ÉTATS-UNIS 🇺🇸 (New York) : Gérald Darmanin s’alarme d’une « reprise » d’une menace « terroriste islamiste » en Europe

Dans un entretien à l’AFP, le ministre de l’Intérieur a demandé au gouvernement américain de renforcer leur coopération antiterroriste.

Le risque reprend »

Gérald Darmanin a bouclé une visite de deux jours outre-Atlantique pour doper la coopération policière et judiciaire entre la France et les Etats-Unis, pour la lutte contre le terrorisme et la grande criminalité. Il s’est notamment entretenu avec la ministre adjointe de la Justice, Lisa Monaco, et le ministre de la Sécurité intérieure, Alejandro Mayorkas.

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Le point de vue de Marc Fievet

Plus faux cul tu meurs!

Le locataire de la place Beauvau semble oublier que le contrôle des entrées sur le territoire dépend de son ministère. En commençant par les moyens qui permettent d’acheminer armes, stups et autres explosifs.

Gerald Darmanin qui semble plus occupé à se faire mousser par son hyper présence dans tous les réseaux sociaux dans une frénésie de déplacements hexagonaux, DOM, TOM et internationaux, semble oublier que toutes les marchandises importées (stups, armes etc.etc.) sur le territoire français peuvent être intégralement contrôlées.

Votre passage au Budget aurait dû vous permettre de le savoir.

Oui, Monsieur le Ministre vous êtes un bonimenteur!

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Le groupe américain ADVANCED WARNING SYSTEMS INC a proposé le dernier système de numérisation automatique IGRIS (INELASTIC GAMMA RAY IMAGING SYSTEM) utilisé par le Pentagone pour inspecter de près les marchandises et les conteneurs avec précision.

Dans le même temps, en France, on continue de réfléchir et de se refiler le dossier de ministères en ministères puis de services en services pour savoir si l’on va équiper nos ports de systèmes performants de contrôles qui existent!

Que du bonheur pour les narcos qui savent pouvoir compter sur le pinaillage des administrations françaises pour les laisser continuer à exporter des cargaisons de drogues

Lire l’article.

FRANCE (contrôles des marchandises) : les contrôles aléatoires sont tellement rares que la sécurité est remise en cause

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FRANCE 🇨🇵 (Fusillade à Marseille) : « Ce qui s’est passé nous rappelle à quel point le narcotrafic international tue des jeunes sur le territoire de la cité phocéenne », déclare l’adjoint au maire

Interview de Yannick Ohanessian, adjoint au maire de Marseille

Extrait

Les armes sont-elles un problème inquiétant dans la ville ?

Oui, nous avons, avec le maire de Marseille, alerté à plusieurs reprises les services de l’Etat pour dire qu’il fallait donner beaucoup plus de moyens, notamment au service des douanes, pour contrôler les marchandises qui arrivent par voies portuaires ou par voies routières sur le territoire de la commune. Ce sont souvent des armes de guerre ou de la drogue. Donc, il faut se doter de tous les moyens, tous les outils, les dispositifs pour lutter contre ce narcotrafic. C’est un réseau international qui officie sur Marseille, ce sont des bandes rivales qui s’organisent.

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Le point de vue de Marc Fievet

La politique gouvernementale depuis des décennies se fourvoie et préfère chaque année faire un constat de la vaillance de ses troupes et des saisies toujours en hausse, dues seulement à l’explosion des importations de stups. L’échec est total mais nos « sachants » se sont figés dans une posture qui consiste à prendre plaisir à être mauvais plutôt que d’envisager une autre approche.

Les lobbyistes des différentes régaliennes en charge de la lutte contre le narcotrafic sont, en grande partie, responsables et il m’apparaît toujours difficile de comprendre que les meilleurs éléments dans la lutte contre le narcotrafic ont été, et peut-être seront, poursuivis et lâchés par des administrations sans aucune éthique morale.

Devra-t-on avoir recours à « McKinsey » ?

Quand aux équipements pour contrôler efficacement, ils existent mais faudrait-il encore que nos savants des hautes administrations se décident en fin à les mettre en place!

WORLWIDE (NARCOTRAFIC MARITIME) : comment inspecter de près les marchandises et les conteneurs avec précision?

Cet article publie en 2021 démontre que rien n’avance pour tenter d’enrayer la mexicanisation de la France.

Comme partout ailleurs dans le monde, en France, les contrôles aléatoires sont tellement rares que la sécurité est remise en cause et nos savants continuent de réfléchir et de se refiler le dossier de ministères en ministères puis de services en services pour savoir si l’on va équiper nos ports de systèmes performants de contrôles qui existent !

Que du bonheur pour les narcos qui savent pouvoir compter sur le pinaillage des administrations françaises pour les laisser continuer à exporter des cargaisons de drogues.

Le groupe américain ADVANCED WARNING SYSTEMS INC a proposé le dernier système de numérisation automatique IGRIS (INELASTIC GAMMA RAY IMAGING SYSTEM) utilisé par le Pentagone pour inspecter de près les marchandises et les conteneurs avec précision.

La nouvelle technologie IGRIS est utilisée par ‘Le Pentagone’, le ministère américain de la Défense (Joint Improvised Explosive Device Defeat Organization – JIEDDO).

Selon les explications fournies, le système IGRIS, grâce à ses générateurs de neutrons scanne la cible avec plus d’un million neutrons par seconde, ce qui permet de divulguer des détails précis (niveau moléculaire) de tout le contenu des conteneurs et strictement avec un système tridimensionnel précis et à une vitesse de 25km/h.

