En octobre 2004, Dominique Barella, le prĂ©sident de lâUSM rĂ©Ă©lu Ă ce poste pour deux ans Ă©crivait sur les hiĂ©rarques: « Incapables de conduire une pĂ©dagogie publique, incapables dâassumer la responsabilitĂ© dâactes pris sous leur autoritĂ©, ne rendent service ni Ă nos concitoyens ni aux magistrats ?
Leur activitĂ© serait-elle seulement dâĂ©diter des camemberts sur la productivitĂ© ?
Des hauts fonctionnaires qui nâassument jamais la moindre responsabilitĂ© mais qui savent toujours mentir et sont passĂ©s maĂźtre dans la rĂ©Ă©criture des faits.
Prenons lâexemple de Marc Fievet, lâagent infiltrĂ© « NS 55 DNRED », qualificatif et emploi pourtant reconnus par des Directeurs de la DNRED ou autres directeursâŠdĂ©sormais en retraite⊠mais qualificatif et emploi rejetĂ©s par les « seconds couteaux », des « énarques conseillers administrateurs » de Bercy et de Montreuil qui sont, comme toute la DNRED opĂ©rationnelle le sait, des gens qui ont la connaissance innĂ©e et absolue des opĂ©rations terrains.
Il faut les citer ces seconds couteaux, car ils méritent de figurer dans ce trombinoscope.
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Pas de photo
Elizabeth Melscoet
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Marc Fievet avait espĂ©rĂ© que Jean Dominique ComolliâŠMais non, lui Ă©tait trop occupĂ© Ă la SEITA pour brader la rĂ©gie (des tabacs) et nâen avait vraiment rien Ă foutre, comme Jean Luc Viala dâailleurs, qui nâavait quâun seul souci, câĂ©tait dâamĂ©liorer son revers au tennis avec son entraĂźneur favori, qui avait Ă©tĂ© embauchĂ© Ă la douane !!!
Pourtant Jean Dominique Comolli qui lui fut prĂ©sentĂ© dans le bureau du ministre Charasse, quelques jours aprĂšs sa nomination, aurait pu lever le petit doigt pour le sortir de la merde âjuridico-administrativeâ internationale dans laquelle il se trouvait par manque de rĂ©action de son successeur, Jean Luc VialaâŠ
Mais Jean Paul Garcia lâavait bien dit Ă Marc Fievet au centre de dĂ©tention dâAlhaurin de la Torre en Espagne lors dâune visite quâil lui rendit, quelques semaines aprĂšs son arrestation par Interpol, pour lâassurer du soutien total des autoritĂ©s françaises, en prĂ©cisant toutefois que pour la DG, donc DG, administrateurs et autres conseillers, les opĂ©rations mises en route du temps de Michel Charasse, le ministre et Jean Henri Hoguet, le boss de la DNRED faisaient parties dâun passĂ© rĂ©volu et seulement susceptibles dâĂȘtre reniĂ©es.
Pourtant Ă la DNRED, on aurait dĂ» bouger, mais pas de âbolâ pour Fievet, le âtout en rondeurâ Bernard PouyannĂ©, le papa de Patrick, qui nâayant rencontrĂ© Fievet quâune fois en prĂ©sence de Christian Gatard, ne pouvait ĂȘtre dâun grand soutien.
Pierre Mathieu DUHAMEL tenta une approche auprĂšs de Madame Strachan, la DG du Customs excise anglais, sans y mettre le paquet avant de partir pantoufler Ă New York chez LVMH et devenir amnĂ©sique. Restait donc Joseph Le Louarn qui aurait pu et dĂ» intervenir. Mais pas de âbolâ non plus, Le Louarn, successeur de Hoguet Ă la DNRED nâĂ©tait pas un patron au sens noble du terme mais un parasite du systĂšme douanier. Joseph Le Louarn avait dĂ©montrĂ© tout au long de sa carriĂšre, un Ă©go surdimensionnĂ© par rapport Ă ses qualitĂ©s et son seul souci nâĂ©tait que la recherche de postes importants tout en restant totalement soumis aux dĂ©cisions dâabandon dâopĂ©rations engagĂ©es au mĂ©pris des responsabilitĂ©s inhĂ©rentes Ă sa charge comme le soutien des ses agents ou de ceux considĂ©rĂ©s comme tels. Câest lui qui accepta la directive de Nicolas Sarkozy de suspendre toutes les opĂ©rations dâinfiltration menĂ©es par la DNRED; il en oublia de prĂ©venir les principaux intĂ©ressĂ©s et alla jusquâĂ refuser Ă Christian Gatard, le boss de lâĂchelon de Nantes, lâassistance pour couvrir une rĂ©union importante Ă Paris de « narco-nĂ©gociants » pour lâenlĂšvement de 80 tonnes de haschich du cĂŽtĂ© de Djibouti.
