On revient une nouvelle fois au Honduras, afin d’expliquer cette profusion de jets apparus au Belize. Au Honduras où El Chapo avait ses habitudes, et même une villa connue de tous… sauf des policiers honduriens qui fermaient visiblement les yeux sur sa présence régulière dans cet endroit. Mais il n’était pas le seul à s’y pavaner : le clan Valle également (dirigé par la matrone Digna Asusena ).

Et comme aussi Franco Daniel Lombardi, alias   »El Mago », « El Tano Joel », ou « The Wizard », et sa boîte de nuit monumentale en forme de bateau pirate qui lui servait de machine à laver l’argent sale du trafic… toute une faune, plus ou moins suivie par la DEA quand ce n’était pas la CIA !

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Des coursives à la cellule. Moins d’un mois après l’incarcération de surveillants de la prison de Réau (Seine-et-Marne), une agente pénitentiaire de Fresnes (Val-de-Marne) a été incarcérée, dans le cadre d’une enquête ouverte au tribunal de Créteil (Val-de-Marne) pour « introduction d’objets ou substances interdites en détention ». Un juge d’instruction a été désigné pour poursuivre les investigations, confirme ce jeudi au Parisien le parquet de Créteil.

Elle a été interpellée en prison le 4 avril et déférée au tribunal, où son placement en détention provisoire a été ordonné. L’enquête devra démontrer si les faits qui lui sont reprochés sont avérés, avec contrepartie financière ou non, et s’il y a eu des complicités internes ou extérieures à la prison. Des soupçons pesaient sur elle depuis quelque temps. L’enquête devra notamment déterminer si elle a pu fournir du cannabis à des détenus. Aucune information officielle n’a été apportée à ce stade sur la nature des objets illicitement introduits. Sollicitée, l’administration pénitentiaire n’a pas souhaité faire de commentaire.

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La prohibition de l’alcool aussi State durant les années 1920 n’a abouti qu’à la fabrication d’alcool de contrebande frelaté à des degrés jamais rencontrés à l’époque légale et entièrement responsable de l’apparition de personnages comme Al Capone et une nette augmentation de la criminalité.

La légalisation de l’alcool répondait aux souhaits du président Roosevelt, qui tentait de récupérer au profit de l’État fédéral la manne tombée dans l’escarcelle des mafias, en instaurant des impôts et taxes sur les alcools pour financer les réformes à la suite de la Grande Dépression.

C’est le 5 décembre 1933, qu’après treize années d’interdiction, l’alcool est de nouveau légal. Inscrite dans une histoire mêlant conservatisme rigoriste et visées émancipatrices, la « noble expérience » n’aura pas mis fin à l’alcoolisme et n’aura réussi qu’à instiller des effets pervers dans la société états-unienne.

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Vendredi 12 avril, deux hommes d’une trentaine d’années résidant à Marseille, déposent des cartons au fret aérien, avant de prendre un vol d’Air Caraïbes vers Paris. Ce fret devait voyager dans le même vol, dans la soute de l’avion. Selon les informations de Guyane la 1ère, lors du contrôle des cartons, les douaniers détectent la présence d’une grosse quantité de cocaïne : 303 kilos au total, une saisie record à l’aéroport Félix Eboué.

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Un mois après, les opérations  « place nette XXL » à Marseille ont permis de « déplacer » certains points de deal mais non de les « éradiquer », estime jeudi 18 avril sur franceinfo Kaouther Ben Mohamed, présidente de l’association « Marseille en colère ! ».

Ces opérations antidrogue avaient été lancées en grande pompe dans la cité phocéenne, avec la visite surprise d’Emmanuel Macron le 19 mars dernier.

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« On ne pourra pas éradiquer un trafic international avec un plan de communication », a taclé la présidente de l’association, soulignant qu’« il n’y a aucune éradication des points de deal » dans la cité phocéenne. « Les forces de police mobilisées sur ces points de deal ne peuvent pas être démultipliées« , souligne-t-elle.

Le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti a précisé mercredi qu’à Marseille, les opérations ont donné lieu à 461 gardes à vue, 300 défèrements et 49 « écrous », soit des détentions provisoires ou d’autres mesures de restrictions de liberté.

Pour Kaouther Ben Mohamed, qui doute de l’efficacité de ces opérations, « le temps de la communication politique n’est pas celui de la justice ». « Est-ce que la justice a les moyens d’emprisonner les jeunes ? », cingle-t-elle.

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