Les autorités irakiennes ont annoncé mardi la saisie de 2,5 millions de comprimés de captagon, alors que le pays est aux prises avec un commerce en plein essor de cette drogue de la famille des amphétamines.
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Les autorités irakiennes ont annoncé mardi la saisie de 2,5 millions de comprimés de captagon, alors que le pays est aux prises avec un commerce en plein essor de cette drogue de la famille des amphétamines.
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Dans la matinée du dimanche 26 mai 2024, comme l’a expliqué le directeur de la police nationale, le général William Salamanca, les agences en charge ont procédé à la saisie d’une cargaison de 623 kilos de cocaïne que des narcos avaient l’intention d’envoyer vers Bremerhaven en Allemagne.
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À la suite du refus implicite du gouvernement de renouveler l’agrément d’Anticor intervenu le 27 décembre 2023, le ministre des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné, n’a pas communiqué les motifs ayant conduit à la prise de cette décision de refus… se plaçant ainsi dans l’illégalité.
Le 23 juin 2023, l’association Anticor a déposé une demande d’agrément anticorruption auprès d’Elisabeth Borne. À l’issue d’un délai d’instruction de quatre mois, qui, sur décision du gouvernement, a été prorogé de deux mois supplémentaires, le gouvernement a refusé de renouveler l’agrément d’Anticor.
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Des milliards évaporés sans que personne ne s’inquiète. Des salariés qui portent plainte après avoir découvert qu’une partie de l’argent du fonds de garantie patronal ne leur est pas parvenue. Les révélations de l’ex-directrice du régime de garantie des salaires ont conduit à l’ouverture d’une enquête. Mais tout est fait pour décrédibiliser Houria Aouimeur-Milano.
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Anticor s’invite dans le scandale financier qui frappe l’Agence de garantie des salaires (AGS), où des milliards d’euros se seraient envolés, ces dernières années, au préjudice d’entreprises françaises, mais aussi de milliers de salariés un peu partout en France.
Selon les informations du Monde, l’association anticorruption a décidé de se constituer partie civile dans l’information judiciaire ouverte au parquet de Paris sur des malversations présumées au sein de l’AGS, qui auraient conduit au possible détournement de plus de 15 milliards d’euros en treize ans.
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Les faits remontent à la journée du mardi 21 mai, alors que le prévenu circulait à bord d’un véhicule Citroën C5 sur l’autoroute A61, et qu’il a refusé de s’arrêter à un contrôle des douanes mis en place à hauteur de Lézignan-Corbières.
Pris en chasse avec les règles de sécurité qui s’imposent, le fuyard a mis la gomme pour échapper à ses poursuivants, quoi qu’il en coûte. Avec des pointes à plus de 200 km/h sur l’autoroute, jusqu’à hauteur de la commune de Bram où il finira par être stoppé. Dans le véhicule C5, ce sont 570,48 kg de résine de cannabis qui seront saisis par les agents de la direction régionale des douanes de Perpignan.
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En septembre 2018, s’appuyant sur 160.000 documents internes (des mails, des tableaux comptables, des mémos, des listings de sociétés et de clients),
L’OBS révélait l’existence et le fonctionnement de cette société opaque, utilisant des pseudos, des mails cryptés et des boîtes aux lettres cachées pour communiquer avec ses clients ou entre ses employés.
Depuis ces premières révélations sur les « Dubaï Papers », le parquet national financier a ouvert au printemps une enquête préliminaire. Et plusieurs médias réunis autour de L’OBS (Radio France, La Tribune de Genève) ont poursuivi leurs investigations sur cette nébuleuse financière ayant permis le blanchiment présumé de plusieurs centaines de millions d’euros issues de la fraude fiscale.
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A leak of confidential documents has revealed how the wealthy and powerful use tax havens to get around the law.
The 11 million documents were leaked from a Panamanian law firm called Mossack Fonseca.
They show how the firm helped clients launder money, dodge sanctions and evade tax.
Mossack Fonseca says offshore companies are used for legitimate purposes and says it conducts thorough due diligence and regrets any misuse of its services.
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La famille de Jurgen Mossack posa ses valises au Panama dans les années 1960. Durant la Seconde Guerre mondiale, son père avait servi dans la Waffen-SS et une fois arrivé au Panama, le vieux Mossack proposa à la CIA d’espionner pour son compte les communistes à Cuba.
