils ou douaniers de Bercy, madame Elizabeth Melscoet et messieurs Michel Baron, Thomas Charvet et Erwan Guilmin  agissant pour le ministre du Budget comme les magistrats du TA en allant jusqu’aux rapporteurs du Conseil D’État, Mme Pauline Jolivet et le Rapporteur public Edouard Crépey, personne n’en a tenu compte.

Oublié le fait que Fievet a plaidé coupable en Angleterre sur injonction de l’attaché douanier en poste à Londres, Philippe Galy et sur demande insistante du patron de la DNRED Bernard Pouyanné qui avait garanti que Fievet puisse plaider ‘non coupable’ au Canada.

Oublié que Christian Gatard, Bernard Roux , l’attaché douanier à Washington DC et le consul général de France, Olivier Arribe sont venus au Canada, dans les provinces maritimes lui demander de plaider coupable pour éviter de perturber le procès en cours contre les responsables des organisations criminelles canadiennes.

Oubliées encore les plus de cent tonnes de stupéfiants saisies durant l’action de Fievet auprès de la DNRED, du British HM Custom Excise, du SVA espagnol, du DEA et des autorités douanières allemande, hollandaise et portugaise.

Pourtant, il résulte d’un principe général du droit que, lorsqu’un agent public est mis en cause par un tiers à raison de ses fonctions, et ce principe général du droit s’étend à toute personne à laquelle la qualité de collaborateur occasionnel du service public est reconnue, il incombe à la collectivité dont il dépend de le couvrir des condamnations civiles prononcées contre lui, dans la mesure où une faute personnelle détachable du service ne lui est pas imputable, de lui accorder sa protection dans le cas où il fait l’objet de poursuites pénales, sauf s’il a commis une faute personnelle, et, à moins qu’un motif d’intérêt général ne s’y oppose, de le protéger contre les menaces, violences, voies de fait, injures, diffamations ou outrages dont il est l’objet.

Le requérant ayant été collaborateur du service public en sa qualité d’aviseur des douanes a été condamné pour trafic de stupéfiants par les juridictions anglaise et canadienne et Jean Henri Hoguet, un ancien patron de la DNRED, n’a pas hésité à parler du « chantier » monté contre Marc Fievet par les agents du HM Customs excise.

La cour a souverainement apprécié les faits dont elle était saisie, sans les dénaturer, en estimant que si l’implication croissante de l’intéressé dans un réseau de trafiquants de drogue a été encouragée à l’origine par l’administration des douanes, les faits pour lesquels il avait été condamné étaient dépourvus de tout lien avec les fonctions exercées en sa qualité d’ informateur de l’administration des douanes et étaient donc détachables du service.

« Dépourvus de tout lien avec les fonctions exercées… »

C’est donc ce que pensent les rapporteurs du Conseil d’État, certes des spécialistes des actions d’infiltration au sein des organisations internationales de narcotrafic et des opérations douanières en général, qui démontrent par là une totale méconnaissance des contraintes de ce type d’actions menées par les services spéciaux.

En déduisant qu’ils étaient constitutifs d’une faute personnelle de l’intéressé et que, dès lors, l’administration n’avait pas commis de faute de nature à engager la responsabilité de l’Etat en refusant de lui octroyer à ce titre le bénéfice de la protection fonctionnelle, nos éminents rapporteurs estiment que la cour n’a pas commis d’erreur de droit ni d’erreur de qualification juridique des faits.

SOURCE : Conseil d’État, 10ème – 9ème chambres réunies, 13/01/2017, 386799, Publié au recueil Lebon

Rodolphe Gintz questionné sur Erwan Guilmin

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Le dossier de Marc Fievet est classé « SECRET DEFENSE »

AVIS

Avis n° 2005-03 du 27 janvier 2005
NOR: CSDX0508078V

Vu la loi n° 98-567 du 8 juillet 1998, et en particulier ses articles 4 (2e alinéa), 7 et 8 ; Vu la lettre de saisine du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 16 décembre 2004 et la demande présentée le 17 novembre 2004 par Mme Sophie Clement, vice-présidente chargée de l’instruction au tribunal de grande instance de Paris, dans le cadre de l’instruction ouverte à son cabinet sur plainte de M. Marc Fievet concernant ses relations avec les douanes françaises ;

La Commission consultative du secret de la défense nationale, régulièrement convoquée et constituée, ayant examiné l’ensemble des documents classifiés qu’elle a recueillis au terme des investigations conduites par son président en vertu des pouvoirs que lui confèrent les articles 5 et 6 de la loi susvisée,

Émet un avis défavorable à la déclassification des pièces contenues dans le dossier établi au nom de M. Fievet, en sa qualité d’aviseur de la direction générale des douanes et droits indirects.

Fait à Paris, le 27 janvier 2005.
Pour la Commission consultative du secret de la défense nationale:
Le président,
P. Lelong

source:

https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=6686A6840C8BCEDB3986A4EB25B2F9E9.tpdila13v_1?cidTexte=JORFTEXT000000629551&dateTexte=&oldAction=rechJO&categorieLien=id&idJO=JORFCONT000000002264

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BRÉSIL 🇧🇷: 45 personnes ont été arrêtées dans le cadre d’une opération internationale contre un réseau criminel qui a envoyé des tonnes de cocaïne du Brésil vers l’Europe

Plus de 52 tonnes de cocaïne ont été saisies par les forces de l’ordre tout au long de cette enquête, menée sur trois continents, a rapporté Europol dans un communiqué.

Quelque 1 000 policiers ont participé à quelque 180 perquisitions à domicile dans différents pays, qui ont abouti à l’arrestation de 45 personnes: 38 au Brésil, quatre en Belgique, deux aux Émirats arabes unis et une en Espagne.

« L’enquête a révélé que ce réseau de trafic de drogue était responsable de l’importation annuelle d’au moins 45 tonnes de cocaïne dans les principaux ports maritimes européens », a déclaré Europol, qui a coordonné l’opération.

La police a également saisi des véhicules de luxe, des avions et des maisons, principalement au Brésil et en Espagne, ainsi que quelque 12 millions d’euros (environ 15 millions de dollars) en espèces au Portugal, a indiqué l’agence de police basée à La Haye.

Selon Europol, le réseau criminel avait des contacts avec des cartels de la drogue au Brésil et dans d’autres pays d’Amérique du Sud, qui étaient en charge de la préparation et de l’expédition de cocaïne, transportée en Europe par conteneurs maritimes.