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Pas de montĂ©e au crĂ©neau pour dĂ©fendre lâagent NS 55 !
NommĂ© Ă la suite de Viala, arrive François AUVIGNE, qui aprĂšs un passage Ă lâInspection des finances Ă sa sortie de lâENA, avait Ă©tĂ© chargĂ© de mission Ă la Direction des relations Ă©conomiques extĂ©rieures (DREE) de 1986 Ă 1988, puis conseiller technique aux cabinets de Jean-Pierre ChevĂšnement, alors ministre de la DĂ©fense (1988-1991) puis de Philippe Marchand, au ministĂšre de lâIntĂ©rieur. Il avait ensuite dirigĂ© le cabinet de Jean-NoĂ«l Jeanneney au secrĂ©tariat dâEtat au Commerce extĂ©rieur puis Ă celui de la Communication entre 1991 et 1993. De retour Ă lâInspection des finances, il en avait Ă©tĂ© chef de service adjoint de 1994 Ă 1997. AprĂšs le retour de la gauche au pouvoir en mai 1997, il avait Ă©tĂ© nommĂ© chargĂ© de mission auprĂšs de Dominique Strauss-Kahn, ministre de lâĂconomie et des Finances, et de Christian Sautter, secrĂ©taire dâEtat au Budget. Câest lĂ que Francois Auvigne gĂšre alors le courrier que Fievet a envoyĂ© Ă DSK par la valise (diplomatique) du fond de sa cellule de Renous au Nouveau Brunswick. Francois Auvigne envoie immĂ©diatement au Canada messieurs Christian Gatard et Bernard Roux, lâattachĂ© douanier de Washington, accompagnĂ© du consul gĂ©nĂ©ral de France Olivier Arribe pour dire Ă Fievet de plaider coupable alors que Bernard PouyannĂ© avait envoyĂ© Philippe Galy, alors attachĂ© Ă Londres, lui dire Ă Bellmarsh (prison Ă Londres) quâil pouvait et devait plaider non coupable au Canada.
Donc François Auvigne connaissait le dossier de Fievet avant de devenir Directeur GĂ©nĂ©ral de la Douane française. Plus Ponce Pilate que Ponce Pilate, il refusera toutes interventions au mĂ©pris de la continuitĂ© du service de lâĂtat.
Câest ce quâon appelle en langage plĂ©bĂ©ien un salaud institutionnel !
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Quand Ă Alain CADIOU, ( deuxiĂšme en partant de la droite, accompagnĂ© de Jean-Yves Le Drian, dĂ©putĂ©, (Ă gauche) et de la ministre Florence Parly au Budget Ă lâĂ©poque aprĂšs une virĂ©e dĂ©couverte de la cĂŽte Ă bord dâun des trois Cessna 406 de la base des douanes de Lann-BihouĂ©.). Alain CADIOU ne sâen occupera pas du tout et, maintenant, retirĂ© au Touquet Paris-Plage, il sâen tape que Fievet soit restĂ© 3.888 jours en taule!
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Mais comment ne pas relire lâinterview donnĂ© par Jean Henri Hoguet lors dâune Ă©mission le Mardi 17 mai 2005 Ă 15 H 00, sur France Culture, dans lâĂ©mission « Le vif du sujet ».
Le Journaliste: mais vous, justement, vous Ă©tiez un de ses patrons; est-ce que lors de ses recours en grĂące, vous avez Ă©tĂ© consultĂ© par lâĂtat?
