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MAROC 🇲🇦 (Tanger) : l’arrestation de Sofiane Hambli ne serait-elle due qu’à un différend financier avec son ex-compagne

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MAROC 🇲🇦 (Tanger) : suite un règlement de comptes, Sofiane Hambli aurait été admis dans un service d’urgences

Information à vérifier!

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MAROC 🇲🇦 (Tanger) : Sofiane Hambli se serait fait tirer dessus

Source: Jérôme Pierrat

Breaking news… Sofiane Hambli se serait fait tirer dessus à Tanger ce matin. Dans le coma…

Rectif.

Plutôt attaqué au sabre et coups de marteau à la tête et trois doigts et tendons d’achille coupés.

Et c’était hier soir. Des gens envoyés par un associé mécontent…. dont on taira le nom.

Information à vérifier!

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FRANCE 🇫🇷 (OFAST): Sofiane Hambli à nouveau réincarcéré

Sofiane Hambli  a été écroué ce mercredi 9 décembre, dans la matinée, par la chambre de l’instruction de Paris, et incarcéré au centre pénitentiaire de Fleury-Mérogis (Essonne).

Sofiane Hambli, qui s’est présenté, ce mercredi devant les juges parisiens, bien que contestant formellement sa participation dans l’affaire qui lui vaut ces ennuis judiciaires, a été interpellé à la barre.

Pour Maître Hugues Vigier, cette décision d’incarcération, et surtout la manière dont cela s’est déroulé, démontre un comportement déloyal qui relève de la toute-puissance des magistrats…

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Pour mémoire, le 17 octobre 2015, les douaniers de la DOD (Direction des opérations douanières) de la DNRED avaient opéré une saisie de sept tonnes de cannabis dans trois camionnettes garées sur le boulevard Exelmans à Paris (XVIe). Cette saisie digne d’une action de pieds nickelés n’avait permis que de foutre un bordel incroyable et déclenché perquisitions et autres velléités judiciaires qui n’avaient permis que de provoquer une cascade de mise en examen de membres de la haute hiérarchie douanière. Le responsable de cette catastrophe n’est autre qu’Erwan Guilmin,

L’enquête révélera que Sofiane Hambli était derrière cette impressionnante importation de drogue et la poursuite des investigations a démontré que Sofiane Hambli opérait pour le compte de l’OCRTIS  et que des magistrats ne pouvaient pas ne pas savoir les « opérations myrmidon » que menaient François Thierry. D’ailleurs la mise en examen de Véronique Degermann, la procureure adjointe de Paris, pour «complicité de faux en écriture publique» en est la preuve. Bien que Véronique Degermann dit avoir été «instrumentalisée» et «abusée» par François Thierry…

Qui a permis la libération de Sofiane Hambli qui purgeait une peine de 18 ans de prison au bout de quatre ans?

Seul un TAP (Tribunal d’application des peines) peut le faire!

(Pour mémoire, le président Petit du TGI de Nantes qui a enlevé la période de sureté que Marc Fievet avait récolté après sa condamnation en France à 20 ans de détention, lui avait dit: «  Avec les documents qui sont dans votre dossier, plus destinés à obtenir la légion d’honneur qu’ à être en prison, je ne peux rien faire de plus pour vous! » Fort ce ces déclarations, Fievet avait demandé une libération conditionnelle au JAP Coffre qui œuvrait au centre de détention de Nantes qui lui avait dit alors qu’il n’avait pas les moyens techniques de le faire sortir !!! Difficile à croire à postériori! Mais il est vrai que Fievet n’a jamais pu constater le moindre soutien des hautes autorités douanières et de Bercy qui, de mensonges en silences et déformations des faits ont préféré se taire ou, plus grave, lancer la rumeur que Fievet s’était mis à son compte pour importer plus de 5 tonnes coke. Le courage de ces hiérarques douaniers n’est pas une des qualités premières qu’ils peuvent mettre en avant.)