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EUROPOL 🇪🇺: les narcos les plus recherchés en Europe

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FRANCE 🇫🇷 (Aviation d’affaires): y aura-t-il des directives données par la Douane pour mieux contrôler?

Actuellement, en cette dernière semaine du procès « Air cocaïne », après le réquisitoire fleuve de l’avocat général Marc Gouton, les avocats des accusés vont tous se défoncer pour une issue la plus favorables possible pour tous.

Maitre Eric Dupond-Moretti, avocat de Pascal Fauret et Bruno Odos, a achevé sa plaidoirie par un: « Si vous n’acquittez pas ces deux hommes, c’est à désespérer de tout«  et Maitre Vey, d’ajouter à l’adresse de la cour: « Nous espérons que vous allez les acquitter  pas uniquement au bénéfice du doute , mais pour rétablir leur honneur, c’est important pour des militaires« .

Bravo! Effets de manche et trémolos dans la voix ont réussi à extirper des larmes des proches des pilotes…Mais en réalité, ce n’est pas le jugement qui sera prononcé contre tous ces hommes qui sera important. Pour l’exemple, peut-être, une fois encore, la justice massacrera des vies sans s’intéresser au laxisme des autorités en charge de la sécurité des Français et qui ne font pas le job.

La DNRED ne sait rien sur cette affaire ou ne souhaite pas s’exprimer et peut compter sur le mutisme professionnel de Corinne Cleostrate, l’OCRTIS, c’est pareil, d’ailleurs l’office a été dessaisi, les gendarmes ont fait ce qu’ils ont pu…et la DCRI, service pointu s’il en est un, ne sait pas non plus…Il est triste de constater que toutes ces agences de renseignements et d’enquêtes, filatures et autres écoutes en tous genres aient été incapables de fournir des éléments concrets aux magistrats de la cour d’assises spéciale.

Comment ces magistrats, professionnels du droit, certes, pourront-ils prononcer un jugement sur une affaire de narcotrafic avec une certitude absolue sans éléments de preuves irréfutables?

Comment…? Ah mais oui! Ce sera l’intime conviction!

Mais pensez-vous, lecteurs, que des leçons vont être tirés de cette affaire et qu’une vigilance accrue sera mise en place pour contrôler tous ces vols d’affaires? Que nenni! Bercy, actuellement est en train de casser la Douane en supprimant régulièrement des brigades et en diminuant les effectifs de celles encore maintenues.

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Bienvenue dans l’univers doré de l’aviation d’affaires! Prenons un exemple, à Cannes-Mandelieu, le manque de fonctionnaires est en tout cas criant.

Les trois douaniers en poste (contre cinq en 2012) doivent en priorité assurer un contrôle quotidien des bateaux qui arrivent au port de plaisance, situé à une vingtaine de minutes de l’aéroport. Résultat, le bureau des douanes est vide tous les jours de 10 heures à 16 heures. « Le type qui arrive avec des mallettes, il fait ce qu’il veut, résume Claude. Je dirais même que s’il s’intéresse un peu à notre fonctionnement, il sait exactement à quel moment il n’y a personne. »

Une note interne de la direction régionale des douanes confirme ce constat accablant.

Daté du 28 mars 2018, ce document, dont l’objet initial est d’évaluer l’impact futur du Brexit, relève que « l’effectif actuel de trois agents [à Cannes] n’est pas suffisant [et ne permet pas de] réaliser le moindre contrôle alors que l’on connaît la sensibilité de la Côte d’Azur pour certains trafics, notamment liés au blanchiment des capitaux ». Un effectif de douze agents, soit quatre fois plus qu’aujourd’hui, « serait un minimum pour permettre une présence quotidienne », ajoute la note.

Gérald Darmanin, le ministre très réactif dés qu’il s’agit de se faire mousser des saisies douanières effectuées, est d’une discrétion absolue sur ce sujet.

Rodolphe Gintz, le DG de la Douane Française, qui est un twitteur confirmé, ne twitte pas à ce sujet et ne semble pas concerné par cette carence d’effectif. C’est Jérôme Fournel qui mène la danse et le démembrement!

Depuis quelques jours, des directives pleuvent sur DR et DI soumis et au panurgisme avéré, puisque suite au mouvement des douaniers, Rodolphe Gintz va jusqu’à faire surveiller les douaniers qui font des contrôles par des policiers avec l’aide de préfets de régions tout en donnant l’ordre de limiter les contrôles…Naturellement, avec la plus grande attention de Jérôme Fournel…Même qu’il y aurait eu des menaces de sanctions!

Sont-ils tous devenus fous et l’arrivage de la cocaïne et autres « marchandises »…sur l’hexagone ne semblent donc pas les émouvoir autrement ?

Pourtant l’aviation d’affaires est régulièrement dans le collimateur des renseignements, notamment pour le transport d’argent liquide aussi.

« Le passage de pognon en cash, malgré les transferts électroniques, ça reste une valeur sûre. Un avion privé, pour ça, c’est bonnard« , confirme un agent de la DNRED. Mais ce n’est pas tout. Selon un rapport d’Europol publié en 2011, y circulent aussi illégalement des « diamants, bijoux, drogue et armes à feu », et même des migrants, victimes du trafic d’êtres humains.

Interrogé en 2018, un porte-parole de la police européenne affirme que le phénomène est toujours en augmentation.

En France, tout baigne!

Ah! Mais bon sang, mais c’est bien sûr, j’avais oublié que désormais pour maintenir la fluidité de circulation des marchandises, la douane française a conçu une solution technologique innovante: la frontière intelligente.

Ouf, on est sauvé! Adieu BSI, BSE et autres SURV, l’avenir est dans la DATA!

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FRANCE 🇫🇷 (Rennes): Europol, GIGN et SNDJ tapent une filière internationale de trafic de tabac

Le trafic provenait en grande majorité d’Ukraine, d’Arménie et de Roumanie.

Des dizaines de suspects, plus de 200 militaires déployés dans six régions et un trafic qui tombe.

Le parquet de Rennes vient d’annoncer avoir démantelé une importante filière internationale de contrebande de tabac.

Le coup de filet a été mené le 14 janvier et a permis l’interpellation de 21 personnes. Le GIGN de Nantes, mais aussi les douanes, des agents d’Europol et de nombreux gendarmes ont frappé au même moment pour dissoudre cet important trafic. Treize personnes ont été présentées à un juge et mises en examen. Neuf suspects ont été placés en détention provisoire et quatre placés sous contrôle judiciaire.

