Aviseur International renseigne sur la problématique de la drogue, du narcotrafic et sur les politiques mises en œuvre par les différents Etats. ———- CONTACT par email: ns55dnred@outlook.fr ou WhatsApp: 33 (0) 6 84 30 31 81 Suivez @MarcFievet sur TWITTER
Trois hommes, âgés de 24 ans à 39 ans, ont été mis en examen dans le cadre du démantèlement d’un réseau de trafic de cannabis, dans le 14ème arrondissement de Marseille. 288 kgilos de cannabis ont été saisis.
L’opération a été menée par l’Unité des Stupéfiants et de l’Economie Nord de Marseille. Une partie de l’enquête a été confiée à l’OFAST.
Dimanche 4 juin, Le Parisien a expliqué qu’une saisie record de 724 kg de cocaïne le 18 avril dernier dans l’Essonne, saisie que nous rapportions alors, n’a pas pu donner lieu à une ouverture d’enquête en raison d’une procédure irrégulière. En effet, cette saisie a pu avoir lieu grâce à une balise posée discrètement par l’office antistupéfiants (Ofast) sur un véhicule transportant de la drogue dans une autre affaire. Sauf que cette précédente affaire s’était terminée sans que les policiers n’aient pu récupérer leur balise.
L’OFAST, dans sa grande bonté, fait réaliser la saisie par les douaniers, sans fournir aucune précisions…Les gabeloux ne se posent pas de questions imaginant sans doute que l’OFAST est trop occupé pour agir!
Ils font le job et tapent le camion porteur de la balise oubliée dans l’Essonne! Le chauffeur a réussi à s’enfuir.
« Paris s’est démené pour que disparaissent les critiques concernant l’indépendance opérationnelle du directeur de Tracfin » s’indigne une source proche du dossier.
Gabriel ATTAL, Ministre délégué chargé des Comptes publics, a ouvert aujourd’hui la journée d’étude organisée par la Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED) sur l’économie parallèle et la criminalité organisée au prisme de la Douane.
Le Ministre s’est réjoui de l’ouverture de la DNRED à une réflexion plus large, associant acteurs publics et privés, pour mieux comprendre et combattre l’économie criminelle. Cette réflexion trouve pleinement sa place dans le plan de lutte contre les fraudes fiscales et douanières annoncé le 9 mai dernier.
Cette journée a rassemblé à Bercy près de 300 personnes, douaniers, universitaires, étudiants, journalistes, membres des services partenaires nationaux et internationaux et plus largement des acteurs économiques et publics. Les débats ont permis d’aborder la criminalité organisée sous l’angle douanier dans des domaines variés tels que la logistique, le e-commerce, le marché de l’art, la crypto monnaie et le trafic de stupéfiants.
La journée d’étude a aussi été l’occasion pour le service de renseignement de la douane de présenter ses résultats pour l’année 2022 et de mettre en exergue ses spécificités. Cette première édition a vocation à devenir un rendez-vous annuel de la DNRED.
Florian COLAS, Directeur de la DNRED, a invité les talents qui veulent contribuer à protéger notre pays à rejoindre le Service.
La DNRED, centrale de renseignement au cœur des enjeux de sécurité de demain, est mobilisée pour entraver les grands trafics et fraudes à dimension transnationale, ainsi que les menaces hybrides, afin d’assurer la protection de tous. Comme la douane l’a toujours fait au cours de son histoire, la DNRED continue de s’adapter pour anticiper les évolutions de l’économie criminelle.
La Directrice générale des Douanes et Droits Indirects, Isabelle BRAUN-LEMAIRE, a conclu la journée en rappelant la place centrale de la douane dans la lutte contre l’économie parallèle.
Les gendarmes de la section de recherche de Marseille ont saisi plus d’une tonne de cannabis, près d’Avignon, avec le soutien du groupement de gendarmerie de Vaucluse, ce vendredi 2 juin.
Le commissariat a une nouvelle fois été la cible des jeunes vivant dans la cité à proximité. En début de soirée, ce vendredi 2 juin, les policiers de Boissy-Saint-Léger ont subi une attaque de jets de mortier, de bouteilles et de pavés d’une cinquantaine d’adolescents, a rapporté Le Parisien.
Le parquet de Marseille a annoncé un coup de filet mené en début de semaine dans les quartiers Nord de Marseille. Une opération engageant environ 70 effectifs de police judiciaire a débouché sur l’interpellation de 15 personnes et la saisie de près de 285 000 euros, 45 kg de cocaïne, un révolver et un fusil à pompe, selon un communiqué.
Les linéaires ne peuvent rester vides, c’est la règle du marché
Mardi 30 mai, une opération de gendarmerie a permis l’interpellation de plusieurs suspects liés à un trafic de drogue à Villers-Cotterêts. Le commerce a rapidement repris, rue Alexandre-Dumas.