Connaissant, par expérience personnelle, les méthodes parfois spéciales, souvent tortueuses pour ne pas écrire tordues et trop souvent au delà de la ligne jaune des services actions de ces services, je ne serais pas autrement surpris que la réincarcération de Sofiane Hambli serait le résultat d’une énième manipulation orchestrée par l’OFAST.

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FRANCE 🇫🇷 (OFAST): Sofiane Hambli a  été interpellé, mardi 24 novembre 2020 dans la soirée à Bordeaux

Placé en garde à vue, les policiers de l’OFAST auront 96 heures pour l’interroger sur un projet d’importation de cannabis qui aurait bien pu lui coûter la vie.

Me Hugues Vigier, l’avocat de Hambli, assure qu’il « ne connaît encore rien de ce dossier ». « Je ne peux pas imaginer que mon client soit impliqué dans une nouvelle affaire liée aux stupéfiants, avance-t-il. Mais compte tenu de sa réputation, je ne serais pas étonné qu’on essaie de lui faire endosser ce genre de faits ».

Rappel mémoire

Erwan Guilmin

Le 17 octobre 2015, les douaniers de la DOD Paris d’Erwan Guilmin de la DNRED avaient saisi sept tonnes de cannabis dans trois fourgonnettes garées dans le XVI e arrondissement sur le boulevard Exelmans.

L’enquête révélera que Sofiane Hambli était derrière cette importation de cannabis et les investigations ont démontré que ce dernier opérait pour le compte de l’ OCRTIS, rebaptisé depuis en OFAST.

Par effet boomerang, les investigations menées par la Gendarmerie, l’OCRTIS ayant été dessaisi du dossier, précipiteront la DNRED dans une tourmente dont elle n’est toujours pas remise.

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FRANCE 🇫🇷 (OCRTIS – Affaire François Thierry): Libé gagne devant la cour d’appel…en attendant le pourvoi en cassation

L’ancien patron des Stups a été débouté par la cour d’appel de Paris après quatre ans de procédure. Il avait porté plainte pour diffamation après la publication d’une enquête révélant son rôle central dans l’importation de cannabis en France.

Après plus de quatre ans de procédure, le commissaire François Thierry vient d’être débouté par la cour d’appel de Paris de l’ensemble des demandes qu’il avait formulées à l’encontre de Libération. L’ancien patron de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis) avait en effet porté plainte en diffamation contre notre journaliste Emmanuel Fansten et notre ancien directeur délégué de la rédaction Johan Hufnagel en raison d’une enquête et d’un éditorial publiés dans notre édition du 23 mai 2016. Les deux articles s’inscrivaient dans un dossier de cinq pages repris à la une sous le titre : «Révélations sur un trafic d’Etat.»

Reste la principale question que posait l’éditorial

«Comment un tel trafic de stupéfiants a-t-il pu se monter au nez et à la barbe de la hiérarchie, des magistrats, des parquetiers, des politiques et des premiers flics de France, de Guéant à Cazeneuve?»

Cinq ans après, elle se pose toujours et les deux informations judiciaires visant François Thierry sont toujours en cours d’instruction à Bordeaux et Lyon.

Dans ce dossier, deux magistrats, Véronique Degermann et l’ancien juge des libertés et de la détention (JLD), devenu président de chambre à la cour d’appel de Paris, David Peyron, sont soupçonnés d’avoir donné un cadre juridique fictif à l’opération.

Depuis notre enquête, l’ancien patron des stups a été mis en examen pour «complicité de trafic international de stupéfiants», «association de malfaiteurs» et «complicité de faux en écriture publique». 

SOURCE ET PLUS

François Auvigne | Aviseur International | Page 2

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ESPAGNE 🇪🇸 (Marbella): la Policia nacional enquête sur la mort par arme à feu d’un homme de nationalité française

Des individus seraient entrés par effraction chez lui alors qu’il célébrait une fête avec des amis à Marbella.

Les événements se sont produits aux premières heures du jeudi au vendredi.

L’individu a reçu une balle dans la tête, même s’il pourrait y en avoir plus, une fin qui confirmera l’autopsie prévue ce week-end.