LIRE

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FRANCE (Paris-Marseille): un réseau de blanchiment de drogue démantelé 

Un vaste réseau de blanchiment de drogue a été démantelé hier en régions parisienne et marseillaise.

Au total, 350 hommes, des gendarmes marseillais, parisiens mais aussi des policiers belges et hollandais, en collaboration avec Europol, ont procédé à l’interpellation de 30 personnes dont plusieurs sont soupçonnées de blanchir de l’argent de la drogue entre ces différents pays.
Lire:

http://www.laprovence.com/article/faits-divers-justice/4213852/paris-marseille-un-reseau-de-blanchiment-de-drogue-demantele.html

Plus:

http://www.lexpress.fr/actualites/1/societe/blanchiment-d-argent-de-la-drogue-36-interpellations_1853622.html

http://www.lorientlejour.com/article/1020116/blanchiment-dargent-de-la-drogue-36-interpellations-en-france-aux-pays-bas-et-en-belgique.html

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NARCOTRAFICO: cau una xarxa que distribuïa droga a Europa en camions de fruita

La policia ha detingut 52 persones d’una organització que es dedicava a la distribució de marihuana i al tràfic d’armes a tot Europa. L’operació l’han duta a terme la Guàrdia Civil i els Mossos d’Esquadra amb la collaboració de la policia lituana i el suport de l’Europol, segons va informar ahir l’agència ACN.

Vint-i-quatre de les detencions s’han fet a Barcelona i Lleida, dinou a València, Castelló, Alacant, Màlaga, Almeria i Múrcia, i nou més han estat dutes a terme per la policia lituana. Els detinguts són majoritàriament dels països de l’est d’Europa i en l’operació s’han escorcollat 58 habitatges i s’han confiscat 26 quilos de marihuana i altres drogues.

 

Leer:

http://www.elpuntavui.cat/societat/article/5-societat/1001488-cau-una-xarxa-que-distribuia-droga-a-europa-en-camions-de-fruita.html?cca=1

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WORLDWIDE: est-ce le début de la fin de la guerre contre les drogues ?

Conceptualisé dans les années 1970 par Richard Nixon alors président des Etats-Unis, la guerre contre les drogues est de plus en plus remise en cause. La session extraordinaire de l’ONU sur les drogues, l’UNGASS, qui se déroulera du 19 au 21 avril à New York pourrait être un premier coup donné à cette approche sur la question des stupéfiants.

Les débats préliminaires, conclus en mars, pour la rédaction du texte de travail ont pour la première fois été ouverts à la participation des ONG. Elles sont parvenues à modeler en partie le texte et à y faire entrer des notions de santé, de réductions des risques ou encore d’alternatives à l’incarcération. Mais elles ne sont pas pleinement satisfaites. La Global Commission on Drugs, ONG de dimension internationale s’est ainsi dite “déçue“ du processus préparatoire “pas assez transparent“ et du document final “qui n’aboutira a aucun changement significatif“. Les attentes sont donc grandes pour cette première session extraordinaire sur le sujet depuis 18 ans.


Des manifestants participent à la campagne “Ne punissez pas, aidez” en juin 2013 à Londres et portent des masques de Richard Nixon qui est à l’origine du concept de guerre contre les drogues.

Le terrain à l’avant-garde

Partie du terrain des ONG et des médecins, la remise en cause de la prohibition totale des drogues a fait une première entrée d’importance dans le débat international grâce à un patient travail de lobbying de la société civile. Récemment, cette dernière a reçu un soutien de plus avec la publication d’un rapport des commissions de la prestigieuse revue scientifique The Lancet plaidant pour la fin de la prohibition. Des chercheurs du monde entier rassemblés par la revue et l’Université américaine Johns Hopkins accusent ainsi les politiques menées en matière de stupéfiants d‘être “teintées d’idées sur l’usage des drogues et la dépendance qui ne sont pas basées sur des faits scientifiques“.

“Les approches scientifiques et de santé publique de base, qui devraient faire partie des politiques des drogues, ont été écartées avec la prohibition.”
Commission sur la santé publique et la politique internationale sur les drogues

Des Etats particulièrement impactés par les problèmes induits par les drogues et le trafic de stupéfiants – criminalité, problèmes de santé publique – commencent à revoir leur position. Plusieurs pays ou Etats ont modifié leur loi, le cannabis étant l’un des principaux éléments à avoir été pris en compte. La légalisation du cannabis est totale dans peu d’Etats (Uruguay, Etat de Washington et du Colorado aux Etats-Unis). La pratique la plus courante concernant le cannabis est la dépénalisation ou, parfois, l’autorisation thérapeutique.

Pour les stupéfiants en général, les variations légales portent sur les différenciations sur l’usage, la possession ou la vente de produits narcotiques ainsi que sur la quantité détenue. En Europe, le pays ayant été le plus loin en terme de modification de la législation est le Portugal. Depuis 2000, le Portugal a dépénalisé l’usage et la possession de produits stupéfiants pour des petites quantités. Les contrevenants ne risquent que des peines administratives.

D’autres pays s’engagent petit à petit dans une politique de réduction des risques et proposent notamment, des salles dites “de shoot”, où les usagers de drogues peuvent consommer en toute sécurité avec du matériel stérile quand c’est nécessaire, voire des produits dont la nature est contrôlée et / ou des produits de substitution. En Europe, ces sites existent dans une dizaine de pays en Europe dont la Suisse, l’Espagne ou encore l’Allemagne. La France et l’Irlande vont tester des premières salles cette année.

L’Amérique Latine est un rouage actif de cette volonté de changement. L’UNGASS, qui devait se tenir en 2019, a été avancée à la demande des présidents du Mexique, de la Colombie et du Guatemala qui estimaient qu’il devenait urgent de revoir la politique internationale sur les drogues. Ce sont à nouveau trois anciens chefs d’Etats d’Amérique Latine, Cesar Gaviria (Colombie), Ernesto Zedillo (Mexique) et l’actuel président de de la Global Commission on Drugs Fernando Henrique Cardoso (Brésil), qui ont lancé un appel, à la fin des pourparlers préparatoires à l’UNGASS en mars dernier, pour changer les politiques des drogues : “les diplomates qui assisteront à la session spéciale des Nations unies le mois prochain doivent affronter l‘échec de la plupart des lois sur les drogues“.

