Dans un communiquĂ© de presse, la Ligue des droits de l’Homme dĂ©nonce ce « lien raciste entre « drogue » et « arabes » » et appelle « Ă la vigilance de tous les dĂ©mocrates, Ă©lus, partis, syndicats et associations ». Un amalgame qui « exprime sans ambiguĂŻtĂ© aucune, la mise au ban dâune partie de la population« , poursuit la LDH, avant d’en appeler « Ă©galement Ă ne pas confondre les personnes victimes dâaddiction avec les rĂ©seaux criminels ».
« Non Ă l’instrumentalisation raciste et xĂ©nophobe »
Sur Twitter, le prĂ©sident du conseil exĂ©cutif de Corse regrette, lui aussi, ces dĂ©rives. « Non Ă la drogue. Non Ă ceux qui la vendent ou en tirent profit, quelle que soit leur origine ou leur condition sociale. Non aussi, au nom des valeurs universelles du peuple corse et de son Histoire, Ă l’instrumentalisation raciste et xĂ©nophobe du combat contre la drogue », Ă©crit-il.
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