Le cadre était une maison située dans une zone de villas de luxe dans la zone d’influence de Puerto Banus. Là, où les auteurs présumés ont brisé l’une des fenêtres à l’aide d’un pied de biche.

Une fois à l’intérieur, en raison de circonstances encore à l’étude, une fusillade a commencé par plusieurs coups. L’un d’eux a frappé la victime à la tête, ce qui a causé sa mort.

L’affaire est en cours d’instruction par l’Unité Drogues et Crime Organisé (Udyco

Les enquêtes tournent désormais autour de la question de savoir si la victime, bien connue à Puerto Banús, était la principale cible des assaillants ou n’avait aucun lien avec eux.

L’enquête se concentre également sur l’environnement du défunt, ce qui aidera à clarifier les faits.

SOURCE

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Cette affaire a donné sans aucun doute naissance à la rumeur de la mort de Sofiane Hambli.

FRANCE 🇫🇷 (Assises spéciales): le sort de Robert Dawes est réglé!

Robert Dawes, 46 ans, né à Nottingham, est accusé d’avoir dirigé une opération de contrebande de 1,3 tonne de cocaïne, en France par un vol en provenance du Venezuela en 2013.       

Deux autres Britanniques, nommés Nathan Wheat et Kane Price, sont également accusés de trafic, ainsi que trois Italiens qui seraient liés à la Camorra, le présumé syndicat du crime basé à Naples.

Accusé d’être l’un des importants trafiquants de drogue en Europe, Dawes a été arrêté en 2015 dans sa  somptueuse villa située sur la Costa del Sol, en Espagne.
L’arrestation fait suite à une opération internationale initiée par la National Crime Agency (NCA) britannique, qui a révélé un réseau de responsables européens corrompus et des failles de sécurité ayant de graves conséquences pour le terrorisme.

Cette image a un attribut alt vide ; son nom de fichier est ocrtis1.jpg

L’OCRTIS, une des agences françaises de lutte contre le narcotrafic, était dans le coup en tant que « bagagistes corrompus » à l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle à Paris pour intercepter 31 valises contenant de la cocaïne appartenant à des passagers «fantômes» arrivant du Venezuela.

Des éléments de preuve indiquant que Dawes et ses collaborateurs britanniques avaient organisé l’envoi à l’aide de téléphones cryptés ont été trouvés.

Nathan Wheat, qui aurait utilisé le pseudonyme de Marcus, a organisé une réunion à la Tour Eiffel avec des agents français de l’OCRTIS, pour donner des instructions pour que la cocaïne soit livrée en quatre lots de 300 kilos. Le premier chargement qui est sorti sans encombres de l’aéroport a été intercepté à la frontière allemande et tous les suspects ont été arrêtés en France en 2013, à l’exception de Robert Dawes.

La chasse au Boss de l’opération a ensuite commencé sérieusement dans le cadre d’une opération conjointe de la NCA et de la police espagnole. Son arrestation en Espagne a été considérée comme le plus grand succès de la NCA depuis sa création en 2013 par Theresa May, alors secrétaire à l’intérieur.

François Thierry qui a comparu en tant que témoin au jugement de Robert Dawes a noyé le poisson par un long discours sur la méthodologie policière de l’OCRTIS en refusant de répondre aux questions des avocats de la défense. Pourtant, la vérité sur cette opération aurait permis de mieux comprendre cette affaire puisque François Thierry, ancien responsable de l’agence française OCRTIS, était aux manettes! Sofiane Hambli, un important narcotrafiquant, qui était la caution morale de François Thierry dans cette opération, a refusé de témoigner invoquant le fait qu’il n’avait pu prendre conseil auprès de son avocat!

Depuis, François Thierry a été soupçonné de complicité de trafic de drogue et a perdu sa qualité d’OPJ (officier de police judiciaire). Robert Dawes, de son coté, aurait accusé un représentant d’un cartel colombien d’avoir fait passer de la drogue en contrebande dans la plupart des aéroports et ports européens en utilisant un réseau de fonctionnaires corrompus…

Les sentences devraient être prononcées vendredi 21 décembre.