Au niveau international, début mars, l’Organe International de Contrôle des Stupéfiants (OICS), qui a pour mission l’application et le respect des trois conventions internationales sur les drogues, a indiqué en introduction de son rapport annuel qu’il fallait trouver un équilibre entre santé et politique anti-drogue :

« Mettre ce système en œuvre revient à placer la santé physique et morale de l’humanité au cœur des politiques en matière de drogues, moyennant le recours à des approches globales, intégrées et équilibrées, de l’élaboration de la politique antidrogue, la promotion des normes relatives aux droits de l’homme, une plus grande priorité accordée à la prévention, au traitement et à la réadaptation ainsi qu’à la réduction des effets néfastes de l’abus de drogues, et le renforcement de la coopération internationale selon le principe de la responsabilité partagée. »

Une argumentation qu’a salué, par exemple en France, la Fédération Addiction qui regroupe plusieurs ONG : “Pour cette instance traditionnellement plutôt conservatrice qui a la responsabilité de veiller au bon respect des trois conventions et des traités internationaux en la matière, le virage est d’importance ; surtout à moins de deux mois de l’UNGASS.” Même si pour elle, “les recommandations ne vont pas aussi loin que celles prises précédemment par d’autres instances officielles ou associatives (OMS, Global Commission on Drug Policy).

« Nous devons prendre en compte des alternatives à la criminalisation et l’incarcération des usagers de drogues et concentrer les efforts de la justice pénale sur les fournisseurs. Nous devrions plus mettre l’accent sur la santé publique, la prévention, les traitements et les soins, ainsi que les stratégies économiques, sociales et culturelles. »
Ban Ki-Moon, secrétaire général de l’ONU, 26 juin 2015

Le virage pourrait effectivement être important. La dernière session extraordinaire de l’ONU sur les drogues s‘était tenue en 2008. A l‘époque, la session avait repris à son compte la guerre contre les drogues. Le but affiché pour 2019 était “d‘éradiquer les trafics de stupéfiants [et] l’usage des drogues“ avec pour slogan “Nous pouvons le faire, dès 2019“.

La criminalité, fille de la guerre contre les drogues

Que ce soit les chercheurs de la commission de The Lancet, Europol, le European Monitoring Centre for Drugs and Drugs addiction (EMCDDA, Observatoire européen des drogues et des toxicomanies) ou encore l’ONUDC, l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime, tous pointent les mêmes liens entre drogues illicites et criminalité, entre drogues et problèmes de santé publique.

Dans leur rapport commun de 2015, Europol et l’EMCDDA expliquent comment les marchés des drogues illicites interagissent avec d’autres formes d’activités illégales. La première et la plus intuitive est la violence pour asseoir un marché. Le cas du Mexique est exemplaire : l’ancien président Felipe Calderón lance en 2006 une offensive contre les trafiquants de drogue avec les moyens de l’armée. Depuis, le marché s’est durci et le nombre d’homicides dans le pays a triplé.

Ces marchés violents s’accompagnent généralement de blanchiment d’argent, de corruption et de traite de personnes forcées de cultiver des plantes utilisées pour la production de drogues, ajoutent l’EMCDDA et Europol.
Les trafiquants participent en outre, parfois, à d’autres trafics tels que celui des armes ou des réseaux de passeurs. Enfin, Europol et l’EMCDDA mettent en évidence le fait que le marché des drogues peut aussi servir à financer d’autres opérations criminelles, notamment le terrorisme.

En Europe, le cannabis est le produit qui pèse le plus lourd dans les délits – quels qu’ils soient – liés à la drogue.

iran executionCertains pays répondent à la violence par la violence et infligent la peine de mort pour des délits liés aux stupéfiants. L’ONG Amnesty International a recensé 33 pays ayant recours à ce type d’exécutions, notamment la Chine, l’Indonésie, l’Iran, la Malaisie, les Etats-Unis ou encore l’Arabie saoudite. Pour ce dernier, Amnesty estime qu’environ la moitié des condamnés à mort le sont pour des délits liés aux drogues : “les exécutions pour ce type d’infractions sont passées de 4 % en 2010 et 2011, à 32 % en 2013. En juin 2015, ce pourcentage s‘élevait à 47 %“.

Les problèmes de santé publique issus de la prohibition

Moins évidents pour le grand public et pourtant tout aussi alarmants, les problèmes de santé publique causés par la prohibition des drogues. L’addiction est bien évidemment le premier écueil mais le VIH et l’hépatite C sont bien souvent son corollaire pour les drogues par injection.
Les personnes dépendantes se retrouvent souvent en prison pour des délits mineurs liés aux produits. “Les usagers des drogues sont sur-représentés en détentions provisoires et dans les prisons. Les drogues, dont les drogues par injection, sont utilisées dans les prisons même si cela est souvent nié par les autorités“ rappellent ainsi les chercheurs de la commission du Lancet. La prison aggrave le risque de contamination par le VIH et l’hépatite C ainsi que d’une infection par une tuberculose résistante aux traitements.

“Les usagers des drogues sont sur-représentés en prison.”
Commission sur la santé publique et la politique internationale sur les drogues

Ces chercheurs citent les exemples de la Thaïlande, où ils estiment que les toxicomanes peuvent passer jusqu‘à la moitié de leur vie sous dépendance en prison et que 56% des contaminations par l’hépatite C se passent en prison. A contrario, en Ecosse où les séjours en prison pour ces personnes sont plus courts et où des programmes de substitutions sont proposés, le taux de contamination à l’hépatite C tombe à 5%.


Un détenu attend sa dose de Vivtrol, un médicament pour les personnes dépendantes aux opiacés, dans une prison du Massachusetts, première prison américaine à lancer un programme d’envergure à destination des détenus toxicomanes. Septembre 2014.

Les chercheurs de la commission de The Lancet expliquent que les politiques de réduction des risques, entamées par exemple par le Portugal et la République Tchèque, permettent de réduire les contaminations par le VIH et l’hépatite C ainsi que le nombre d’overdoses. Pour eux, l’alternative aux peines de prison pour les usagers de drogues, les salles de shoot où sont proposés matériel stérile, produits de substitutions ou produits au contenu contrôlé (contrairement à certains produits coupés avec des substances dangereuses sur le marché noir) et une surveillance et un accompagnement médical sont essentiels pour la santé publique.

Plus inattendu mais non moins réel, les chercheurs de la commission de The Lancet évoquent les déplacements forcés et les problèmes respiratoires, dermatologiques et gynécologiques parmi les populations rurales forcées de cultiver des plantes pour la production de drogues, en raison des pulvérisations aériennes d’herbicides pour détruire les récoltes.