Le système de contrôle central envoie également une notification immédiate aux douanes, aux services de sécurité, aux organes de contrôle des drogues, aux départements ministériels et aux ministères souverains concernés.
Ce système devrait être adopté dans les ports, les aéroports et les postes frontières de tous les États responsables et conscients des graves perturbations causées par les fraudes, le narcotrafic et le terrorisme dans le monde d’aujourd’hui.

Les seuls à détecter les céramiques et autres polymères (couteau, armes à feu, etc…)

SOURCE

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FRANCE 🇫🇷 (OFAST) : les résultats d’une politique aberrante autant que coûteuse et inefficace

En prime la mexicanisation de la société française !

Bravo Beauvau !

Le marché de la cocaïne est « vaste et en expansion » dans l’Union européenne, souligne l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT). Utilisant « l’ensemble des données disponibles à ce jour », l’organisme public propose un panorama de la situation en France, l’un des États « les plus consommateurs au sein de l’UE. »

En France, la « dynamique de diffusion » de la cocaïne « s’est accélérée en 20 ans »  : c’est le constat formulé par l’OFDT dans son rapport La cocaïne : un marché en essor. Évolutions et tendances en France de mars 2023.

En France, une cocaïne plus accessible

La production mondiale de cocaïne est en hausse.

En Europe, où les trafics s’intensifient et se professionnalisent, la cocaïne représente un tiers du marché des stupéfiants.

En France, les saisies de cocaïne  reflètent un « changement d’échelle » dans la diffusion du produit : après une moyenne de 11 tonnes dans les années 2011-2020, elles atteignent en 2022 le niveau record de 27,7 tonnes.

Plus accessible, le prix de la cocaïne est également plus abordable. En 1990, le prix du gramme était situé  dans une fourchette de 1 200 à 1 500 francs. Son prix courant est aujourd’hui, avec 50 à 70 euros le gramme, « le plus bas jamais enregistré.« 

Pour « fidéliser » les « clients » dans un contexte de concurrence accrue sur le marché de la cocaïne, les stratégies des vendeurs se diversifient : usage des réseaux sociaux, livraison à domicile, cocaïne moins « coupée »…

L’OFDT décrit une perception sociale de la cocaïne moins « pathologisée«  qu’il y a vingt ans : toujours proche de celle de l’héroïne, elle tend sur certains aspects à se rapprocher de l’image du cannabis. La représentation de la dangerosité de sa consommation est en baisse pour la première fois depuis 1999 (77% contre 86%), mais demeure élevée.

Une consommation en hausse, des publics élargis

En 2017, en France, la majorité des usagers de cocaïne, soit 2,1 millions de personne, consomme « à titre expérimental. » 

L’usage de cocaïne dans l’année, plus régulier, concerne 600 000 personnes (400 000 en 2010). C’est la deuxième drogue illicite la plus consommée, loin derrière le cannabis (5 millions d’usagers, soit huit fois plus) mais devant le MDMA/ ecstasy (400 000).

Parmi ces usagers réguliers, on distingue :

  • des personnes intégrées socialement qui, pour la plupart, estiment « contrôler » leur consommation, souvent cantonnée au week-end ;
  • des consommateurs nettement plus intensifs (cocaïne injectée, crack, opioïdes), davantage marginalisés.

Cependant, la consommation apparaît « moins clivée » qu’en 2005 entre ces deux catégories d’usagers, toutes les professions étant désormais concernées.
 

Risques sanitaires et demande de soin

La consommation de cocaïne, mais aussi la polyconsommation (alcool, opiacés, hallucinogènes…), en hausse, sont facteurs de risques psychiatriques (symptômes psychotiques), neurologiques (AVC…) et somatiques (infections, hémorragies), de suicides ou de surdoses mortelles.

Entre 2010 et 2021, les recours aux urgences liés à une intoxication à la cocaïne « ont plus que triplé« . Les séjours en hôpital général et en psychiatrie ont aussi fortement augmenté.

SOURCE

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LE TRIUMVIRAT AUX MANETTES

Gérald Darmanin, le tourquennois – Gabriel Attal – Eric Dupont-Moretti, le maubeugeois

Alors continuons comme préconisé par nos décideurs, en rang et fanfares en tête!

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FRANCE 🇫🇷 (DNRED – DOD) : entre Montpellier, l’Espagne et la Lozère, Olivier était-il chef d’un réseau de stups ou travaillait-il pour les gabelous ?


En tous les cas,Yanick Philipponnat, journaliste  à  Midi Libre consacre ce 25 avril 2023 un papier sur ce Héraultais incarcéré depuis juin 2021 et qui est remis en liberté deux mois avant son procès. Ce dernier conteste formellement être le chef d’un réseau international de drogue et affirme travailler pour les douanes. Reste à La Cour de cassation de statuer sur la requête en nullité pour « déloyauté ».

INTERVIEW d’Olivier par Marc Fievet en bas de page

L’article écrit par Yanick Phiiplipponnat, journaliste  à  Midi Libre

EXTRAITS

Selon nos informations, le tribunal judiciaire de Montpellier a remis en liberté le 19 avril quatre individus soupçonnés d’un vaste trafic international de stupéfiants entre l’Espagne, l’Hérault, la Lozère et la région parisienne.  Le tout, lors d’une audience relais, alors qu’ils seront jugés début juin, délai légal maximal avant lequel ils doivent comparaître.

Parmi eux, Olivier D., un Héraultais de 46 ans, désigné comme le chef du réseau par les enquêteurs et qui se retrouve au cœur d’un imbroglio judiciaire hors-norme. “Dédé” se présente ainsi comme un aviseur des douanes : ces personnes qui infiltrent la criminalité organisée pour devenir informateur contre rétribution. Ce que contestent les gabelous. Mais jusqu’à cacher son existence comme le soutient la défense ?