Ce sera l’hiver à coup sûr pour Robert Dawes!

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FRANCE (Affaire François Thierry – OCRTIS – DNRED): Sofiane Hambli a refusé de renoncer au principe de « spécialité »

par Claire Andrieux

Récemment remis en liberté sous contrôle judiciaire

Sofiane Hambli a récemment été remis en liberté, placé sous contrôle judiciaire dans une affaire où il est mis en examen pour trafic et pour laquelle il avait pourtant aussi travaillé comme informateur pour la police: la saisie de 7 tonnes de cannabis par les douanes à Paris en 2015.

Il avait été remis à la France par les autorités belges sur mandat d’arrêt en 2016, ce qui empêche la justice française de le poursuivre pour d’autres affaires aujourd’hui, en vertu du principe de « spécialité ».

Sauf s’il renonce à ce principe.

Sans surprise, il a refusé d’y renoncer vendredi, face aux policiers de l’IGPN, la police des polices. Le magistrat lyonnais va devoir demander une extension de compétence aux autorités belges pour pouvoir le mettre en examen et peut-être le remettre en prison.

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DNRED – OCRTIS (antistups à la Française): comment repartir sur de nouvelles bases avec de tels dirigeants?

Hambli recruté, Hambli exploité mais Hambli libéré!

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L’homme faisait bander tous les hiérarques de l’OCRTIS et de la DNRED.

Son carnet d’adresse pouvait permette à tous ces planqués de se faire mousser auprès de ministres toujours trop contents de poser devant des saisies bidons mais spectaculaires.

Ces escrocs de la fonction publique n’ont aucun honneur et seuls, pour eux, compte l’esbroufe et le déroulement optimisé de la carrière.

Je viens de relire les dépositions des douaniers suite à la plainte que j’avais déposée…

Des tissus de mensonges et de demi vérités.

Le gars de l’IGPN qui était au stylo était un faible enquêteur pour ne pas relever les incohérences des dépositions tellement ressemblantes.

Vous êtes la honte de ces régaliennes que j’ai servies avec la plus grande loyauté.

Vous êtes des canailles institutionnelles, c’est le seul constat possible aujourd’hui !

Marc Fievet aka NS 55 DNRED

PS:

J’ai été maintenu plus de 10 longues années (3.888 jours) dans des geôles de 4 pays « dits civilisés » sans jamais obtenir ne serait-ce qu’une seule journée de sortie…
Les nombreux fonctionnaires de justice de « japerie » rencontrés m’ont permis de constater une totale incapacité pour prendre des décisions sensées en se planquant tous derrière le sacro-saint Dalloz!
J’ai également constaté l’attitude scélérate de François Auvigne, un dg de la douane française, à qui je dois plus de 75 mois de détention en France comme celle des administrateurs Thomas Charvet et Michel Baron spécialistes de la réinterprétation des faits.
Un seul viendra témoigner, c’est Jean Henri Hoguet, ex directeur de la DNRED, devant la cour d’appel qui devait juger la plainte pour diffamation déposée par le Ministre Michel Charasse contre moi!
« J’avais osé dire que le ministre m’avait lâché! »
Jean Henri Hoguet soulignera avec force le caractère scandaleux de ma présence en prison!Aujourd’hui, les dalloziens libèrent Sofiane Hambli qui doit apprécier une telle mansuétude!
Quel gâchis!
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FRANÇAISE des stups (DNRED VS OCRTIS): à la DNRED, le mensonge fait parti du quotidien depuis des décennies

Interpellé en Belgique après quatre mois de cavale, le trafiquant est rapatrié en France dans un hélicoptère du GIGN.

Dépaysée depuis à Bordeaux, l’enquête a du plomb dans l’aile.

En juin, la chambre de l’instruction a rendu un arrêt au vitriol, estimant que la procédure douanière ayant conduit à la saisie parisienne est entachée d’irrégularités.

L’enquête a en effet démontré que, contrairement à leurs premières déclarations, les douaniers «travaillaient» depuis longtemps sur Sophiane Hambli, sur fond de rivalités entre services.