Jean Henri Hoguet-Ex-Directeur de la DNRED: Jamais, jamais ! Non, Ce que je sais câest que, quand FiĂ©vet, alors il y a dĂ» avoir, sans doute, une fausse manĆuvre quand on lui a dit de plaider coupable au Canada, donc, il en a pris plein les gencives, perpĂ©tuitĂ©, et lĂ , on a peut-ĂȘtre commis une erreur technique, je nâen sais rien, mais ce dont je suis sĂ»r, câest que, quand FiĂ©vet alors est revenu et quâon lâa, quâil a Ă©tĂ© rejugĂ© Ă Bobigny pour transformer la peine canadienne en peine française dans les geĂŽles françaises, je pense quâĂ ce moment lĂ et avant, il fallait intervenir du ministĂšre des Finances « dont dĂ©pend la douane » Ă la chancellerie, au Garde des sceaux, en lui expliquant quâun type qui est rentrĂ© et que le procureur gĂ©nĂ©ral, peut-ĂȘtre, devrait requĂ©rir une certaine indulgence pour ce type en faisant Ă©tat de ce quâil avait fait pour nous. Hors, au moment oĂč il est rentrĂ©, il y a un nouveau directeur gĂ©nĂ©ral qui est arrivĂ© (CâĂ©tait François Auvigne), qui avait jamais vu la douane, qui ne connaissait rien Ă la Douane, mais enfin, câest pas grave puisquâil est inspecteur des finances, il a dit au chef de la DNRED, et je le tiens du chef de la DNRED de lâĂ©poque (CâĂ©tait Jean Puons) ces informations et je nâai aucune raison de mettre en cause sa parole. Il lui a rĂ©pondu : « Monsieur, je ne suis pas lĂ pour assumer les dĂ©cisions prises par dâautres » et comme le chef de la DNRED de lâĂ©poque insistait en disant, mais Monsieur le directeur gĂ©nĂ©ral, on peut pas laisser une affaire comme ça etc. il lui a rĂ©pondu : » je ne veux plus entendre parler de cette affaire. » Et la conversation sâest arrĂȘtĂ©e lĂ , et moi je trouve inadmissible quâun haut responsable de lâadministration, un haut fonctionnaire tienne ce raisonnement, parce que⊠si il a acceptĂ© dâĂȘtre directeur gĂ©nĂ©ral des douanes, ça veut dire quâil doit assurer la continuitĂ© de la responsabilitĂ© de lâEtat; hors en se lavant les mains, il ressemble Ă Ponce Pilate, mais pas Ă un haut fonctionnaire responsable.
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Jean Henri Hoguet qui a Ă©crit un livre sur sa vie au service de lâĂtat ne pourra que constater que ce livre n’est pas prĂ©sentĂ© au musĂ©e de la Douane Ă Bordeaux.
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Puis arriva lâonctueux François Mongin de 2002 Ă 2007, comme directeur gĂ©nĂ©ral des Douanes et droits indirects et parallĂšlement secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de Tracfin. Lui aussi sera dâune totale discrĂ©tion sur lâaffaire Fievet.
Ses « sbires administrateurs énarques et autres conseillers », agissant pour le convaincre que Fievet est un narco !
Depuis il officie chez HSBC, les gangsters de la finance !
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AprĂšs câest JĂ©rĂŽme Fournel (photo Ă droite), ( Il nous a rĂ©galĂ©s de ses exploits!) qui Ă peine arrivĂ© Ă Montreuil, interdit Ă Fievet lâentrĂ©e de la DG, ukase transmis par Jean Paul Garcia qui Ă©tait alors en charge de lâA2. Reçu longuement dans le hall dâaccueil par Garcia, Fievet ne put rencontrer Corinne CLEOSTRATE qui lâĂ©vitĂąt savamment et refusa mĂȘme le fanzine qu’avait prĂ©parĂ© Fievet pour le distribuer devant la DG.
En fin de journĂ©e, Fievet ne put rĂ©ussir Ă rattraper lâadministrateur civil GĂ©rard SCHOEN (photo Ă gauche) qui se sauva Ă sa vue!
JĂ©rĂŽme Fournel quand il apprit de la bouche de Jean Paul Garcia quâun film Ă©tait en prĂ©paration, lui rĂ©torqua; « Ăa aussi, il va falloir que je mâen occupe!«
JĂ©rĂŽme Fournel a pu compter sur Erwan Guilmin, Ă©narque et administrateur civil pour rĂ©pondre par la nĂ©gative Ă toutes demandes dâindemnisation formulĂ©es par Fievet en rĂ©pĂ©tant jusquâĂ lâorgasme que Fievet sâĂ©tait mis Ă son compte. Erwan Guilmin qui est un magouilleur le dĂ©montrera officiellement quelques annĂ©es plus tard lorsquâil sera pris et confondu dâavoir pratiquer le caviardage sur un document classĂ© « SECRET DĂFENSE » alors quâil avait rejoint la DNRED comme DOD (Directeur des opĂ©rations douaniĂšres).
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Quand Ă HĂ©lĂšne Crocquevielle, il est impossible dâen dire la moindre chose, vue son insignifiance au poste de DG quâelle occupa durant 4 ans, exception faite de sa facilitĂ© Ă jeter lâagent du contribuable par la fenĂȘtre.
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Lâespoir restait intact quâenfin un DG assume la responsabilitĂ© de ce lĂąchage et ce DG câĂ©tait Rodolphe Gintz!
Lui nâa rien fait !
Ah, si, courageusement, il a bloquĂ© Fievet sur Twitter, indiquant quâil ne voulait ĂȘtre complice de diffamations.
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![Isabelle Braun-Lemaire (@Dgdouanefrance) / Twitter](https://pbs.twimg.com/profile_images/1346097280848375808/YcCUbNZm_400x400.jpg)
Reste aujourdâhui Isabelle Braun-LemaireâŠqui dĂ©sormais porte l’uniforme!
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