Tentative de meurtre, coke, blanchiment et cryptomonnaie

Quand l’affaire a éclaté, avec au départ une tentative de meurtre par arme à feu, les gendarmes de la section de recherches de Montpellier, au terme de plusieurs mois de surveillances, ont interpellé une quinzaine de suspects. Pour eux, Olivier D., surnommé également “l’ami”, sept condamnations au compteur, est à la tête d’un fructueux trafic de résine de cannabis et de cocaïne, si bien structuré qu’il irait jusqu’à blanchir des dizaines de milliers d’euros dans des sociétés immobilières en Espagne ou de la cryptomonnaie.

Des « informations prometteuses mais inexploitables »

« Les premières fois que l’on a dit qu’il était aviseur, ils nous ont ri au nez » déplore Me Luc Abratkiewicz, l’avocat du quadragénaire. Qui a, depuis un an et demi, multiplié les recours pour que les douaniers soient entendus. Sans succès, même si ces derniers ont fini par expliquer qu’ils avaient eu quatre rencontres avec Dédé. Mais ils le dénigrent : ses informations jugées « prometteuses » auraient été finalement « inexploitables ou fausses » de la part de celui qui est décrit comme un grand manipulateur et qui aurait seulement voulu éviter d’être interpellé.

La juge d’instruction, elle, a apposé le “secret-défense” sur les identités des agents des douanes.

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La suite intégrale de cet article

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A la lecture de cet article, Aviseur international, toujours surpris de l’utilisation du ‘secret défense’ a réussi à interviewer Olivier.

Marc FievetSuite à l’article paru ce mardi 25 avril dans le midi libre concernant les faits pour lesquels vous aviez été incarcéré puis libéré qu’avez vous à dire ?

Olivier: comme ce que je dis depuis le début … j ai été recruté par la DOD (Direction des Opérations Douanières) pour enquêter sur l’OFAST (ex OCRTIS) et leurs informateurs en Andalousie, pas sur des trafiquants classiques . C’était la condition! Mon aide ponctuelle ne devait concernait uniquement que ces gens là qui font de l’incitation à l’infraction en organisant des remontées surveillées avec l’OFAST. J ai accepté de faire cela car un proche a été victime de ce système tout simplement.

Marc Fievet – Pouvez vous prouver ce que vous avancez ?

Olivier: tout à fait j’ai toutes les conversations avec la DOD le prouvant et j’ai proposé maintes fois à la juge d instruction de les lui donner, mais la vérité ne semble pas l’intéresser, elle veut juste me faire payer de m’être attaqué à un aussi prestigieux service de police .

Marc Fievet – Pourquoi les douaniers nient en partie les faits en disant que vous leur avez transmis que des informations inexploitables ?

Olivier: c’est totalement faux et je peux le prouver … Après ils m’avaient prévenu que leurs patrons n’assumeraient pas une nouvelle guerre des services comme à l’époque de l’OCRTIS et de François Thierry si j’étais découvert et ils m’ont tout simplement lâché !

Marc Fievet Qu’avez vous à rajouter ?

Olivier: je n’ai jamais rien fait d illégal et j’ai toujours eu l’accord des douanes, avant, pendant et après ! Je ne mens pas et je tiens à préciser qu’il n’y a pas d’armes dans ce dossier; le seul revolver est en règle et il n’y a pas non plus de cryptomonnaie, ni de 350 kilos de cocaïne à Barcelone ! C’est grave de travestir la vérité à ce point ! Je ne m’appelle pas « l’ami » non plus et mon avocat Me Abratkiewicz a été menacé de 5 ans de prison juste parce qu il me défend. C’est hallucinant ! Mais j ai confiance en la justice et je pense que si le président de la plus haute instance française s’est auto saisi du dossier ce n’est pas pour rien ! C’est très grave ce qui s’est passé et l’acharnement que j’ai subi pour m’être attaqué à ces gens là … Je veux juste que la vérité éclate et c’est bien parti pour …

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FRANCE 🇫🇷 (DG de la Douane) : baratiner, manipuler, mentir et savoir se prosterner sont des qualités essentielles pour gravir les échelons

« Le mélange du vrai et du faux est plus faux que le faux lui-même. »

Paul Valery

La hiérarchie douanière continue de nier la réalité de l’action que j’ai menée en tant qu’agent infiltré dans des organisations internationales du narcotrafic.

François Auvigne

Incapables de reconnaître des faits pourtant démontrés, ne serait-ce que par les résultats obtenus, ces hauts fonctionnaires ont perdu tout sens de l’honneur en continuant d’adopter la logique utilisée par François Auvigne l’énarque DG de la Douane qui, refusant de répondre favorablement aux demandes formulées par Jean Puons, le directeur de la DNRED, m’a délibérément précipité dans la dérive juridico-administrative et sa suite carcérale entraînant des dommages familiaux irréparables que j’ai encaissés.

Début avril 2020, je publiais:

FRANCE 🇫🇷 (Énarques, administrateurs civils et douaniers et autres DG de la Douane française): seraient-ils tous des menteurs?

Arrêté du 20 septembre 2005 portant délégation de signature (direction générale des douanes et droits indirects) – Article 19

 » Délégation est donnée à M. Erwan Guilmin, administrateur civil et à Mme Elisabeth Melscoet , inspectrice principale des douanes, à l’effet de signer, au nom du ministre délégué au budget et à la réforme de l’Etat, porte-parole du Gouvernement, toutes pièces relatives aux affaires de la compétence du Conseil d’Etat, des cours administratives d’appel ou des tribunaux administratifs ainsi que tous documents comptables intéressant la direction générale des douanes et droits indirects. »

Le 30 juillet 2010, Erwan Guilmin a été le signataire au nom du Ministre du budget, d’un mémoire de onze pages destiné à transformer l’action menée par Marc Fievet, AKA NS 55 DNRED, pour permettre de rejeter sa demande d’indemnisation que ses avocats avaient déposée auprès du tribunal administratif.