Grandir en Amérique centrale mit Jurgen Mossack dans la position idéale pour surfer sur la vague du financement offshore née au Panama (et ailleurs dans le monde) dans les années 1970, alors que le pays avait adopté une législation du secret bancaire conçue pour appâter l’investissement étranger.
Mossack fut diplômé de droit dans une université catholique privée, avant d’obtenir un MBA à Londres. En 1977, de retour à Panama, il ouvrit son propre cabinet d’avocat, qui ne comptait que deux personnes : lui et son assistant. En 1986, il fusionna sa société avec celle de Ramon Fonseca, qui avait étudié à la London School of Economics avant de passer six ans à travailler au siège de l’ONU à Genève.
Depuis ses débuts, l’activité de l’entreprise implique des clients aux secrets obscurs, comme le montre l’enquête de l’ICIJ. En 1983, six braqueurs avaient dérobé l’équivalent de 35 millions d’euros en lingots d’or dans un entrepôt Brink’s-Mat situé près de l’aéroport de Londres Heathrow.
Moins de 18 mois plus tard, Mossack constitua une société écran panaméenne pour un homme du nom de Gordon Parry qui avait été condamné en 1992 pour avoir blanchi de l’argent provenant du casse de Londres – le second plus grand braquage de l’histoire anglaise. Mais Mossack a continué à faire affaires avec eux, bien qu’il ait réalisé dès 1986 qu’elle était « apparemment impliquée dans la gestion de l’argent du célèbre braquage de Brink’s-Mat à Londres », comme il l’a écrit sur un mémo interne. « La compagnie elle-même n’a pas été utilisée illégalement, mais peut-être que la société a placé de l’argent provenant de sources illégales sur des comptes en banque et acheté des propriétés avec. »
Après cela, indique l’enquête de l’ICIJ, le cabinet a pris des mesures qui ont empêché les autorités britanniques de prendre contrôle de la société. Ce n’est qu’en 1995 que Mossack Fonseca a mis fin à ses activités avec elle.
Lisez l’intégralité de notre story sur le cabinet Mossack Fonsec
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Le cabinet d’avocats panaméen, créé sous la dictature, s’est spécialisé dès le début de ses activités dans la création de sociétés-écrans. Il compte parmi ses clients des dirigeants de pays corrompus et de régimes autoritaires, voire des réseaux criminels de haut vol.
Il faut prononcer son nom pour voir, dans la seconde, se fermer les visages et s’éteindre les voix. Au Panama, Mossack Fonseca est une de ces firmes toutes-puissantes, dont l’activité est intimement liée à l’histoire du pays. Une histoire gangrenée par la corruption et l’argent sale depuis les années de dictature de Manuel Noriega (1984-1990), dont Mossack Fonseca a pris toute sa part.
« Les sombres affaires de Mossack Fonseca sont mises sous le boisseau par le gouvernement. Personne ne vous parlera. Ici, la collusion d’intérêts entre le pouvoir et les grandes compagnies est totale », assure Miguel Antonio Bernal, professeur de droit à l’université du Panama, opposant historique à Noriega et à l’ex-président corrompu Ricardo Martinelli.
Cinq grandes fortunes françaises ont refusé d’expliquer au « Monde » leur présence dans les documents du cabinet panaméen Mossack Fonseca.
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Panama Papers : Arnaud Claude, associé de Nicolas Sarkozy, au cœur du scandale.
Nouvelle enquête visant l’entourage de Nicolas Sarkozy. C’est au tour de l’avocat d’affaires Arnaud Claude, associé de l’ex-président de la République au sein du cabinet Claude&Sarkozy, d’apparaître dans le cadre des révélations des « Panama Papers
L’avocat d’affaires figure dans la liste des clients du cabinet panaméen Mossack Fonseca. Il aurait aidé Patrick Balkany à échapper au fisc français.
La sénatrice UDI Nathalie Goulet affirme « Nicolas Sarkozy a fait enlever le Panama de la liste »
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Les informations transmises par la direction nationale du renseignement des enquêtes douanières (DNRED) dans le cadre d’une collaboration avec les autorités espagnoles et colombiennes, en association avec l’office anti-stupéfiants (Ofast) ont permis la saisie le mercredi 15 mai par la frégate de surveillance Ventôse de 2.430 kg de cocaïne sur un navire de pêche, dans l’océan Atlantique.
L’opération a été menée à 820 nautique (environ 1 500 km), au nord-est de la Martinique.
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