« Les preuves tendent à montrer qu’elles [les politiques prohibitionnistes] ont contribué directement ou indirectement à des violences mortelles, la diffusion de maladies transmissibles, des discriminations, des déplacements forcés, des douleurs physiques évitables et à amoindrir le droit à la santé. »
Commission sur la santé publique et la politique internationale sur les drogues, The Lancet

Le chiffre qui parle : la conso de drogue en Europe

L’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (OEDT), avec Europol, ont publié la semaine dernière le rapport 2016 sur l’impact du marché des drogues sur la société en Europe. Parmi la grande bouffée d’informations du document, on y apprend que les citoyens de l’UE dépensent chaque année plus de 24 milliards d’euros dans les drogues illicites.

Les Européens sont des cracks en matière de drogues. Le rapport de l’OEDT, présenté mardi 5 avril à Bruxelles, contient une nébuleuse d’informations sur le marché des drogues en Europe. Mais parmi la grande bouffée des chiffres et des statistiques, une seule retient l’attention : les citoyens de l’UE dépensent chaque année plus de 24 milliards d’euros en drogues illicites.

Un chiffre hallucinant qui prouve, selon les auteurs de l’étude, que les marchés des drogues illicites restent « l’une des principales menaces pour la sécurité de l’Union européenne ». Ces 24 milliards représentent évidemment bien plus que la consommation personnelle des résidents de l’Union, tout comme ils vont bien au-delà des deals négociés dans les cages d’escalier. L’OEDT, qui a travaillé avec le soutien d’Europol, souligne bien que le marché s’articule à d’autres formes de criminalité et au terrorisme. Le rapport indique notamment que des jeunes récemment radicalisés ont souvent un passé de petit délinquant. La consommation et la vente de drogues les amèneraient à intégrer par la suite des réseaux criminels ou terroristes.

En 2013, le marché du cannabis représenterait environ 38% du total des marchés, devant celui de l’héroïne (28%), de la cocaïne (24%), des amphétamines (8%) e de l’ecstasy (3%). Très loin devant les autres, le cannabis est consommé quotidiennement par 1% des adultes européens. Si l’on tire sur la mèche statistique, 22 millions d’Européens en auraient pris au cours de l’année écoulée.

http://www.cafebabel.fr/le-chiffre-qui-parle/article/le-chiffre-qui-parle-la-conso-de-drogue-en-europe.html

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DROGA: Europol, minaccia sicurezza

BRUXELLES, 5 APR – « La produzioneed il trafficodidrogacontinuanoadessere il più grande edinnovativomercatocriminale in Europa. Mentre si intrecciaadaltre forme dicriminalità e perfino al terrorismo, la droga è la minaccia fondamentale per la sicurezza interna nellaUe ». Lo afferma il direttorediEuropol, Rob Wainwright.

more: http://www.ansa.it/sito/notizie/topnews/2016/04/05/droga-europol-minaccia-sicurezza_83b5c151-6eda-4994-ad1d-f7462c0a7775.html

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DEA: univers major drug trafficking by Hezbollah

dea1La Drug Enforcement Administration (DEA), un service dépendant du département de la Justice aux États-Unis et chargé de la lutte contre le trafic de drogue, a annoncé hier qu’une opération internationale avait permis de démanteler un réseau du Hezbollah qui utilisait des millions de dollars tirés du trafic de cocaïne pour financer ses activités au Liban et en Syrie. Ce réseau a fourni « un flux de revenus et d’armes utilisé pour mener des attaques terroristes dévastatrices à travers le monde », explique Jack Riley, administrateur adjoint par intérim de la DEA dans un communiqué.
La DEA indique que cette opération intervient dans le cadre du projet « Cassandre », visant un réseau international soupçonné d’avoir travaillé avec des cartels de la drogue sud-américains pour faciliter le transport de millions de dollars de cocaïne aux États-Unis et en Europe. L’organisme américain précise que ce réseau a été créé par Imad Moghniyé, responsable des opérations extérieures du Hezbollah assassiné en 2008 à Damas, et qu’il est aujourd’hui dirigé par Abdallah Safieddine et Adham Tabaja.
Sept pays, dont la France, l’Allemagne, l’Italie et la Belgique, ont été impliqués dans l’opération, qui a permis d’appréhender quatre personnes. L’enquête a débuté il y a un an et la DEA a déclaré que d’autres arrestations étaient possibles.
Commentant l’opération, Matthew Levitt, analyste des affaires de lutte contre le terrorisme au Washington Institute for Near East Policy, a indiqué à CNN que « la défense du régime Assad a épuisé le Hezbollah sur les plans militaire, humain et financier ». « La chute des prix du pétrole a conduit à la réduction du soutien iranien, ce qui a poussé le parti à réduire les salaires de ses membres et à chercher de nouveaux moyens de financement, pour limiter sa dépendance financière de Téhéran », a-t-il ajouté.

http://www.lorientlejour.com/article/968256/la-dea-annonce-le-demantelement-dun-reseau-financant-le-hezbollah-avec-largent-de-la-drogue.html

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Un « banquier » du Hezbollah écroué à Paris

Cinq Libanais, soupçonnés de collecter l’argent du trafic de cocaïne au profit des cartels colombiens, mis en examen. D’autres arrestations en Allemagne, en Belgique et en Italie.

Révélations sur l’opération Cedar.

Le communiqué, en apparence anodin, est tombé jeudi. Au titre de la lutte contre le terrorisme, le département du Trésor américain indique avoir gelé les avoirs aux États-Unis d’une société libanaise – Trade Point International – et de ses deux dirigeants dont l’homme d’affaires de 41 ans Mohamad ­Noureddine. Drôle de coïncidence : ce jeudi également à Paris, ce même Noureddine était écroué après avoir été mis en examen, avec quatre de ses compatriotes, pour « blanchiment de trafic de stupéfiants, blanchiment de crime ou délit en bande organisée et association de malfaiteurs »…

Tout démarre un an plus tôt. En février 2015, la puissante DEA (Drug Enforcement Administration, l’agence américaine de lutte contre la drogue) transmet un « tuyau » à ses homologues français. Selon les informations recueillies par les agents américains, la collecte, à l’échelle européenne, d’argent de la revente de la cocaïne colombienne par un groupe de ­Libanais a d’importantes ramifications en France. L’OCRGDF (Office central pour la répression de la grande délinquance financière) prend le relais. La Jirs (juridiction interrégionale spécialisée) de Paris nomme deux magistrats, les juges Gachon et Thouvenot. L’opération Cedar, « cèdre » en français, comme l’arbre emblématique du Liban, peut commencer.
Un hasard du calendrier diplomatique

Depuis quelques années, les dossiers de blanchiment d’argent de la drogue basé sur un système de compensation se succèdent chez les juges parisiens : sur fond de fraude fiscale avec la Suisse dans l’opération Virus en 2012, de trafic d’or vers l’Inde avec Rétrovirus en 2014 ou en s’appuyant sur l’opacité du business de la diaspora chinoise avec le dossier Fièvre jaune en 2015. Cette fois encore, l’enquête prend un caractère international. Une vaste coopération sous l’égide d’Europol se met en place. Plusieurs objectifs sont en effet identifiés en Italie, en ­Belgique et surtout en Allemagne.