Michel Charasse au Budget

Après vérifications faites auprès des douaniers du service opérationnel de la DNRED, Erwan Guilmin n’a jamais posé la moindre question concernant l’action de cet aviseur, pourtant considéré par le ministre Michel Charasse et par toute la hiérarchie douanière comme accomplissant une mission d’agent infiltré.

Témoignage de Christian Gatard, chef de l’échelon DNRED de Nantes qui écrira à Marc Fievet le 4 mars 2014:

« Comme je viens de te le dire par tel, j’ai lu ce mémoire dont je n’avais jamais entendu parler, ce qui veut dire que l’on ne m’a jamais consulté depuis mon départ à la retraite en 2006.
Je partage ton analyse globale: j’ai notamment noté que dès les premiers § il est écrit que tu as donné « quelques renseignements » ou quelque chose comme ça. Inutile de te préciser que ton rôle est largement sous estimé. »

Jean Henri Hoguet, (photo à gauche), patron de la DNRED, qui avait organisé le recrutement de Marc Fievet à Gibraltar, n’a jamais été contacté.

Est-ce à dire que l’administrateur civil Erwan Guilmin s’est autorisé à déformer la vérité des faits pour satisfaire les souhaits du directeur général de l’époque Jérôme Fournel (photo à droite)

Certes, la récompense est venue quelques années plus tard lorsqu’Erwan Guilmin a pris la direction de la DOD (Direction des opérations Douanières) à la suite de Vincent Sauvalere.

Comment puis-je aujourd’hui écrire ces quelques lignes ?

C’est qu’il s’avère en effet que l’énarque, administrateur civil, Erwan Guilmin est un faussaire, d’État certes, mais un faussaire quand même, puisque non content d’avoir faussé la totalité de l’action de Marc Fievet auprès de la DNRED, il a quelques années plus tard confirmé sa qualité de faussaire en étant confondu d’avoir modifier délibérément un document classé « Secret Défense » qui démontrait sa connaissance et sa participation à des faits habituellement reprochés aux escrocs internationaux et au monde du crime organisé. De caviardage tout simplement, l’énarque Erwan Guilmin s’est rendu coupable sur un document que l’on devrait considéré comme sacré puisque classé secret défense.

Pour Erwan Guilmin, tout va bien, Jérôme Fournel l’a reclassé à Bercy comme « Chargé de mission à la sous-direction des politiques sociales – Secrétariat général » au Ministère de l’économie et des finances et ce depuis janvier 2018, où il n’apparait jamais.

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Thomas Charvet – Bruxelles

Conseiller Douanes – Contrôle et gestion du risque, accises et autres fiscalités, OMD), Union douanière GUD (législation, systèmes d’information, douane électronique, tarif douanier, accords internationaux, mouvements argent liquide, biens culturels

qui, au nom du ministre chargé des douanes, rédigea les 26 janvier 2012, 17 février 2012 et 30 septembre 2013, trois réponses en défense pour le ministre du Budget sans se renseigner sur la réalité du dossier de Marc Fievet auprès des douaniers directeurs de la DNRED, Jean Henri Hoguet, Bernard Pouyanné, Jean Puons, Gérard Estavoyer, Jean Paul Garcia.

Document incomplet et arrangé, dans lequel les mensonges sont entremêlés savamment au milieu de vérités.

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Elizabeth Melscoet de la DG de la Douane (DGDDI), au nom du ministre chargé des douanes, dans la limite de ses attributions, peut signer toutes pièces relatives aux affaires de la compétence du Conseil d’État, des cours administratives d’appel ou des tribunaux administratifs, tous documents comptables intéressant la direction générale des douanes et droits indirects, les pouvoirs de représentation en justice, les décisions relatives aux demandes de bénéfice de la protection fonctionnelle des agents de l’État ainsi que les habilitations des agents des douanes visées à l’article 64 du code des douanes, à l’article L. 38 du livre des procédures fiscales et à l’article 64 du code des douanes dans ses versions respectivement applicables à Saint-Pierre-et-Miquelon, à Wallis-et-Futuna, en Polynésie française et en Nouvelle-Calédonie…. ne posa aucune question aux douaniers directeurs de la DNRED, Jean Henri Hoguet, Bernard Pouyanné, Jean Puons, Gérard Estavoyer, Jean Paul Garcia, concernés par l’affaire de Marc Fievet, AKA NS 55, avant de rédiger le 21 mai 2015 une réponse incomplète, arrangée et mensongère au TA (Tribunal administratif).

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Michel Baron – administrateur des douanes, qui, au nom du ministre chargé des douanes, dans la limite de ses attributions, peut signer toutes pièces relatives aux affaires de la compétence du Conseil d’Etat, des cours administratives d’appel ou des tribunaux administratifs, tous documents comptables intéressant la direction générale des douanes et droits indirects, les pouvoirs de représentation en justice, les décisions relatives aux demandes de bénéfice de la protection fonctionnelle des agents de l’Etat ainsi que les habilitations des agents des douanes visées à l’article 64 du code des douanes, à l’article L. 38 du livre des procédures fiscales et à l’article 64 du code des douanes dans ses versions respectivement applicables à Saint-Pierre-et-Miquelon, à Wallis-et-Futuna, en Polynésie française et en Nouvelle-Calédonie…. ne posa aucune question aux douaniers directeurs de la DNRED, Jean Henri Hoguet, Bernard Pouyanné, Jean Puons, Gérard Estavoyer, Jean Paul Garcia, concernés par l’affaire de Marc Fievet, AKA NS 55, avant de rédiger le 19 janvier 2016 une réponse incomplète, arrangée et mensongère au TA (Tribunal administratif).