Une demande de supplément d’information a été demandée avant d’examiner à nouveaux les requêtes en nullité, qui pourraient faire tomber toute la procédure.

Mais Sophiane Hambli est également mis en cause dans une autre enquête instruite par des magistrats lyonnais. Selon nos informations, il a récemment été placé en garde à vue dans cette procédure dite «Avoine», ouverte notamment pour«faux en écriture publique» et «association de malfaiteurs».

Une enquête qui vient de s’accélérer, avec la garde à vue, il y a deux semaines, de François Thierry et de deux hautes magistrates du parquet de Paris. Le dossier pourrait connaître de nouveaux rebondissements dans les prochaines semaines.

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https://www.liberation.fr/france/2018/10/24/affaire-des-stups-l-hallucinante-liberation-du-trafiquant-indic_1687622

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FRANÇAISE des STUPS 🇫🇷 (Justice): nos dalloziens ont ouvert la porte à Sofiane Hambli

Des dallozziens de Nancy et Paris avaient arrangé une garde à vue fantôme dans une chambre de l’hôtel Mercure de Nanterre le 3 avril 2012 !

Aujourd’hui, les dalloziens de Bordeaux ont décidé qu’il était temps de remettre dehors Sofiane Hambli, trafiquant notoire, condamné à 14 ans de prison, qui s’était vu promettre une sérieuse remise de peine s’il acceptait de passer commande de plusieurs tonnes de cannabis à son ancien lieutenant, installé en Algérie.

Sofiane Hambli, l’informateur préféré de Françaois Thierry, donc de l’OCRTIS, avait pu téléphoner de sa cellule à Nancy, comme il le faisait régulièrement d’ailleurs ; si ce n’est que dans ce cas précis les agents de l’OCTRIS tenaient à être à ses côtés pour ne rien rater de la séquence et donner en temps réel leurs informations et ordre en Espagne.

D’où l’organisation de la fausse garde à vue.

La fausse garde à vue avait été prolongée, après l’intervention de Véronique Degermann , selon sa collègue de permanence le même jour. Mais pas de chance, Véronique Degermann a perdu la mémoire lorsque les bœufs-carottes de l’IGPN la mettent en garde à vue il y a quelques jours.

A Bordeaux, pas loin de la maison ENM, les dalloziens de la chambre de l’instruction n’ont pas encore dit s’ils décidaient de passer par pertes et profits la saisie d’octobre 2015 du Boulvard Exelmans….

Souvenez vous, même Michel Sapin avait trainé son copain François à la DNRED où seule Hélène Crocquevieille, la DG de la Douane française était là pour le recevoir accompagnée bien sûr de l’énarque du service,le directeur de la DOD Erwan Guillemin.

Jean Paul n’était pas là, retenu pour affaires familiales…Savait-il que la DOD allait taper 7 tonnes Bd Exelmans? Jean Paul faisait totale confiance à ses directeurs qui ne lui disaient pas tout! Lui, n’avait pas ses propres taupes auprès de chacun d’entre eux! Depuis, dans son immense sagesse, la DG l’a mis dans un placard comme chef d’un obscur poste à Bordeaux en attendant de connaitre les suites de sa mise en examen décidé par la juge d’instruction parisienne Aude Buresi pour « détournement de fonds publics par négligence« .

La liberté pour Sofiane

Comment ne pas être surpris de cette élargissement décidé par des dalloziens au sens de discernement limité à la seule lecture du Dalloz, la seule chose qu’il semblerait qu’on apprenne à l’ENM.

« L’Etat de droit, se gargarisent-ils à longueur de séances entre deux rires, de quelques remémorations de soirées entre-soit, de vacances passées entre-soit et du prochain mercato-dallozien! »

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Mais revenons à notre affaire de la « Française des Stups » qui défraie la chronique depuis de trop nombreuses années maintenant!

Quid de François Thierry, l’homme qui portait des valises et savait parler à l’oreille des narcos? Pour l’instant, il est toujours payé par les deniers publics!