Condamné à 7 ans de prison, en novembre dernier, ainsi qu’à une amende solidaire de 1,5 milliard de francs, le skipper suédois d’un voilier sur lequel les douaniers avaient découvert 425 kilos de cocaïne a été relaxé, ce jeudi, par la cour d’appel de Papeete. Il sera libéré de Nuutania dans la journée, selon son avocat Me Teremoana Hellec.
L’”opération Monaco” est le résultat d’une coopération internationale à laquelle ont participé la police judiciaire portugaise, la Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED) et la Drug Enforcement Administration (DEA), l’agence fédérale américaine chargée de la guerre contre le narcotrafic.
“Le voilier a été intercepté en haute mer”, dans la nuit de mardi à mercredi, “à quelque 200 miles (370 km) des côtes portugaises”,
Suite à un renseignement de la « BAC matin », les fonctionnaires de la « BAC après-midi » se sont présentées à la gare routière de Matabiau pour surveiller un bus en provenance de Paris et en partance pour Barcelone.
Vers 18 heures, comme souvent, les policiers ont contrôlé les passagers, dont un homme et une femme originaires du Vénuzuéla.
Sécurisation du droit de fouille des douaniers, modernisation de leurs moyens d’action et renforcement des sanctions contre le trafic de tabac : le Sénat à majorité de droite a adopté largement mardi en première lecture un projet de réforme de la douane.
La police Nationale malgache a interpellé, en fin de semaine dernière, cinq Nigériens en possession d’une tonne six cent de drogue de synthèse. Ils allaient écouler cette marchandise dans la capitale. Ils mélangeaient de la cocaïne avec d’autres poudres quand ils ont été arrêtés.
La avioneta, de matrícula CP- 3185, de bandera boliviana, sería de propiedad de un ciudadano boliviano con residencia en el departamento del Beni (Bolivia)
Efectivos antidrogas de Perú intervinieron una avioneta boliviana con más de 300 kilos de clorhidrato de cocaína, en un aeropuerto clandestino localizado en medio de la selva agreste de la localidad de Itahuania, distrito de Fitzcarrald, provincia del Manu, región Madre de Dios.
Le président algérien Abdelmadjid Tebboune (droite) et le chef d’Etat-major Saïd Chengriha (gauche).
Six jours après l’interception de ces 322 kg de coacine dans le port d’Algésiras en Espagne, cachés dans un bateau de marchandises en route vers le port d’Oran, la réaction des officiels algériens se fait toujours attendre.
Cette affaire n’est pas sans rappeler, de par son mode opératoire, le scandale des 701 kg de cocaïne saisis en mai 2018 au port d’Oran, une affaire dans laquelle est impliqué Khaled Tebboune, fils de l’actuel président algérien, relaxé immédiatement après l’élection de son père.
Quelle est l’identité de l’importateur algérien de la cargaison de maïs brésilien où a été découverte, mardi dernier en Espagne, une quantité de cocaïne avoisinant les trois quintaux et demi? Voilà une question qu’ont évité de poser les deux ou trois médias algériens qui ont brièvement évoqué cette affaire, alors que les médias d’Etat ne lui ont même pas consacré un seul mot. Six jours après l’interception de ces 322 kg de poudre blanche dans le port d’Algésiras en Espagne, cachés dans un bateau de marchandises en route vers le port d’Oran, la réaction des officiels algériens se fait toujours attendre.
Ce silence quasi total prouve que ce nouveau scandale de narcotrafic est très gênant à plus d’un titre pour le pouvoir algérien. D’une part, il tombe au mauvais moment pour le chef d’état-major de l’armée, le général Saïd Chengriha, qui a effectué il y a tout juste quelques jours une visite officielle au Brésil, dont est originaire la drogue en question. L’embarras est encore plus grand pour Abdelmadjid Tebboune, qui fait actuellement les yeux doux aux généraux en vue de briguer un second mandat, et qui risque de voir son projet sabordé par cette nouvelle affaire de trafic de drogue, dans laquelle son fils, Khaled, pourrait bien être impliqué jusqu’au cou.
La saisie de cette nouvelle cargaison de cocaïne à destination du port d’Oran ressemble à s’y méprendre au «scandale El Bouchi»
RAPPEL
«El Bouchi» (littéralement le boucher) et ses complices dans cette autre affaire, dont le fils de Tebboune et de hauts gradés de l’armée, parmi lesquels on compte l’ex-puissant patron de la police algérienne à l’époque, le général Abdelghani Hamel, des magistrats et des hommes d’affaires, ont été condamnés et emprisonnés. Seul Khaled Tebboune, membre influent de ce gang de narcotrafiquants, a été extrait du pénitencier El Harrach en février 2020, suite à une révision de son procès dans le sillage de l’élection, largement boudée par les Algériens, de son père à la présidence.
Dès son élection, le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’avait pas hésité à sortir de prison son fils, Khaled, impliqué dans une grosse affaire de drogue et pots-de-vin.