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A Bercy, l’administrateur civil voyou Erwan Guilmin, l’administrateur civil Thomas Charvet, l’administrateur des douanes Michel Baron comme Elizabeth Melscoet de la DG de la Douane (DGDDI), certainement des grands spécialistes des actions d’infiltration à l’international, ont réécrit l’histoire en interprétant les actions que Marc Fievet a menées pour le compte de la DNRED, dans le seul but de dégager la Douane Française et la DNRED de toutes responsabilités.

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POLYNÉSIE FRANÇAISE 🇫🇷 (Drogue): la déferlante de l’ice met la jeunesse en danger

Par Suliane Favennec à Tahiti (Polynésie française) 

Arrivée des Etats-Unis dans les années 2000, cette drogue dévastatrice cause depuis 20 ans des dégâts irréversibles dans la population. Elle génère une nouvelle forme de délinquance et déstabilise profondément les structures sociales. C’est aujourd’hui un véritable enjeu de santé et de sécurité publiques. En octobre, le président de la Polynésie a rencontré le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin à Paris et une antenne OFAST (office anti-stupéfiant) à été créée à Tahiti. Et mercredi 3 février, le Haut-commissaire (représentant de l’Etat sur place), le président de la Polynésie et le procureur de la République annonceront un plan de lutte, axé sur la répression et la prévention.

« Dès 14 ans, voire moins »

« On est dépassé. Il y a en partout, constate Hiti Mennesson, président de l’association Luttons contre l’ice. Les jeunes s’en procurent très facilement, on voit même des dealers aux abords des lycées. Et la consommation débute de plus en plus tôt, dès 14 ans, voire moins ».

Les chiffres officiels font état de 10 000 consommateurs, mais là encore la réalité est sans doute pire.

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FRANCE 🇫🇷 (narco-business): allo l’OFAST, la professionnalisation des narcotrafiquants s’accélère

Par Georges BRENIER

INFO TF1/LCI – Tueurs à gages, livreurs, gros bras… les nouvelles succursales des trafiquants de drogue

Extrait de l’article paru le 1er février 2021

DE PLUS EN PLUS PRO

Ce constat, très surprenant, vient d’être dressé par la police judiciaire française dans une note interne rédigée le 18 janvier dernier par le Service d’information, de renseignement et d’analyse stratégique sur la criminalité organisée (Sirasco), que nous avons pu consulter. « Cela illustre la porosité entre groupes criminels« , explique un fin connaisseur du milieu. « Cette sous-traitance n’est pas de bon augure« .

Dans une récente note confidentielle que TF1 s’est procurée, la police judiciaire française s’alarme de la professionnalisation constante des narcotrafiquants, constituant des filières spécialisées pour la vente comme pour les règlements de comptes. De quoi rendre la lutte contre le trafic de stupéfiants plus complexe.

L’aide de prestataires spécialisés dans l’acheminement

Le phénomène s’observe d’abord à travers la sous-traitance du transport de stupéfiants. Les réseaux font de plus en plus appel à des prestataires spécialisés dans l’acheminement  – par la route, la mer ou les airs – du cannabis, de la cocaïne ou des drogues de synthèse. L’équation des trafiquants est simple : cloisonner pour réduire les risques d’arrestation.

Des vendeurs et des guetteurs recrutés

Pour améliorer un peu plus encore le maillage de leur territoire, les dealers s’improvisent également Directeurs des ressources humaines. Depuis peu, les voilà capables de recruter des vendeurs ou des guetteurs, là encore totalement étrangers, à leur groupe. Du jamais vu jusqu’alors.

Tueurs à gages et mercenaires ultra-violents

Conquérir et reconquérir des territoires. Devenir toujours plus riches et puissants. L’appétit des « barons » du stup est illimité. Et passe souvent par l’usage de la force. « Le recours à des individus sous contrat par des narcotrafiquants pour éliminer leurs concurrents s’est amplifié » note la police judiciaire.

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FRANCE 🇫🇷 (bénéfice de la protection fonctionnelle): bienvenue en Absurdistan juridico-administratif et constat de la lâcheté des DG successifs de la Douane Française

Dans un arrêt en date du 13 janvier 2017, Mme Pauline Jolivet, rapporteur et le rapporteur public M. Edouard Crépey pour le Conseil d’État ont précisé, à propos d’un collaborateur du service public qui, en sa qualité d’aviseur des douanes avait été condamné pour trafic de stupéfiants par les juridictions anglaise et canadienne, qu’en estimant que si l’implication croissante de l’intéressé dans un réseau de trafiquants de drogue avait été encouragée à l’origine par l’administration des douanes, les faits pour lesquels il avait été condamné étaient dépourvus de tout lien avec les fonctions exercées en sa qualité d’ informateur de l’administration des douanes et étaient donc détachables du service.

En en déduisant qu’ils étaient constitutifs d’une faute personnelle de l’intéressé et que, dès lors, l’administration n’avait pas commis de faute de nature à engager la responsabilité de l’État en refusant de lui octroyer à ce titre le bénéfice de la protection fonctionnelle, la cour n’a pas commis d’erreur de droit ni d’erreur de qualification juridique des faits.

