Depuis qu’il réussit à s’enfuir quand la police de Bolivie l’avait reconnu comme un joueur de football d’une équipe de Santa Cruz de la Sierra,  Sébastien Marset ne s’est manifesté que pour adresser des messages aux autorités et aux médias,  allant jusqu’à donner un interview à une télévision d’Uruguay.

Interrogé par la journaliste Patricia Martin de « Santo y Seña », il n’a pas hésité à dire que pour mettre fin au narcotrafic,  il faudrait d’abord éliminer tous les corrompus qui peuplent la police et le monde politique en précisant qu’il refusait toutes implications dans la mort du Juge Pecci.

Dans le dernier Coke en Stock, on lit:

Nous avançons dans notre découverte du réseau de trafiquants internationaux ayant établi leur base au Paraguay ; il y a là des brésiliens, tels ceux du Primeiro Comando da Capital (PCC), ou du Comando Vermelho, les deux grands gangs du pays, le premier venant d’être découvert présent en Guyane, source d’approvisionnement en coke, mais aussi des argentins, là où arrive la coke bolivienne (et péruvienne). Mais aussi des uruguayens, on songe bien sûr à celui toujours en fuite depuis bientôt un an, Sebastian Marset, dont nous allons bientôt parler ici-même avec des révélations inédites, le fruit d’un long travail de recherche qui a fini par croiser nos découvertes actuelles comme vous allez bientôt le constater (personne à ce jour n’ayant trouvé ce que nous avons découvert, c’est un scoop qui vous attend). Aujourd’hui, je vous propose plutôt une promenade en bateau, à savoir une descente vers Buenos Aires qui est la suite de notre découverte d’hier de notre base de loisirs-paravent, les cargos prenant le relais des avions ayant traversé le Paraguay… direction après l’Europe !

Lire

0000