Selon une source proche de l’enquête, des collecteurs s’activent dans toute l’Europe. Puis l’argent, rapatrié à Paris, prend la direction du Liban. Physiquement dans des valises de passeurs ou encore via le système de compensation traditionnel de l' »hawala ». Des bureaux de change et autres courtiers contrôlés par Mohamad ­Noureddine et sa société Trade Point International prendraient ensuite le relais pour faire transiter les millions du trafic de coke vers l’Amérique du Sud, où la communauté libanaise est solidement implantée et où le Hezbollah est régulièrement accusé de s’acoquiner avec les narcotrafiquants. La milice chiite libanaise prélève-t-elle sa dîme sur les prestations financières de Noureddine? Les juges et les policiers français ne se seraient pas aventurés sur ce terrain-là.

« Le Hezbollah a besoin d’individus comme Mohamad Zaher ­Noureddine pour blanchir les produits du crime et financer le terrorisme et la déstabilisation politique », soutenait jeudi un porte-parole du Trésor américain à propos de l’homme d’affaires arrêté cette ­semaine à Paris à sa descente d’avion alors que, hasard du calendrier diplomatique, le président iranien, dont le régime est considéré comme le principal sponsor et mentor du Hezbollah libanais, entamait une visite historique en France

Stéphane Joahny – Le Journal du Dimanche

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CNN  – ‎1 févr. 2016‎
The investigation began last February, with the DEA saying that additional arrests were likely. The terrorist network was said to be working with South American drug cartels to facilitate the movement of millions of dollars in cocaine to the United

http://m.jpost.com/Middle-East/DEA-uncovers-major-drug-trafficking-by-Hezbollah-to-fund-global-terrorism-443575#article=6017MEQ2QjM3QkQ2RjY1MDQ3RDcwMjEyNTU3RTE0NzBFMEY=

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NARCOTRAFIC (Benalmadena): un « boss » du trafic de drogue en Europe interpellé en Espagne et écroué en France – L’Express

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EUROPOL
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saisie-le-21-septembre-2013-de-1-3-tonne-de-cocaine-a-bord-d-un-cargo-d-air-france-sur-l-aeroport-de-roissy_5482060Saisie le 21 septembre 2013 de 1,3 tonne de cocaïne à bord d’un cargo d’Air France sur l’aéroport de Roissy – afp.com/KENZO TRIBOUILLARD

Madrid – Un Britannique de 43 ans, présenté comme le chef du cartel de la drogue le plus important d’Europe, a été interpellé en Espagne et écroué en France, a-t-on appris de sources concordantes.La garde civile espagnole a annoncé vendredi l’interpellation de Robert Dawes le 12 novembre en Andalousie (sud) lors d’une opération coordonnée par Europol.

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L’homme, originaire de la ville anglaise de Nottingham (est des Midlands), a été ensuite extradé vers la France en vertu d’un mandat d’arrêt délivré par la justice française, a-t-on appris de source judiciaire à Paris. Il a été mis en examen le 25 novembre pour transport, importation, acquisition, détention de stupéfiants en bande organisée et association de malfaiteurs, a-t-elle ajouté. Il a été placé en détention provisoire.

Robert Dawes est soupçonné d’avoir organisé l’expédition de plus de 1,3 tonne de cocaïne, saisie à Roissy en septembre 2013, l’une des plus importantes saisies jamais réalisées en France métropolitaine.

La garde civile espagnole a dévoilé vendredi les conditions de son interpellation.

Dans la petite ville balnéaire de Benalmadena (province de Malaga), une unité spéciale d’intervention de la garde civile a donné l’assaut au domicile où il vivait dans le luxe, entouré de sa famille, d’employés de maison et de gardes du corps, a-t-elle précisé dans un communiqué

Robert Dawes est par ailleurs visé par une enquête depuis 2007 en tant que « dirigeant de l’organisation criminelle la plus importante du Royaume-Uni et d’Europe, se livrant au trafic de drogue, au blanchiment de capitaux et aux homicides« , a indiqué la police espagnole.

Dans des hôtels de luxe de Madrid, Robert Dawes se réunissait régulièrement avec des représentants des cartels sud-américains. Depuis l’Andalousie, il introduisait en Europe de grosses quantités de cocaïne dissimulées dans des meubles de Chine et des conteneurs de fruits d’Amérique du Sud par le port d’Algésiras (sud de l’Espagne).

Robert Dawes fait aussi l’objet d’une enquête aux Pays-Bas, en lien avec une vague d’assassinats dans ce pays entre 2014 et 2015, visant à prendre le contrôle du trafic de cocaïne dans différents pays d’Europe, selon la même source.

Un groupe de policiers de différents pays avait été spécialement formé pour enquêter sur son organisation tentaculaire.

Elle avait des connections au Portugal, en France, en Belgique, aux Pays-Bas, en Italie, en Allemagne, en Turquie, au Royaume-Uni, aux Emirats arabes unis, au Pakistan, au Venezuela, en Equateur et au Mexique, ainsi qu’avec la mafia calabraise (sud de l’Italie), la N’drangheta.

L’opération qui a permis son arrestation a impliqué des membres de la Guardia civil espagnole, de l’Agence nationale contre le crime (NCA) britannique et de l’Office français pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (Octris).