Dépourvus de tout lien avec les fonctions exercées…

Se basant uniquement sur les écrits de hauts fonctionnaires de Bercy et de la DG de la Douane française qui n’ont pris aucun renseignement auprès des acteurs de la période durant laquelle Marc Fievet, AKA NS 55 DNRED, était infiltré dans l’organisation criminelle de Pascuale Claudio Locatelli, allant jusqu’à refuser le témoignage de Christian Gatard, l’officier traitant de Fievet, qui précisait que : » Marc Fievet avait toujours fait preuve de la plus grande loyauté à l’égard des douanes françaises, notamment dans le cadre de son infiltration dans l’organisation Locatelli qui l’a exposé à de nombreux dangers. « . Ce témoignage faisait suite à la confirmation et certification des faits énumérés des différentes opérations réalisées durant l’action d’infiltration de Fievet.

Mais de tout cela, personne, absolument personne, des administrateurs civils ou douaniers de Bercy, madame Elizabeth Melscoet et messieurs Michel Baron, Thomas Charvet et Erwan Guilmin  agissant pour le ministre du Budget comme les magistrats du TA en allant jusqu’aux rapporteurs du Conseil D’État, Mme Pauline Jolivet et le Rapporteur public Edouard Crépey, personne n’en a tenu compte.

Oublié le fait que Fievet a plaidé coupable en Angleterre sur injonction de l’attaché douanier en poste à Londres, Philippe Galy et sur demande insistante du patron de la DNRED Bernard Pouyanné qui avait garanti que Fievet puisse plaider ‘non coupable’ au Canada.

Oublié que Christian Gatard, Bernard Roux , l’attaché douanier à Washington DC et le consul général de France, Olivier Arribe sont venus au Canada, dans les provinces maritimes lui demander de plaider coupable pour éviter de perturber le procès en cours contre les responsables des organisations criminelles canadiennes.

Oubliées encore les plus de cent tonnes de stupéfiants saisies durant l’action de Fievet auprès de la DNRED, du British HM Custom Excise, du SVA espagnol, du DEA et des autorités douanières allemande, hollandaise et portugaise.

Pourtant, il résulte d’un principe général du droit que, lorsqu’un agent public est mis en cause par un tiers à raison de ses fonctions, et ce principe général du droit s’étend à toute personne à laquelle la qualité de collaborateur occasionnel du service public est reconnue, il incombe à la collectivité dont il dépend de le couvrir des condamnations civiles prononcées contre lui, dans la mesure où une faute personnelle détachable du service ne lui est pas imputable, de lui accorder sa protection dans le cas où il fait l’objet de poursuites pénales, sauf s’il a commis une faute personnelle, et, à moins qu’un motif d’intérêt général ne s’y oppose, de le protéger contre les menaces, violences, voies de fait, injures, diffamations ou outrages dont il est l’objet.

Le requérant ayant été collaborateur du service public en sa qualité d’aviseur des douanes a été condamné pour trafic de stupéfiants par les juridictions anglaise et canadienne et Jean Henri Hoguet, un ancien patron de la DNRED, n’a pas hésité à parler du « chantier » monté contre Marc Fievet par les agents du HM Customs excise.

La cour a souverainement apprécié les faits dont elle était saisie, sans les dénaturer, en estimant que si l’implication croissante de l’intéressé dans un réseau de trafiquants de drogue a été encouragée à l’origine par l’administration des douanes, les faits pour lesquels il avait été condamné étaient dépourvus de tout lien avec les fonctions exercées en sa qualité d’ informateur de l’administration des douanes et étaient donc détachables du service.

« Dépourvus de tout lien avec les fonctions exercées… »

C’est donc ce que pensent les rapporteurs du Conseil d’État, certes des spécialistes des actions d’infiltration au sein des organisations internationales de narcotrafic et des opérations douanières en général, qui démontrent par là une totale méconnaissance des contraintes de ce type d’actions menées par les services spéciaux.

En déduisant qu’ils étaient constitutifs d’une faute personnelle de l’intéressé et que, dès lors, l’administration n’avait pas commis de faute de nature à engager la responsabilité de l’Etat en refusant de lui octroyer à ce titre le bénéfice de la protection fonctionnelle, nos éminents rapporteurs estiment que la cour n’a pas commis d’erreur de droit ni d’erreur de qualification juridique des faits.

SOURCE : Conseil d’État, 10ème – 9ème chambres réunies, 13/01/2017, 386799, Publié au recueil Lebon

Rodolphe Gintz questionné sur Erwan Guilmin

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Le dossier de Marc Fievet est classé « SECRET DEFENSE »

AVIS

Avis n° 2005-03 du 27 janvier 2005
NOR: CSDX0508078V

Vu la loi n° 98-567 du 8 juillet 1998, et en particulier ses articles 4 (2e alinéa), 7 et 8 ; Vu la lettre de saisine du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 16 décembre 2004 et la demande présentée le 17 novembre 2004 par Mme Sophie Clement, vice-présidente chargée de l’instruction au tribunal de grande instance de Paris, dans le cadre de l’instruction ouverte à son cabinet sur plainte de M. Marc Fievet concernant ses relations avec les douanes françaises ;

La Commission consultative du secret de la défense nationale, régulièrement convoquée et constituée, ayant examiné l’ensemble des documents classifiés qu’elle a recueillis au terme des investigations conduites par son président en vertu des pouvoirs que lui confèrent les articles 5 et 6 de la loi susvisée,

Émet un avis défavorable à la déclassification des pièces contenues dans le dossier établi au nom de M. Fievet, en sa qualité d’aviseur de la direction générale des douanes et droits indirects.

