COCAÏNOMANES : consommateurs, addicts, cadres supérieurs, décideurs, élus et membres du show-biz, regardez svp ce que vous vous mettez dans le pif !

Ciment, essence, soude caustique … Tout y passe pour obtenir la poudre blanche !

L’ajout de différentes substances comme le kérosène, le carbonate de calcium, (ou sodium ou potassium) et d’acide sulfurique aboutit à la constitution d’une pâte appelée « sulfate de cocaïne ». A ce stade, l’ajout d’acide sulfurique et de permanganate de potassium permet l’élimination du kérosène ainsi que d’autres impuretés.

Enfin, l’ammoniaque, l’acétone, l’acide chlorhydrique et l’alcool ajoutés au mélange précédent permettent d’obtenir la cocaïne sous forme de poudre (chlorhydrate de cocaïne).

De multiples et divers produits de coupage sont ensuite mélangés à cette « base pure »
pour en rentabiliser sa revente.

Il peut s’agir de médicaments broyés de type anesthésique (procaïne, lidocaïne) ou analgésique (paracétamol, phénacétine), de produits stimulants comme des amphétamines, de la caféine, de sucres (saccharose, glucose) de vitamines (inositol), de produits divers se présentant sous la même forme tels la farine de maïs, le talc, le lactose, la strychnine etc…

Chaque composition d’un gramme de « cocaïne » est donc différente notamment par le choix et la proportion des différents produits de coupage utilisés. 

Ciment, essence, soude caustique … Tout y passe pour obtenir la poudre blanche !

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