L’information sur son arrestation avait filtré le 13 novembre dans la presse britannique, mais la garde civile avait gardé le secret pour pouvoir « terminer toutes ses investigations« , a précisé à l’AFP un porte-parole de la police espagnole.

http://www.lexpress.fr/actualites/1/societe/un-boss-du-trafic-de-drogue-en-europe-interpelle-en-espagne-et-ecroue-en-france_1745001.html
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British drug kingpin suspect Robert Dawes arrested in Costa …

http://www.telegraph.co.uk › … › Europe › SpainTraduire cette page

13 nov. 2015 – Robert Dawes, who is wanted by authorities in connection with murders in the UK and the Netherlands, was among “several people arrested in …

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Robert Dawes linked to Holland and UK murders arrested at …

13 nov. 2015 – Robert Dawes, 44, from Nottingham, was held at his Costa del Sol home on Thursday by Guardia Civil officers.

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Robert dawes | Crime and Grime blog

blog.carlfellstrom.com/tag/robertdawes/

CRIME boss Robert Dawes has been formally charged by the French authorities after they seized more than 1.3 tonnes of cocaine at Paris airport. The cocaine …

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Robert dawes | Crime and Grime blog

blog.carlfellstrom.com/category/robertdawes/

CRIME boss Robert Dawes has been formally charged by the French … Robert Dawes now faces trial in France as the organiser of the record cocaine haul.

13 nov. 2015 – A suspected British drug trafficker has been arrested on the Costa del Sol as part of an international investigation. Robert Dawes, 44, was …

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NARCOTRAFICO: España captura el 40 % de la cocaína y el 75 % del hachís requisados en la UE

alfonso toricesmadrid / colpisa, 07 de diciembre de 2015. 

M. MORALEJO

El ministro del Interior desveló ayer que la policía española no es solo la más efectiva de Europa en la lucha contra el narcotráfico sino que, según las cifras de los diez últimos años, la Policía Nacional, la Guardia Civil, Vigilancia Aduanera y el resto de cuerpos de seguridad han capturado el 40 % de la cocaína y el 75 % del hachís que se ha requisado en toda la Unión Europea.

Jorge Fernández Díaz facilitó estos datos con motivo del éxito de una operación realizada por la Policía Nacional en colaboración con cuerpos de seguridad de otros tres países europeos -?Italia, Grecia y Turquía- que ha permitido intervenir 13 toneladas de hachís ocultas en un carguero de bandera panameña asaltado en alta mar, en las proximidades de Sicilia.

La operación policial, que fue coordinada por Europol, se inició hace varios meses, después de que agentes de la Unidad de Drogas y Crimen Organizado (Udyco) de la Policía Nacional investigasen la pista de una red de traficantes compuesta por españoles y marroquíes, pero que también tenía ramificaciones y contactos en Libia y Egipto.

Las pesquisas de la Udyco le permitieron averiguar que esta organización contaba con un buque, denominado Munzur, con bandera panameña, que transportaba varias toneladas de hachís. Los agentes españoles, una vez constatada la ruta que seguía el barco, pusieron sus informaciones en conocimiento de las autoridades italianas, para que pudiesen capturar la droga y a los traficantes.

El abordaje se produjo a unas diez millas de la isla italiana de Pantelaria, al suroeste de Sicilia. Agentes de la Guardia di Finanza registraron el barco y localizaron las trece toneladas de hachís repartida en unos 500 paquetes de unos 25 kilos. La droga se encontraba oculta en la bodega del buque bajo varias toneladas de polvo de hierro.

La redada permitió arrestar a once personas, de las que diez son ucranianas y la otra georgiano.

A pesar de todo, España sigue liderando con Reino Unido y Francia, el consumo de cocaína y cannabis en la UE, según el último Observatorio Europeo de las Drogas.

http://www.lavozdegalicia.es/noticia/espana/2015/12/07/espana-captura-40-cocaina-75-hachis-requisados-ue/0003_201512G7P18994.htm

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NARCOTRAFIC (Cagliari – Sardegna): 10 Syrians arrested trying to smuggle 20 TONNES of cannabis worth £150million into Europe in a specially converted cargo vessel underneath massive slabs of granite

Cagliari, a bordo della nave Jupiter 20 tonnellate di droga

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Un’ingente quantità di hascisc nascosta a bordo della barca bloccata da tre settimane al porto di Cagliari. Lo stupefacente era « blindato », la maxi operazione svolta da Fiamme Gialle e polizia.

CAGLIARI – La barca, battente bandiera delle Isole Cook, è stata fermata tre settimane fa in pieno mare e scortata fino al porto del capoluogo sardo, sotto il controllo di motovedette della Finanza. Una volta arrivata al molo Sabaudo, l’imbarcazione è stata posta sotto sequestro. La Guardia di Finanza, insieme a varie forze di polizia, l’hanno controllata in ogni centimetro, fino a scoprire un maxi carico di droga nascosto. Meglio, « blindato » nei sottofondi della nave. L’intero carico di stupefacente è stato immediatamente sequestrato.

« Dopo quasi tre settimane dal clamoroso e inedito sequestro in alto mare della nave, le Forze dell’ordine e la Guardia di Finanza si sono mosse a colpo sicuro e dopo tre settimane di intenso lavoro sono arrivate al malloppo ». A dirlo è Mauro Pili (Unidos): Il parlamentare sardo parla di « venti tonnellate di droga, il più grande carico mai scoperto nel Mediterraneo ». Un’operazione, decisa dalla Procura di Cagliari, che è costata « oltre 200mila euro. La Jupiter è risultata pedinata da mesi, ed è stata perforata perforata in lungo e in largo con trapani speciali ». 

source: http://www.sardegnaoggi.it/Cronaca/2015-10-15/30538/Cagliari_a_bordo_della_nave_Jupiter_20_tonnellate_di_droga.html

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Conferenza stampa Gdf su nave Jupiter a Cagliari con droga ( © ANSA

READ: http://www.ansa.it/sardegna/notizie/2015/10/16/cagliari-nave-con-hascisc-200mln-euro_3c2b0ed3-685c-4209-8a6f-3a21f980b5ab.html

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The Jupiter was boarded by Italian police in the Mediterranean last month

Europol received a tip-off that the cargo ship was smuggling cannabis

Experts spent 15 days searching the 97-metre long ship for its illicit cargo

The drugs were found in the ship’s specially converted forward ballast tank

The 821 packages of cannabis, pictured, were hidden inside a cargo vessel registered in the Cook Islands 

Ten Syrians have been arrested trying to smuggle 20.5 tonnes of cannabis worth an estimated £150million into Europe hidden in a specially converted cargo vessel underneath massive slabs of granite.

The Cook Island-flagged merchant vessel Jupiter was boarded in the Mediterranean Sea by Italian Finance Police who are responsible for border security and taken under guard to the Port of Cagliari on Sardinia.