Fait à Paris, le 27 janvier 2005.
Pour la Commission consultative du secret de la défense nationale:
Le président,
P. Lelong

source:

https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=6686A6840C8BCEDB3986A4EB25B2F9E9.tpdila13v_1?cidTexte=JORFTEXT000000629551&dateTexte=&oldAction=rechJO&categorieLien=id&idJO=JORFCONT000000002264

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FRANCE (🇫🇷): à quoi ressemblera le « monde d’après » du trafic de stupéfiants ? Conférence sur l’évolution de la délinquance liée aux drogues en temps de confinement, avec S. Cherbonnier (OFAST – Police nationale) et Thierry Colombié (expert)

On en a parlé « chez vous », avec deux spécialistes du sujet, le mardi 16 juin de 18h à 20h.

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Alors qu’il était possible d’intervenir, VOULANT PARTICIPER, j’ai d’abord été accepté et dans la minute qui suivit, j’ai été écarté, sans pouvoir me reconnecter…

Entre spécialistes, on reste entre-soi !!!

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La  crise sanitaire du Coronavirus et la période de confinement de la  population qui été décidée par le gouvernement ont, au moins durant un  temps, considérablement bouleversé le paysage criminel.

Fermeture des frontières, attestations de sorties, multiplication des contrôles, baisse de la demande et de l’offre… la situation a modifié les pratiques des trafiquants et des consommateurs, ainsi que la nature des crimes et délits enregistrés depuis deux mois.

Malgré une chute estimée entre 30% et 40% pendant le confinement, le trafic et la revente de produits  stupéfiants ont connu des évolutions remarquables et le marché s’est immédiatement restructuré – parvenant à assurer les 60 % restant.

De la même manière, les services de lutte contre le trafic de stupéfiants, et notamment les services spécialisés de la police  judiciaire, ont du s’adapter à cette nouvelle configuration.

Quelles sont les conséquences de ces crises sur ces organisations et sur les services de police, à court et long terme ?

On en parle « chez vous », avec deux spécialistes du sujet, le mardi 16 juin de 18h à 20h.

Accès libre via l’application Zoom.

Intervenants

Thierry Colombié, économiste, spécialiste du crime organisé

Stéphanie Cherbonnier, contrôleuse générale de la police nationale et cheffe de l’office anti-stupéfiants

Le débat a été animé par Christophe Soullez, chef de l’ONDRP.

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FRANCE 🇫🇷 (OFAST): les narcos s’adaptent plus vite que ne savent réagir les services officiels*

Malgré la crise sanitaire et les nombreuses mesures restrictives de déplacement, les organisations criminelles n’entendent pas abandonner le trafic et cherchent comment s’adapter aux nouvelles conditions imposées à leur commerce illégal qui leur permet, en temps normal, de fournir chaque mois en moyenne 35 tonnes de cannabis, 2 tonnes de cocaïne, 850 kg d’héroïne ou encore 500 000 comprimés d’ecstasy.

Dans un document intitulé « Note de situation sur l’impact du coronavirus sur la criminalité liée au trafic de stupéfiants », de la fin du mois de mars, l’office antistupéfiants (OFAST) de la police judiciaire revient sur la situation du trafic et décrit les moyens par lesquels les groupes criminels tentent de contourner les restrictions liées à la crise sanitaire pour continuer à acheminer de la drogue sur le territoire français.

Fin des « mules » et des « go fast »

L’OFAST note tout d’abord que « tous les vecteurs par lesquels les stupéfiants alimentent les points de vente sont fortement ralentis ou à l’arrêt complet. Cette situation ne permet plus d’acheminer les quantités auxquelles le marché s’était habitué. Le contexte de la lutte contre les trafics a ainsi radicalement changé. »

« L’arrêt des importations a interrompu l’arrivée de grandes quantités de stupéfiants qui sont en attente sur le territoire espagnol », souligne l’OFAST.

C’est par exemple le cas des « mules » transportant de la cocaïne au départ de Cayenne vers la métropole, dont le flux s’est totalement estompé depuis le 21 mars, souligne l’office.

LIRE

*Ne serait-ce que pour obtenir des masques, produits totalement légaux, et sans risques à acquérir, nous constatons la totale incapacité des décideurs et des services! C’est vrai que les commissions occultes en retour , cela se négocie et fait prendre du retard à la finalisation du deal!

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FRANCE 🇫🇷 (Vannes): des régaliennes inefficaces et…un citoyens excédé, menacé par les dealers du trafic local de stups, qui veut mobiliser

Un Vannetais de 52 ans veut fédérer les riverains qui n’en peuvent plus du trafic de drogue. Il a créé une adresse mail pour ceux qui sont prêts à s’opposer aux trafiquants.

« Je vous informe qu’à aucun moment je compte me laisser intimider par ce type de menaces, générées par les dealers du secteur qui m’ont conseillé de ne plus remettre les pieds dans le quartier. »

Dans le courriel, qu’il a adressé, samedi 29 février 2020, au directeur départemental de la sécurité publique, à la mairie de Vannes et à la préfecture du Morbihan, Stéphane se montre particulièrement déterminé.

L’incident, qui a mis le feu aux poudres, est survenu quelques heures plus tôt.