Quid du magicien Erwan Guilleminn, responsable d’un tour de passe-passe assimilable à une dissimulation de preuves. Il a été mis en examen ? Aura-t-il le courage de démissionner? Mais non, entre énarques, on se soutient! Une promotion, c’est sûr!

Quid de Magalie Noël, la numéro trois de la DRD, le service de renseignement de la DNRED, qui a été mise en examen pour « complicité d’importation et détention en bande organisée de marchandise contrefaite, escroquerie en bande organisée et détournement de fonds publics ».?

Quid de Pascal Schmidt, le responsable de l’échelon DNRED du Havre, qui est poursuivi pour ainsi que pour « complicité d’importation et détention en bande organisée de marchandise contrefaite, escroquerie en bande organisée et détournement de fonds publics corruption passive, destruction de preuves et faux et usage de faux ».

Quid de Vincent Sauvalère, parti en 2014 à l’Office européen de lutte antifraude de Bruxelles, où il dirige l’unité « tabac et contrefaçons ». qui a été, en juillet dernier, la cible de deux perquisitions, à son bureau et à son domicile bruxellois! Il n’est plus à Bruxelles!

Quid du trop confiant Jean Paul Garcia, mis en examen pour « détournement de fonds publics par négligence »?

Quid de l’enregistrement de 2010 réalisé rue de Charonne par la DRD?

Quid des « douaniers encaisseurs » de Roissy aux magots établis en Andorre et ailleurs?

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L’agent infiltré NS 55 de la DNRED a été maintenu plus de dix ans en prison sans une seule journée de sortie.

Il a tout au long de ce chemin de croix à 23 stations-prisons rencontré de nombreux fonctionnaires de justice en Japerie incapables de prendre une décision sensée, se planquant tous derrière le sacro saint Dalloz.

Constaté également l’attitude scélérate de François Auvigne le DG de la Douane française comme des administrateurs Thomas et

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NARCOTICS (OCRTIS France): 3 tonnes de cannabis qui risquent de peser lourd dans la défense de François Thierry

7 février 2015 – Port espagnol d’Adra

Ce soir-là, peu avant minuit, un bateau de pêche enregistré au Maroc, le Zaidi 3, s’amarre dans la partie la plus isolée du port. En à peine une demi-heure, 110 ballots de résine de cannabis (plus de 3,3 tonnes) sont déchargés du bateau avant d’être empilés dans un camion.

Cinq policiers espagnols observent discrètement la scène sans intervenir, se rappelant peut-être l’époque du GAL.. Mais aujourd’hui, c’est à la demande expresse de l’OCRTIS (L’office des stups français) qu’ils vont surveiller le déchargement puis escorter le camion jusqu’à la frontière, où des policiers français doivent prendre le relais.  La marchandise va ainsi remonter jusqu’à un entrepôt situé au Grand-Quevilly, dans la région de Rouen, sous le contrôle étroit de l’Office des stups.

Opérations «Myrmidon»

Dans sa demande officielle de livraison surveillée adressée le 11 décembre 2014 à son homologue espagnol, le patron de l’OCRTIS François Thierry évoque l’action de «différents groupes de trafiquants résidant dans les régions de Montpellier et Bordeaux» et livre des détails sur le dispositif en cours : «Les clients français font l’objet d’enquêtes judiciaires en France, et cette phase cruciale permettra de procéder à des arrestations et au démantèlement de plusieurs organisations.»

En réalité, le bilan s’avérera bien plus maigre que prévu. Sur plus de 3 tonnes de cannabis importées à cette occasion sous l’égide de la police française, seuls 210 kg seront saisis quatre mois plus tard par les douanes. Même pas un dixième de la quantité totale.

Interrogé en août 2017 sur cette étrange disparition, François Thierry a juré avoir fait le nécessaire en informant les autorités locales. «Il a été annoncé de manière certaine à la PJ de Rouen et au parquet de Rouen l’arrivée d’une quantité importante de cannabis ainsi que l’adresse de l’entrepôt et il leur appartenait d’y donner les suites classiques», a-t-il affirmé face aux juges.