Europol confirmed that a major joint operation was launched after they received a tip-off that the freighter had drugs hidden beneath the legitimate cargo.

The 821 packages of cannabis, pictured, were hidden inside a cargo vessel registered in the Cook Islands

The drugs were contained in the forward ballast tank of the Jupiter, pictured, after a 15-day search 

The drugs were contained in the forward ballast tank of the Jupiter, pictured, after a 15-day search

The drugs were hidden underneath a legitimate cargo of granite, pictured, which filled the vessel's hold

The drugs were hidden underneath a legitimate cargo of granite, pictured, which filled the vessel’s hold

The drugs were found in a specially hollowed-out area in the vessel’s forward ballast tank. In total 821 packages containing some 20.5 tonnes of cannabis was recovered.

Italian law enforcement agencies raided the vessel on the evening of September 26 after Spanish Guardia civil aircraft had kept it under surveillance.

It is understood that prior to its arrest, the vessel had visited Vigo in northern Spain, after crossing the Atlantic before heading south into the Mediterranean.

Italiansearcherssought assistance fromFrench experts whoplayed ‘a decisiverole’ in identifyingtheillegal

Europol received a tip-off that the vessel, pictured, was being used to transport a large amount of illegal drugs

activity behind the shipment.

According to Europol the drugs were found ‘after a long and extremely complex search’.

A spokesman said: ‘The enormous illegal load was found skilfully stashed in a large false bottom under the hold of the vessel with its only access hidden by hundreds of tonnes of granite being used as legal cargo.’

Europol received a tip-off that the vessel, pictured, was being used to transport a large amount of illegal drugs

The search team eventually found the drugs hidden in a specially constructed section of the ballast tank

The search team eventually found the drugs hidden in a specially constructed section of the ballast tank

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WORLWIDE (opération Blue Amber): trois tonnes de cocaïne saisies lors d’une opération internationale

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http://www.zdnet.fr/actualites/europol-a-cree-un-groupe-de-travail-pour-lutter-contre-la-cybercriminalite-internationale-39806505.htm
Par: rédaction
16/10/15 – 18h13  Source: Belga 
© thinkstock.
Les polices européennes, australienne, colombienne et américaine ont saisi 3 tonnes de cocaïne et interpellé 179 personnes, dans le cadre d’une opération internationale effectuée entre fin septembre et début octobre, indique vendredi Europol.L’opération, baptisée Blue Amber, impliquait les polices des 28 Etats de l’Union européenne, ainsi que les polices albanaise, australienne, bosnienne, colombienne, macédonienne, islandaise, monténégrine, norvégienne, serbe, suisse et américaine.

Trafic
Elle se focalisait sur le « démantèlement des activités de bandes criminelles actives dans l’immigration clandestine, le trafic de drogues, d’armes à feu et de véhicules », a encore précisé Europol. L’agence a contribué à coordonner l’opération depuis son quartier général de La Haye (Pays-Bas).

MDMA
Outre la cocaïne, 250kg de drogues synthétiques et 74 véhicules ont été saisis. En Australie, la police a, par exemple, mis la main sur 32kg de MDMA -plus communément appelée ecstasy- cachées dans des bouteilles envoyées par la poste depuis les Pays-Bas.

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/2492518/2015/10/16/Trois-tonnes-de-cocaine-saisies-lors-d-une-operation-internationale.dhtml

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DOUANE française: contrôles renforcés dans de nombreux points du territoire français.

DOUANE

Les 17 et 18 septembre 2014, les services douaniers ont effectué des contrôles renforcés dans de nombreux points du territoire français.

Deux journées de mobilisation renforcée contre la criminalité à large spectre

Publié le : mardi 23 septembre 2014
Deux journées de mobilisation renforcée contre la criminalité à large spectre
Mobilisation renforcée contre la criminalité à large spectre | © Douane
Les 17 et 18 septembre 2014, les services douaniers ont effectué des contrôles renforcés dans de nombreux points du territoire français.

Les effectifs mobilisés, totalisant environ 2 500 agents avaient pour objectif d’intercepter divers produits de fraude, en particulier les trafics de drogue, de cigarettes ou encore de contrefaçons.

Au cours de ces deux journées, la douane a collaboré étroitement avec différents services spécialisés de la police et de la gendarmerie mais également en relation avec ses homologues européens. Des contrôles ont été réalisés dans les gares internationales avec un appui significatif des services de la direction de la sûreté de la SNCF. Des saisies douanières ont été enregistrées sur la quasi-totalité des axes menant au territoire national (ports, aéroports, gares, gares routières, tunnel sous la Manche, centres de fret, de tri postal).

Les nombreuses saisies qui ont été réalisées par la douane illustrent la diversité des trafics contre lesquels elle est mobilisée :

  • une saisie de 10 kg de cocaïne à Orly en provenance des Antilles et destinée au marché européen ;
  • dans la région Nord-Pas-de-Calais, les douaniers ont découvert plus de 100 000 euros en numéraires cachés à l’intérieur d’un véhicule. Les suites judiciaires ont été confiées au Service national de douane judiciaire (SNDJ) ;
  • le mercredi 17 septembre 2014, les services douaniers de la gare de Lille Europe ont effectué le contrôle d’un train en provenance de Bruxelles et ont pu ainsi découvrir dans les valises de 3 voyageurs, 430 cartouches de cigarettes en provenance d’Europe de l’est, soit plus de 80 kg. La saisie d’une telle quantité de cigarettes à bord d’un train est plutôt rare. Au total, ce sont 230 kg de tabac et cigarettes qui ont été saisis pendant 48 h.

Par ailleurs,  l’ensemble des services douaniers a pu appréhender près de 2 000 articles de contrefaçon, généralement du textile, ainsi que trois spécimens repris à la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction dite de Washington.

A l’occasion du contrôle d’envois postaux, la douane a découvert de nombreux produits contrefaits et dangereux pour la sécurité et la santé du public (faux viagra, de produits de maroquinerie contrefaits, drogues de synthèse).

Ces actions menées par la douane intervenaient dans le cadre d’une coopération transfrontalière renforcée et avec le soutien de l’agence européenne EUROPOL. Le bilan consolidé au niveau européen sera donné dans les prochains jours.

 

SOURCE:http://www.douane.gouv.fr/articles/a12190-deux-journees-de-mobilisation-renforcee-contre-la-criminalite-a-large-spectre

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