Le quinquagénaire allait faire une course, au Carrefour express du square de La Bourdonnaye (photo à droite), comme il a l’habitude de le faire, lorsqu’il a été pris à partie par deux individus. « J’étais en train de regarder mon portable, raconte-t-il. Ils pensaient que je les filmais et m’ont demandé de leur donner mon téléphone. J’ai refusé et quand je suis sorti du magasin, je me suis aperçu, en reprenant ma voiture, que mon pneu arrière gauche avait été volontairement dégonflé. »

Dans son mail, Stéphane évoque la possibilité, s’il n’est pas entendu par les autorités, de « mettre sur pied une milice suffisamment efficace pour pouvoir, au moins, accéder au commerce de La Bourdonnaye sans devoir rendre des comptes à des individus se réclamant les chefs du quartier. »

la mairie de Vannes

« Un sentiment d’impunité »

Un terme fort que cet habitant de Saint-Guen de 52 ans, parfaitement inséré dans la vie active, revendique. « Parler de milice, c’est un peu de la provoc’, admet-il, mais il y a un fond de réalité. On n’est pas loin de ne plus pouvoir passer dans le quartier, sans avoir à se justifier… »

Estimant que le trafic « gagne du terrain » et de la visibilité, le Vannetais a décidé d’agir. « Il y a un sentiment d’impunité chez les trafiquants. Les habitants en ont marre, mais commencent à avoir peur. Certains envisagent de quitter La Bourdonnaye. Mais leur céder le territoire, ce n’est pas la solution. »

Plutôt que de se résigner, le Vannetais veut croire qu’il est possible d’agir, notamment auprès des pouvoirs publics, pour chasser les trafiquants. « Si les habitants estiment que les trafiquants ne sont pas les bienvenus, la peur peut changer de camp, assure Stéphane, qui estime que « les policiers sont actifs, mais ce n’est pas suffisant. »

« On ne peut pas tolérer ça »

Insuffisant, c’est aussi ce qu’estime un autre quinquagénaire vannetais, qui réside à proximité du quartier de Ménimur. Avec une poignée d’autres habitants, qui ne veulent plus voir le trafic de stupéfiants gangrener leur ville, il a décidé d’agir, en rebaptisant les noms de rue du quartier : « Avant, le trafic se faisait dans les caves, puis dans les halls d’immeuble. Maintenant, c’est sur le trottoir. On ne peut pas laisser faire ça pour nos ados. On ne peut pas tolérer ça. »

« Ça va se terminer comment ?, s’inquiète un jeune habitant dont l’appartement donne la rue Sonia-Delaunay, nouveau haut lieu du trafic à Ménimur. Maintenant, ils affichent carrément les prix sur les murs. Un jour, il ne faudra pas s’étonner qu’ils soient armés. »

C’est pour éviter cela que Stéphane a décidé de fédérer tous ceux qui ne veulent pas voir le trafic de stupéfiants l’emporter.

En créant une adresse mail:

vannesdealstop@gmail.com

SOURCE

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Que vous soyez commissaire de police, député, douanier, élu régional, énarque, enseignant, facteur, gendarme, gardien d’immeuble, journaliste, policier, magistrat, maire, médecin, militaire, notaire, officier, sous-officier, sénateur… ou simple citoyen, toutes informations « sensibles » que vous pourriez détenir sur le narcotrafic, intéressent « Aviseur international ».

Naturellement, votre anonymat sera garanti.

Premier contact:

WhatsApp: 33 (0) 6 84 30 31 81

ou

ns55dnred@outlook.fr

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PAYS BASQUE (supermarché de la drogue): héroïne bon marché, amphétamines et boom du cristal

Le marché basque de la drogue est en plein essor.

Au cours de la dernière décennie, près de quatre tonnes de différents stupéfiants ont été saisies. Et cela leur donne une vision globale de ce qui bouge: ce qui est acheté et ce qui est consommé. Comme dans le reste du pays, l’héroïne, la « foutue » drogue des années 80, est de retour.

Dans ce supermarché particulier, il y a aussi les amphétamines. Au cours des dix dernières années 250 kilos ont été saisis dans différentes opérations anti-drogue. Pas mal compte tenu des autres records: 2 642 kilos de marijuana, 997 kilos de cocaïne, 512 de speed et 37 d’héroïne, ainsi que deux tonnes de précurseurs.

Dans le cas de l’héroïne, cette année en à peine deux mois, les opérations effectuées ont permis de taper pas moins de 16 kilos, un peu plus d’un tiers de ce qui a été réalisé depuis 2010. Comme l’a dit à Europa Press le responsable de  l’UDYCO (Unité des Drogues et du Crime Organisé) de la Police Nationale de Bilbao, le «cheval» est revenu parmi les stupéfiants  le plus commercialisé par les «narcos», qui recherchent «le plus d’argent avec le moindre risque »et ne savent pas« quelle drogue est la plus nocive ».

Selon lui, les stupéfiants qui sont au Pays Basque «font beaucoup de dégâts». Par conséquent, ils considèrent qu’il est essentiel que « tous les niveaux » soient impliqués dans la sensibilisation aux drogues et la lutte contre le trafic et la consommation.

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GUYANE 🇫🇷 (port de Pariacabo): c’est l’OFAST qui devra enquêter sur cette saisie de cocaine

Le 5 août, à Kourou, les gendarmes ont saisi près de 8 kg de cocaïne fixés sur la coque d’un bateau servant au transport des fusées Ariane et Soyouz.

Le bateau s’apprêtait à quitter le port de Pariacabo pour retourner dans l’hexagone. Le procureur de la république a confirmé hier cette information révélée mardi par la page facebook « Le Kouroucien »

La drogue était fixée à la coque du navire

La drogue était cachée dans une caisse aimantée fixée à la coque du MN Toucan, l’un des navires qui amène en Guyane les éléments des fusées Ariane et Soyouz.

LIRE

L’enquête a été confiée à l’OFAST, le nouveau service de lutte contre les trafics de stupéfiants. Un dossier transmis ce jeudi à la Juridiction Interrégionale Spécialisée de Fort de France. Une enquête dans un milieu sensible, celui du spatial, avec plusieurs questions : depuis combien de temps durait ce trafic et y a-t-il eu des complicités en interne ?

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