«On a passé la main à la PJ locale, je ne peux pas être comptable de ce qu’ont fait ou n’ont pas fait les services destinataires des informations qu’on leur donne.» a martelé François Thierry.

Pour le patron de la PJ de Rouen, Jérôme Martin: «Je ne sais absolument rien de cette opération, à cette date, nous n’avons aucune information, ni moi ni aucun de mes collaborateurs, sur une arrivée de produits stupéfiants dans la région rouennaise, il est évident que sur une quantité de stupéfiants aussi importante, le parquet aurait été immédiatement avisé et une grosse partie du service mobilisé pour des surveillances continues.»

Où sont passées les 3,3 tonnes importées sous la protection de l’Office des stups ? A qui cette drogue était-elle destinée ?

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Des juges «pas informés»

Selon les explications fournies à la justice par François Thierry, cette importation avait d’abord pour objectif de crédibiliser Sofiane Hambli (photo) en tant que logisticien afin de lui permettre d’infiltrer une organisation rivale. Baptisée «Janissaire», l’opération ultra-secrète, présentée comme «inédite en Europe», visait à mettre en œuvre «une logistique complète d’importation de stupéfiants pour éradiquer plusieurs réseaux d’acheminement».

Sauf qu’aucun réseau n’a été démantelé et que la mystérieuse opération continue d’intriguer les magistrats.

En clair, ni les magistrats ni les services de police concernés par l’importation n’en auraient été informés.

Lire la suite sur Libération

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FRANCE (DNRED – Douane française): l’indic qui a coulé les douanes

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Le port du Havre

La carrière de Zoran Petrovic débute il y a près de trente ans.

Condamné plusieurs fois pour vols et séjours irréguliers en France, le Serbe est «tamponné» dès la fin des années 90 par la brigade de répression du banditisme, avec qui il entame une collaboration régulière. Mais c’est surtout avec les douanes que Zoran Petrovic va réaliser ses plus belles affaires à partir de 2007. Très introduit dans le milieu yougoslave et la mafia chinoise, il fait principalement dans la contrefaçon de produits alimentaires, vestimentaires et pharmaceutiques. Selon des fiches de renseignement interne, sa fiabilité est alors jugée «très bonne». Charismatique, l’homme a la réputation d’être capable de se fondre dans tous les milieux. Ses connexions dans les Balkans lui permettent d’avoir un pied dans le trafic d’armes. En novembre 2013, les douanes saisissent ainsi neuf kalachnikovs et 18 chargeurs grâce à un de ses tuyaux.

Entre-temps, Zoran Petrovic est aussi devenu une source occasionnelle du renseignement intérieur. Pour compléter le tableau, son nom apparaît en marge du dossier «Opéra», portant sur l’importation de plusieurs centaines de kilos de cocaïne via le port du Havre, en lien avec un cartel colombien. Cette opération n’aurait finalement jamais vu le jour, mais Zoran Petrovic sera à nouveau sollicité dans le cadre d’un autre dossier de stups, cette fois pour aider des douaniers à écouler discrètement plusieurs kilos de came.

lire le portrait Par Emmanuel Fansten : http://www.liberation.fr/france/2017/05/24/l-indic-qui-a-coule-les-douanes_1572060

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DNRED (action d’infiltration): l’exception française

L’infiltration des grands réseaux mafieux est un travail à haut risque et ne permet aucune erreur de la part de l’élément infiltré.

La mort est souvent la résultante directe des bévues commises parfois involontairement et, la récompense, comme la reconnaissance des institutions publiques sont inexistantes.

La justice quant à elle ne fait pas preuve de discernement dans ses décisions. La France restant en effet, le seul pays à refuser de considérer la spécificité des « actions » des « Services », qui ne bénéficient d’aucune juridiction où cette particularité serait prise en compte.

On s’en remet à la « sagesse » d’une des trois cents juridictions différentes qui peuvent traiter ces affaires et se voient alors très souvent opposer le secret défense!

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